La rédaction
Démocratie Participative
21 septembre 2023
Depuis l’origine cette histoire de « projet de dégradations » d’un site de propagande antifa dans les Pyrénées est suspecte, tout comme la distribution de « 5 ou 6 tracts » sur cette commune par des Normands qui auraient traversé la France du nord au sud à cette seule fin.
Nous sommes désormais à la limite de la revendication par les juifs du secteur.
Le président de l’Amicale du camp de Gurs déplore qu’il y ait eu si peu de réactions politiques officielles condamnant la diffusion de tracts néonazis à Gurs. Et il souhaitait le faire savoir.
C’est un fait. L’annonce de la diffusion de tracts néonazis à Gurs la semaine dernière n’a pas déclenché un tsunami de réactions offcielles de la part des hommes et femmes politiques locaux. Il y a eu bien sûr dès mercredi l’indignation du maire de Gurs, Christian Puharré, la condamnation par communiqué du préfet des Pyrénées-Atlantiques Julien Charles, un communiqué de soutien au maire de Gurs et de condamnation des tracts antisémites de la part d’Iñaki Echaniz, le député de la 4e circonscription des Pyrénées-Atlantiques (où la commune de Gurs est située), et un tweet (lui aussi de soutien au maire et de condamnation des tracts) du délégué départemental du Rassemblement national François Verrière. Trois jours plus tard, la fédération des Pyrénées-Atlantiques du PCF a communiqué à son tour pour alerter sur “l’accroissement de la menace fasciste”. C’est à peu près tout.
C’est toujours important de rappeler que le RN mariniste est le seul parti authentiquement antifa avec le Parti Communiste.
Du côté de l’Amicale du camp de Gurs, le président André Laufer est très étonné, pour ne pas dire plus, par ce « silence radio » de tous les autres acteurs politiques locaux.
Cet André Laufer, qui se plaint de ne pas faire la une des médias, est juif.
Étonnant.
Tout comme il trouve surprenant de ne pas avoir été interrogé par les médias “en tant qu’association la plus ancienne à intervenir sur l’ancien camp”. C’est sous son impulsion que des premières réalisations mémorielles ont eu lieu : le sentier, la baraque reconstituée, le pavillon d’accueil. L’Amicale du camp de Gurs qui entend « fusionner toutes les mémoires du lieu », travaille aussi avec le Pays de Béarn sur le projet de mémorial-musée qui devrait aboutir d’ici 3 ans.
Ce juif cherchait manifestement un maximum de publicité pour son Puy-du-Fou antifa, intégralement financé par les goyim.
Il semble qu’il espérait de larges retombées médiatiques de ce soi-disant « projet de dégradation » et de cette « distribution » de tracts.
Las, c’est un flop. C’est d’autant plus remarquable que d’ordinaire les politiciens ne se font pas prier pour se répandre en serments de fidélité à la race juive.
« Cette affaire de tracts est choquante à tous les égards, commente le président de l’Amicale du camp de Gurs. Mais au-delà de l’affaire elle-même, ce qui est aussi choquant, c’est le peu de réactions politiques qu’elle a suscitées. Le maire de Gurs a reçu des messages de sympathie du député Iñaki Echaniz et de la sénatrice Frédérique Espagnac, l’Amicale rien du tout. Nous aimerions être contactés quand il se passe quelque chose de grave à Gurs. »
Ce bruit hébraïque est caractéristique.
Encore une fois, les nationaux-socialistes ne dégradent pas les cimetières. C’est une pratique juive qui remonte au 19e siècle en Allemagne pour discréditer les antisémites.
André Laufer ne « veut viser personne ». Mais il donne quand même quelques directions : « Monsieur Bayrou est président du Pays de Béarn qui est en charge de la réalisation du mémorial de Gurs, pas loin d’aboutir. S’il se passe quelque chose à Gurs, ça le concerne. Le président du conseil départemental ? Silence radio ! Les sénateurs candidats bientôt à leur réélection ? Silence radio, ou pas de déclaration officielle. Que faire sinon m’adresser à la presse et dire que l’Amicale du camp de Gurs qui défend les mémoires, dont la mémoire juive, s’étonne du silence du personnel politique qui aurait dû prendre publiquement position contre cette distribution de tracts infamants ? »
« Monsieur Bayrou est président du Pays de Béarn qui est en charge de la réalisation du mémorial de Gurs, pas loin d’aboutir. S’il se passe quelque chose à Gurs, ça le concerne. Le président du conseil départemental ? Silence radio ! Les sénateurs candidats bientôt à leur réélection ? Silence radio, ou pas de déclaration officielle. Que faire sinon m’adresser à la presse et dire que l’Amicale du camp de Gurs qui défend les mémoires, dont la mémoire juive, s’étonne du silence du personnel politique qui aurait dû prendre publiquement position contre cette distribution de tracts infamants ? »
Conclusion d’André Laufer qui admet en avoir « gros sur le cœur » : « C’est un peu paradoxal que le Rassemblement national ait été un des seuls à réagir. Quand je vais rendre compte de cela à mon conseil d’administration cette semaine… ».
Nous avons à faire à une manipulation sémitique, c’est l’évidence.
Cette affaire a été montée de toutes pièces par ce réseau judéo-marxiste embusqué dans les Pyrénées.
Les deux Normands imprudents n’ont pas respecté les consignes de tractage, ce qui a été exploité pour une embuscade manifeste.
Les figures locales en savent plus long et évitent de se mêler de ce que cette bouche menteuse trafique, par soucis de prudence. Sauf le RN, bien entendu, qui est non seulement composé d’antifas, mais surtout de buses pathologiquement enjuivées incapables de faire preuve de deux sous de flair.
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