Captain Harlock
Démocratie Participative
29 décembre 2021
Ce n’était qu’une question de temps avant que la connerie féminine ne percute de plein fouet la réalité vaccinale.
Et c’est magnifique.
« Toute contente »
Signal 1 : Mon corps, qui est réel, m’envoie des informations critiques sous forme de douleurs et de désordres intenses.
Signal 2 : Mon surmoi social, qui n’est qu’un décalque de ce que je dois dire pour être acceptée en société, m’impose de rappeler que je suis une normie à 100%. Je rappelle que les antivax sont des salopards cyniques avec lesquels je n’ai rien à voir.
Signal 3 : Mais j’ai quand même mal. Je veux être informée, même si je signifie autour de moi que si je ne suis pas une antivax, c’est parce que je suis informée par la SCIENCE.
« Je veux du respect »
Il est difficile de faire plus égoïste, plus absorbée d’elle-même qu’une femme.
J’ai déjà parlé de la non notion de respect chez les femmes et en quoi la définition féminine du respect est fondamentalement antagoniste à celle des hommes.
Vous devriez lire cet article et même le relire.
Il ne perdra jamais de sa pertinence.
Pour les hommes, le respect est le résultat du travail qu’il fournit dans la vie. Un homme est dans une position de précarité permanente. Tous les jours, un homme est mis à l’épreuve et c’est sa capacité à être à la hauteur qui lui vaut le respect – ou le mépris – des autres hommes. C’est ainsi que la valeur sociale d’un homme est établie et, par voie de conséquence, sa valeur sexuelle aux yeux des femmes.
Pour les femmes, le respect est dû par défaut.
La formule favorite des femmes est : « pourquoi tu juges ? ».
Ce qui veut dire, une fois correctement traduite, « arrête de m’évaluer, tu pourrais connaître mon vrai prix ».
Toute l’entreprise du féminisme consiste à dispenser les femmes d’avoir à répondre de leurs actes pour ne pas être dévalorisées sur le marché sexuel. C’est un sabotage organisé du système des prix.
Quand une femme ne veut pas être jugée et exige du « respect », c’est qu’elle cherche à fuir les conséquences de ses actes.
C’est cette définition du « respect » qui est désormais l’axe de fonctionnement des sociétés féministes occidentales, exception faite pour l’homme blanc. Plus le temps passe en Occident, plus l’homme blanc devient hyper responsable, au point de devoir répondre des actes des autres, à commencer par ceux des femmes blanches ou des « minorités » ethniques ou sexuelles. On peut établir un parallèle direct entre l’établissement du dogme de la culpabilité de l’homme blanc depuis les années 1960 et l’adoption du féminisme en Occident.
Le problème, c’est que 99% des femmes blanches en France tournent désormais avec l’OS féministe. Ce qui veut dire qu’à chaque fois qu’elles font une connerie, elles cherchent à éviter les conséquences de leurs choix en blâmant un homme blanc, ou, en étendant le procédé à tous les hommes blancs, à la « société ».
Et non, je n’exagère pas.
Je fais de la merde en m’injectant n’importe quoi dans le corps parce que la télé me l’a dit. C’est de la faute de tous ceux qui n’ont pas de vagin. Une Française moyenne.
Imaginez maintenant que cette conne de Chacha cherche à demander des comptes si sa santé continue de se détériorer, ce qui est le plus probable, que ce soit à court terme ou dans quelques années, quand le vaccin aura produit tous ses effets. La réponse de l’Etat sera aussi une réponse féministe : « Ce n’est pas de notre faute, madame, vous avez fait le choix de la vaccination. La procédure d’homologation a été parfaitement respectée. »
Quand l’Etat renverra Chacha à cette notion de « responsabilité », ce sera le bug.
Quand il s’agissait de réprimer les antivax et de ruiner leur vie, cette conne trouvait ça parfaitement normal.
Maintenant, soit elle prend sa quatrième dose et se rapproche un peu plus d’effets secondaires débilitants, irréversibles et certainement mortels à terme, soit elle refuse et devient une « non vaccinée » vaccinée qui a gagné le pire des deux mondes.
Ce cas est très loin d’être isolé.
Nous allons peut-être avoir besoin d’un véritable échappement immunitaire pour que ces succubes baissent d’un ton pour les trois ou quatre mille prochaines années.
*Merci à Pagan18
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