Progressisme : Mélenchon fait raquer 1 million d’euros au prolétariat pour gaver sa pute algérienne

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
16 février 2018

Le prolétariat mélenchoniste a passablement été enculé. Qui l’aurait cru ?

BA.com :

Jean-Luc Mélenchon a fait bénéficier à sa compagne algérienne Sophia Chikirou (lire ici) de 1,1 millions d’euros en frais de campagne lors des dernières élections présidentielles.

Celui qui s’est reconverti dans la « révolution citoyenne » a su se montrer généreux avec celle qui est à la tête de l’entreprise ayant assuré la communication de la « France Insoumise ».

« Mediascop » – l’entreprise précitée – a ainsi perçu 1 161 759 euros pour ses prestations durant la période électorale.

Autre point important : des surfacturations ont été relevées par la Cour Nationale des Comptes de Campagnes. Dans sa décision parue au Journal Officiel le 13 février (source), on peut lire que l’entreprise de Sophia Chikirou a surfacturé des prestations pour un bénéfice net de plus de 32,000 euros.

Du matériel de propagande réalisé par « Médiascop » a en outre été intégré dans les comptes officiels de campagne de l’organisation d’extrême-gauche alors même que la campagne officielle n’avait pas débuté. Montant du remboursement demandé : 45,000 euros.

Ce type s’est constitué un véritable harem aux frais des contribuables français.

Wikipédia :

D’origine algérienne, Sophia Chikirou naît en Haute-Savoie et y grandit. Elle est diplômée de l’Institut d’études politiques de Grenoble4, d’études supérieures spécialisées en communication politique et sociale (2002) et titulaire d’un master 2 ès ressources humaines et responsabilité sociale de l’entreprise à l’IAE Paris.

Le frère trois-points était auparavant logé avec Saïda Jawad.

Ce type a entrepris de transformer la France en souk pour compenser le mal du pays.

Quand Mélenchon parle de la France ou des Français, c’est avec répulsion. La haine raciale déborde, chose qui explique son rapprochement avec les trotskistes sépharades.

La « ville extraordinaire de Tanger » où « il y avait toutes les nations du monde ».

L’utopie cosmopolite.

Il suffit de le faire parler du Maroc pour que le patriotisme brille dans ses yeux.

D’ailleurs, il dit « Nous Méditerranéens » et parle de « l’Andalousie », notre « petite terre commune aux uns et autres ».

Ouai.