Captain Harlock
Démocratie Participative
24 février 2021
Nous avons des nouvelles de Madama, le berger magique du Mali dont les patrons se laissent mourir de faim pour pouvoir le garder comme larbin !
Si vous ne connaissez pas cette histoire miraculeuse, lisez notre article à ce sujet.
Au Puy-en-Velay, une horde de Boomeuses adoratrices du phallus négroïde s’est rassemblée pour exiger le droit du cafre à saillir autant de Blanches qu’il veut.
Si vous voulez comprendre la sociologie de l’immigrationnisme pathologique en France, vous avez là un modèle réduit du problème.
Et comme j’ai coutume de dire, tout problème a un nom et un prénom.
Tout y est.
La vieille Boomeuse retraitée de l’Education Nationale, vieille gouine hétérophobe du Front de Libération de la Femme et militante trotskiste endurcie.
Ce que j’ai eu à subir de faciès de ce genre quand j’étais élève
Il y a même des gens en France qui sont suffisamment névrosés pour devenir les hommes sandwich de la cause du nègre.
Les colliers de barbe du Parti Communiste, syndicalistes jaunes gras comme des porcs.
Bien sûr, la mère Thénardier, ravagée par la clope et le rosé.
Enfin, le clou du spectacle : Jésus, étudiant en français LV3.
Oy gevalt !
L’honnêteté m’oblige à dire que de cette galerie de gueules de cauchemar, seul le nègre fonctionne avec un semblant de normalité. Contrairement aux autres, il a une raison logique pour être là : squatter. Tous les autres pue-la-pisse sont mûrs pour l’internement sous contrainte.
Voilà ce qui se passe sur l’arrière du front, chers amis.
Parlons maintenant du front en tant que tel.
Si par hasard vous connaissez des Français qui servent dans le corps expéditionnaire déployé au Mali, faites leur tourner cette vidéo pour qu’ils sachent au moins pour qui et pour quoi ils sacrifient leur barbaque – vieilles profs blanches, fuyards maliens, Boomers cégétistes et journalistes homosexuels de gauche.
Et juifs, bien entendu.
La fine enculerie, c’est de refiler « un hommage national » à la viande froide de cette sinistre farce.
Soudain, flonflons partout, hyper nationaliste même.
Voilà qui colle parfaitement avec la prophétie de Céline.
Nos chefs, nos cadres sont morts pendant la guerre super criminelle 14-18. Ils ont été immédiatement remplacés au pied levé par l’afflux des arménoïdes, araboïdes, italoïdes, polonoïdes etc. tous énormément avides, bercés depuis toujours au rêve, dans leurs bleds infects, de venir jouer ici les chefs, de nous asservir, nous conquérir, (sans aucun risque). Une magnifique affaire ! Nos héros 14-18, leur cédèrent sans barguigner leurs places toutes chaudes. Elles furent comblées immédiatement. 4 millions de polichinelles anti-français de corps et d’âmes, français de jactance seulement, on a bien vu ce que valaient les cadres Boncourt, les naturalisés Mandel pendant la guerre 39-40 ! Les femmes se marient avec ce qu’elles trouvent ! Certes ! Nouvelle floraison de métis ! Quelle comédie ! Quel lupanar ! Ainsi soit-il !
« Ils viennent jusque dans nos bras ! Egorger etc. » Ce ne sont pas du tout les « féroces soldats » qui ravagent et détruisent la France mais bien les renforts négroïdes de notre propre armée. Pour être juste, ils n’égorgent rien du tout, ils saillent. Et c’est l’imprévu de la « Marseillaise » ! Rouget n’avait rien compris, la conquête, la vraie de vraie, nous vient d’Orient et d’Afrique la conquête intime celle dont on ne parle jamais, celle des lits. Un empire de 100 millions d’habitants dont 70 millions de cafés au lait, sous commandement juif est un empire en train de devenir Haïtien, tout naturellement. Sommes-nous complètement abrutis ? C’est un fait, par l’alcool et le métissage, et puis pour bien d’autres raisons…
Allez, Gaulois, va crever pour les nègres hilares qui s’empressent de détaller de leur bled africain que tu sécurises, sûrs de pouvoir cheminer en sens inverse pour rejoindre ta Gaule natale et mieux te remplacer sous les hourras des préfets et de toute la presse rouge, juive, démocratique qui tire déjà la gueule d’ennui à l’idée de faire une pige sur ta future tripe étalée dans les sables.
Par contre, bidasse, quel élan poétique, à longueur d’interminables colonnes, pour évoquer les carapatés-crépus arrivés pieds nus sur ton palier, déjà sûrs de leur conquête, sans fusil, munis en tout et pour tout de leur bite et de toute la prévenante attention des assistantes sociales. Bidasse, si tu es toléré, c’est uniquement pour ça : jouer les vigies à Mopti pour que les nègres transitent plus sûrement vers ton village sur les bords de Loire et remplacer ta carcasse refroidie le moment venu dans le doux plumard des familles.
100% République, 100% Résistance, 100% Droits de l’Homme : la promesse du nègre à babines !
Et si tu rentres bidasse, tu feras plaisir à personne. Ce sera des grimaces et des langues de travers, des regrets meurtriers poliment ravalés.
*Merci à Faurisson Sec