Captain Harlock
Démocratie Participative
20 décembre 2019
Le corbeau apporte la bonne nouvelle : le juif qui est en vous est mort
En France, dans nos milieux, l’impuissance politique immédiate entraîne cette question récurrente : « Qu’est-ce qu’on fait ? »
Ou « Que Faire ? » comme disait Lénine.
Généralement, quand cette question est posée, très vite, les discussions aboutissent à des considérations électorales. C’est-à-dire la question opérative de la conquête de l’État en France.
En elle-même, c’est une question qui amène dans la discussion plusieurs constats d’ordre sociologique, démographique, géographique car pour conquérir l’État, dans l’ordre démocratique, il faut une majorité électorale sur la base d’un dénominateur commun qui doit être préalablement identifié.
Dans ce domaine, des auteurs considérés comme socialistes voire marxisants posent des constats plutôt honnêtes, assez détachés de toutes considérations partisanes, tels que Jérôme Fourquet, Christophe Guilluy et plus récemment Jérôme Sainte Marie.
Le premier constat qu’ils dressent est le suivant : le paradigme moderne gauche/droite est voué à disparaître totalement au 21ème siècle car la structure démographique (générationnelle et implicitement raciale) et socio-économique de la France ne rend plus ce clivage opératif.
Mais c’est un changement beaucoup plus profond qui s’opère et qui dépasse ces seules questions politiciennes superficielles.
La fin de la démocratie juive universelle
En Occident, c’est la fin de l’ère qui a vu l’idéologie rationnaliste et normative reposant sur le diptyque individualisme/égalitarisme (libéralisme, marxisme) succéder à la religion chrétienne.
Nous entrons, au troisième millénaire, dans le cycle économique du capitalisme asiatique avec à sa tête la Chine. Ce changement met un terme à 5 siècles de globalisation atlantique.
La première conséquence globale de ce basculement, c’est le démantèlement du mythe de l’universalité de la démocratie occidentale et la destruction de son système international. Cette fameuse démocratie bourgeoise et cosmopolite qui a d’abord été imposée par la force et le terrorisme à l’Europe avant de l’être par la voie de l’évangélisme juif des droits de l’homme au reste du monde, notamment via l’ONU par les USA et l’URSS après 1945.
Ce démantèlement international du système libéral-égalitariste à prétention universelle va directement entraîner l’effondrement des démocraties européennes.
C’est la fin de l’ère glaciaire du « surmoi » judéo-démocratique dont l’essence fondamentale est la haine de la race blanche, considérée comme un obstacle à l’universalisation planétaire du système, et qui empêche l’humanité européenne d’exprimer sa volonté de puissance collective au nom du mensonge du pacifisme, de l’individualisme et de l’internationalisme.
Autrement dit, pour empêcher la race blanche européenne de travailler pour elle-même, le clergé démocratique juif lui a interdit le droit à l’auto-détermination pour mieux pouvoir utiliser l’énergie vitale aryenne au profit de son propre projet d’ordre juif international.
Les « populismes » qui s’expriment encore anarchiquement sont la manifestation de cette libération raciale collective, de ce refus d’être réduit en esclavage pour le projet juif de démocratisation globale.
Le monothéisme hébraïque des droits de l’homme
Avec la fin de la synagogue démocratique vient le réveil spirituel des peuples européens.
On peut vraiment dire qu’un bouleversement païen boue sous la glace en dépit des efforts consentis par le monstre monothéiste hébraïque, finalisé en 1945 à Nuremberg, pour conjurer la libération de l’Europe de ses griffes.
Par païen, n’allez pas croire que je parle de dieux sculptés dans des bouts de bois – auquel cas, vraiment, nous serions aussi désespérés que des nègres – mais de notre refus fanatique de croire à l’unité spirituelle de l’humanité. A contrario, nous adhérons à son hétérogénéité et à son inégalité fondamentales le long de frontières psychologiques et imaginaires déterminées par la race, fruit de la création.
Pour nous, toute profession de foi d’inspiration universaliste est une déclaration de guerre raciale contre l’Europe.
L’Europe est donc engagée dans une forme nouvelle de séparatisme contre la tutelle coloniale de l’empire américain avec son biblisme démocratique manipulé par les juifs et conforté par tous les groupes terroristes adeptes du monothéisme égalitaire.
Il faut admettre cependant que cette maladie infectieuse qu’on appelle la démocratie n’est pas née avec l’Amérique, elle est bien née en Europe, sur le corps en décomposition du christianisme, fermentant au sein des loges de l’optimisme et l’irénisme.
Nous sommes certes, collectivement, encore dans le tombeau judéo-kantien de l’OTAN et de l’UE. Mais plus pour longtemps.
L’heure est venue pour les Européens de se réapproprier leur essence mentale, le droit au particulier, à leur finitude, de conquérir leur être donc leur potentiel biologique de réalisation. Ce qui va de paire avec le rejet par contrecoup des conditions imposées par l’ordre juif que sont l’interdiction de l’esprit de communauté tribale, le nomadisme cynique, l’individualisme indifférencié, la culpabilisation de tout instinct de fierté raciale chez les peuples aryens, l’empêchement de l’action proclamée par la chape de plomb de la moralité égalitariste/individualiste.
Moralité qui est toujours, comme toute les superstructures religieuses, incarnée par un clergé qui cherche à réguler la force de la race à son profit, comme un corps parasitaire.
Judéo-chrétienne radicalisée
Je le répète : ce réveil spirituel n’est pas une singerie de religion de l’ancien monde mais un éveil authentique de l’esprit racial, une mue qui nous permet de nous défaire des vieilles structures de l’ère universaliste avec son empathie sans-frontiériste, écœurante et hypocrite, son culte des ratés, des faibles et des incapables.
Ce clergé démocratique est essentiellement composé de journalistes, d’universitaires, de politiciens « élus ». Et surtout, de manière cruciale, de juifs.
Le juif est l’ennemi fondamental de l’Européen
Le sémitisme, syphilis spirituelle
Nous n’avons pas, en Europe, d’ennemi plus fondamental que le juif.
Nous n’avons pas non plus d’ennemi plus menteur, plus retord, plus cynique, plus dénué de scrupules que le juif.
Nombreux sont ceux qui, dans nos milieux, abordent mal la question juive. Ils l’analysent souvent en termes matériels, numériques, comparant volontiers le nombre de juifs au nombre de musulmans pour mesurer la menace.
Ou en soupesant l’influence de tel ou tel réseau financier.
C’est ne pas comprendre que le juif ne s’étudie pas en termes horizontaux mais verticaux, c’est-à-dire en termes spirituels.
Pour régner sur l’Europe, l’église catholique n’a jamais eu besoin de 10 millions de prêtres et d’évêques. Une petite élite solidement organisée a pu, pendant deux millénaires, mettre en coupe réglée le continent.
L’ordre juif né de l’ère démocratique n’est pas différent et, à bien des égards, il dispose d’un nombre autrement plus conséquent de prêtres, d’abbés, de moines et de cardinaux que ce dont a jamais pu rêver la Papauté.
Très exactement 14 millions de terroristes juifs dotés d’une théocratie militaire équipée de l’arme nucléaire qui n’ont qu’un seul et unique but en tête : détruire l’homme blanc, par tous les moyens, en excipant de la religion pour goyim stupides qu’est l’idole ignoble de l’Holocauste.
Pour gagner cette guerre d’éradication par la ruse et le mensonge que mène notre ennemi mortel, il faut poser l’équation de la confrontation en termes exacts.
La souveraineté véritable est d’abord spirituelle.
Sans souveraineté sur son esprit, une conscience est aveugle et ne peut donc embrasser la réalité pour la transformer. Encore moins identifier son ennemi pour s’en défendre.
Le juif a interdit l’éveil de l’inconscient aryen, lui imposant une morale humanitaire aussi puante qu’autodestructrice par le double jeu de l’infiltration et du terrorisme, y compris militaire lors du second conflit mondial.
C’est ce parasitisme spirituel, cet impérialisme sémitique, qui empoisonne les peuples blancs pour les porter à la mort raciale en cultivant chez eux l’instinct de suicide tout en réorientant leurs pulsions de vie, notamment leur travail, au profit de leurs ennemis raciaux.
C’est toute l’histoire de l’état-providence occidental mis au service de la vermine du tiers-monde en Europe.
Comment faire ?
Par le verbe.
Le verbe libérateur.
Par des prêches enflammés encore et toujours répétés.
Le criminel juif inspiré par l’image qu’il s’est forgé de lui-même qu’il appelle Yahvé, et avec lui ses associés, ne craint qu’une chose : la haine de l’homme blanc. C’est cette haine, qui dans ces circonstances est pur instinct de vie, qu’il combat avec férocité.
Le parasite lutte pour ne pas être expulsé.
La haine, dans ce schéma, est d’abord une force d’émancipation, de libération, de transgression contre l’interdiction de s’ouvrir à nous-mêmes, de libérer notre âme de l’interdit dont le frappe le clergé juif.
Le moralisme démocratique avec ses ordres de compassion à l’égard de nos ennemis raciaux n’est que l’expression mensongère de la tyrannie du juif.
Pas de libération collective et individuelle sans haine absolue du juif.
La haine salvatrice permet de renouer avec la nature profonde et indépassable de l’homme décrite par Carl Schmitt : la guerre. Elle est performative, façonne immédiatement l’environnement des hommes en convoquant le conflit.
La guerre est un dieu qui, une fois convoqué, change la face des belligérants.
L’attaque guerrière est la forme parfaite de la haine comme puissance transformatrice dialectique.
Cette haine, pour se manifester, a besoin de la colère comme vecteur et c’est pourquoi j’ai déjà dit que tout ce que nous faisons et devons faire ne vise qu’une chose : faire basculer des millions et des millions d’Aryens dans une colère passionnée et totale, une colère qui ne se connaît plus de limites.
La colère est une tempête de libération.
L’Europe démocratisée d’aujourd’hui prend la forme d’un agneau pacifique qui cherche à se réaliser dans l’autodestruction masochiste parce qu’un clergé juif lui interdit la libération qu’il redoute à juste titre.
Libération qui ne peut se former que par la haine juste.
Maintenant, comment faire ?
Contrairement à ce qu’espèrent les idéalistes incapables d’intégrer le caractère fini du créé, l’action transformatrice ne nécessite pas d’attendre dans l’espoir de mettre en place méthodiquement, à une date ultérieure, une utopie.
Le mieux est l’ennemi du bien.
Il faut a contrario embrasser l’action immédiate comme manifestation de la souveraineté effective. Le simple fait d’agir démontre que la volonté est en mouvement et que le sujet, c’est-à-dire ici l’homme aryen, vit et veut vivre.
Que son action soit guidée par une idée claire de lui-même et la souveraineté est déjà une réalité.
Avant même de considérer les formes strictes du politique, les élections ou les partis, il faut agir pour exister librement. Et la haine est cet agir.
Nous n’aurons jamais assez de haine pour nos ennemis et si je devais comparer notre action, je la comparerais à un gigantesque bûcher où nous jetons les idées juives.
Je ne peux souligner avec assez de force à quel point nous devons vouloir détruire nos ennemis et à quel point, comme l’athlète, nous devons apprendre et nous entraîner à vouloir les détruire.
Cet effort colossal d’anéantissement n’est pas, cependant, sa propre finalité. Il est le prérequis à la création d’une Europe rajeunie, joyeuse, créatrice.
Une fois l’océan de flammes de la révolution passé sur l’Europe, une fois les déchets de la bourgeoisie humanitaire intégralement consummés, vient le printemps.
Mais il faut d’abord la soif de destruction absolue pour l’ordre juif actuel et que cette soif se manifeste par une haine effective, tangible, répétée contre tous ceux qui se dressent en face de nous.
C’est pourquoi notre vrai programme politique consiste à haïr et détruire nos ennemis que sont les juifs, les groupes raciaux hostiles et les traîtres qui adhèrent à la synagogue de la démocratie.
C’est seulement quand cette colère d’anéantissement sera totalement libérée sur le continent que tout changera.
Le pacifisme est le chemin de la perdition et du juif avec tout ce que cela suppose, concrètement, d’aggravation de la situation.
Lorsque l’on pose la question, « Que devons-nous faire ? », la réponse est : répandre la haine contre les juifs, les races étrangères et l’islam qui leur servent d’auxiliaires et faire de cet antagonisme fondamental l’effort d’édification du nouveau moi de l’Europe blanche, forgé dans la guerre raciale.
C’est-à-dire répandre la colère dans les masses blanches contre tout ce qui n’est pas à leur image.
Donnez-vous une guerre raciale et vous vous donnerez la liberté, c’est ainsi que vous tuerez le juif qui est en vous et qui vous opprime.