La rédaction
Démocratie Participative
13 septembre 2023
Il faudrait voir à ce que les provocateurs communistes et leurs parrains juifs ne nous prennent pas complètement pour des ahuris
Ce développement est des plus suspects et il a toutes les caractéristiques d’une fabrication.
Le camp de Gurs, dans les Pyrénées-Atlantiques, fait l’objet d’une surveillance accrue depuis jeudi 7 septembre. Des dégradations du mémorial étaient craintes, alors que des tracts néonazis ont été distribués dans le village, émanant possiblement d’un réseau national. Trois interpellations ont eu lieu en Béarn mercredi 13 septembre.
Des relents de peste brune embaument les rues du village de Gurs, dans les Pyrénées-Atlantiques, depuis la fin de semaine dernière. Un dispositif de sécurité a été déployé dès jeudi 7 septembre par la gendarmerie pour protéger les accès au camp de Gurs, situé entre Oloron Sainte-Marie et Orthez, qui abrite un mémorial en l’honneur des victimes du franquisme et du nazisme.
Les gendarmes craignaient des dégradations de ces lieux de mémoire, alors que des tracts antisémites ont été distribués dans quelques boîtes aux lettres du village, dans la nuit de dimanche à lundi 11 septembre. La compagnie d’Orthez a été chargée de la mission de surveillance.
L’enquête pour retrouver les auteurs des tracts était, elle, menée par les gendarmes de la Section de recherches de Rouen. Trois interpellations ont eu lieu mercredi matin, dans les Pyrénées-Atlantiques, trois personnes identifiées en Béarn. Les mis en cause devraient être prochainement présentés à un magistrat du parquet de Rouen.
Les tracts distribués à Gurs sont destinés « à nos compatriotes de race blanche ». Ce sont peu ou prou les mêmes qui ont été diffusés récemment dans plusieurs régions de France : dans un village près de Rouen fin mai, dans le Finistère et dans le Jura au mois de juin, près de Dijon en juillet… L’imprimé, affichant plusieurs symboles nazis dont des croix gammées, promet entre autres ignominies de « rétablir la domination de la race blanche en Europe » et menace directement le peuple juif.
Ces tracts ne « menacent » personne, c’est l’inverse.
Ils dénoncent les menaces que les juifs émettent constamment contre les Blancs.
Les juifs n’en restent d’ailleurs pas au stade des menaces puisqu’ils attaquent les peuples blancs depuis des lustres avec l’intention explicite de les exterminer par remplacement de masse.
Tous ces messages renvoient vers un site Internet néonazi hébergé aux États-Unis et condamné par la justice à de multiples reprises. Les trois interpellés mercredi 13 septembre pourraient donc appartenir à un réseau national – suspecté aussi dans les cas précités –, ce que l’enquête devra déterminer.
« Je suis soulagé pour les habitants du village. On m’avait demandé la plus grande discrétion, c’était difficile de rassurer les gens »
« Il y a eu une enquête de voisinage lundi après-midi, les gendarmes ont interrogé les personnes qui ont reçu les tracts. À ma connaissance il y en a 5 ou 6, pas plus », indiquait le maire de Gurs, Christian Puharré, mardi 12 septembre. Une habitante du village expliquait pour sa part que des drapeaux français auraient également fait leur apparition récemment, à l’entrée du camp située du côté de la route de Mauléon.
Selon Raymond Villalba, conseiller municipal à Oloron et membre de l’association Terres de mémoires et de luttes (TML) – qui œuvre en faveur du travail de mémoire du camp de Gurs –, « les autorités ont eu des informations selon lesquelles des personnes antisémites voulaient aller casser au cimetière. On croyait être à l’abri de ce genre de choses. Malheureusement non. »
Le problème, avec ce Villalba, c’est que c’est un rouge espagnol.
L’article de Sud Ouest fait une belle place à ses jérémiades.
Depuis quand doit-on croire un communiste ?
Il se définit lui-même comme un « militant du Parti discipliné ».
Voir ces immigrés anti-franquistes mêlés à l’affaire ajoute encore à son caractère suspect. Ces gens ne diffèrent pas des juifs, ils veulent constamment alimenter la machine victimaire antifa qui leur donne les leviers de pouvoir, y compris localement.
Ce Villalba est d’ailleurs un élu.
L’hypothèse est donc émise que ces faits émaneraient d’une équipe coordonnée qui aurait opéré depuis l’extérieur du village. « Je ne vois pas où ils auraient pu se trouver sur Gurs, il n’y a pas une maison vide ici », précisait le maire mardi après-midi.
« J’ai été très soulagé à l’annonce de ces interpellations, reprenait Christian Puharré mercredi dans la matinée. Je le suis surtout pour les habitants du village, qui avaient bien noté qu’un service d’ordre s’était mis en place. Comme on m’avait demandé la plus grande discrétion, c’était difficile de rassurer les gens. »
Le maire de Gurs tient à « louer l’efficacité des services de la gendarmerie, qui ont réussi à rattraper ces personnes en très peu de temps. Ils ont fait des vérifications sur place et, pour plus de discrétion, ont mobilisé un local sur la commune pour entendre les personnes qui avaient reçu les tracts. »
Ces interpellations ne signifient pour autant pas la fin de la surveillance du camp d’autant que plusieurs fêtes juives auront lieu durant les prochains jours. Samedi 16 septembre, un parcours sur les lieux emblématiques liés à la période de l’Occupation, de la Résistance et la Déportation se déroulera à Oloron Sainte-Marie, près de Gurs à l’occasion des Journées du patrimoine.
Ce que l’on sait, c’est que les services de Darmanin affirment que des « dégradations » étaient prévues contre ce site, sur la base « d’informations » invérifiables.
Cette commune de 430 habitants était ostensiblement surveillée par la gendarmerie depuis des jours, au point que les habitants interrogeaient le maire sur cette présence massive.
Sur ce, la semaine suivante, « 5 ou 6 » tracts sont postés dans la commune. Cela convainc apparemment la préfecture de procéder aux arrestations de trois personnes dont on ignore tout. Rien n’indique à ce stade que les interpellés ont un rapport avec ce tractage, aucun flagrant délit n’est constitué.
Quant à ces « dégradations », elles ont pour originalité de ne s’être jamais matérialisées.
Des habitants semblent irrités que des « drapeaux français » apparaissent devant le dit camp. On apprend encore que les communistes locaux préparent avec le gouvernement un énième pélerinage antifasciste le weekend prochain. On insiste pour parler de « fêtes juives ».
Nous avons trop souvent martelé de ne jamais commettre de dégradations à nos lecteurs pour qu’ils l’ignorent. Encore plus dans des cimetières ou apparentés.
C’est la première chose que nos consignes de tractage indiquent :
Surtout, qui irait tracter dans un village de quelques centaines habitants sous haute surveillance policière alors que la population se demande depuis des jours pourquoi la commune est quadrillée par la gendarmerie.
Ça n’a aucune cohérence.
L’affaire a tous les traits d’une opération politique. La promptitude de la préfecture laisse peu de doutes, les célébrations antifascistes prévues par les communistes et le gouvernement encore moins.
#CommuniquéDePresse
Le @Prefet64 condamne fermement les actes antisémites commis sur la commune de #Gurs, et apporte son soutien aux communautés visées par tous types d’actes antireligieux pic.twitter.com/vlsdPq5o5W— Préfet des Pyrénées-Atlantiques (@Prefet64) September 13, 2023
D’autant que l’on apprend qu’une mosquée a été opportunément visée dans la même région et que la préfecture – Darmanin donc – s’empresse là encore de se poser en protectrice des musulmans.
Manifestement, ce qui ressemble à un bricolage grossier à base de gros titres a pour but d’intimider les unités de propagande autonomes qui depuis des mois, en respectant scrupuleusement les consignes de sécurité données, ont réalisé un travail qui a terrifié le pouvoir juif. Ce à quoi s’ajoute la censure massive de notre site par le ministère de l’intérieur.
Darmanin se livre à des provocations dans le but de s’attacher l’appui des juifs en vue de 2027. Comme son bilan est catastrophique sur tout, la carte juive est à peu près la seule dont il dispose. D’autant qu’il est lui-même d’origine sémitique.
Quoi qu’il en soit, nous redisons à nouveau ce que nous avons toujours dit, à savoir que notre action est purement informationnelle et non-violente. Mais elle doit avoir lieu, peu importe les menaces de cette république juive condamnée.