Profitant cyniquement de la mort du prof Samuel Paty, la Licra exige de Dupond-Moretti l’instauration de la terreur judiciaire juive totale

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 octobre 2020

Le détrousseur de cadavres éternel qu’est le juif ne perd jamais l’occasion d’exploiter la mort d’un goy, fût-il à son service, pour étendre encore plus drastiquement sa tyrannie génocidaire.

L’organisation suprémaciste juive du CRIF et son bras politico-terroriste qu’est la Licra viennent de le démontrer une nouvelle fois. Exploitant avec avidité la mort du professeur Samuel Paty, ces vampires ont sauté sur l’occasion pour exiger une soumission plus complète de la justice à la cause juive internationale.

Leur but est de faire emprisonner n’importe qui, n’importe quand, sur simple ordre donné par le Kahal aux magistrats.

Licra :

La procureure générale près la Cour de Paris, Mme Catherine Champrenault, a proposé au Garde des Sceaux de sortir les délits de presse liés à l’incitation à la haine de la loi de 1881 pour les inscrire dans le code pénal.

C’est, pour la LICRA, une grande victoire que de voir aboutir enfin cette proposition initiée par mon prédécesseur Alain Jakubowicz et portée avec constance par mon équipe avec le soutien de 70 parlementaires.

Alain Jakubowicz est l’avocat juif de l’égorgeur d’enfants Lelandais.

Voici l’enculé d’avocat sans scrupule, qui a osé mentir grossièrement en disant que la forme blanche dans la voiture de #Lelandais était une femme avec décolleté, maître Alain Jakubowicz ,vous êtes une grosse merde #Maelys #Lelandais pic.twitter.com/gsCU764tba

— Douce Agonie Emeraude (@Fuck_Jihad_) February 14, 2018

Animé d’une féroce haine raciale envers les populations blanches, c’est aussi un architecte du Grand Remplacement. On lui doit la mise à l’honneur de Cédric Herrou, activiste spécialisé dans l’infiltration du territoire français par les clandestins afro-musulmans.

La @_LICRA_ est fière d’honorer Cédric Herrou. Ce qu’il a fait est exceptionnel de fraternité ! #conventionlicra pic.twitter.com/3UeUToAEDB

— Alain Jakubowicz (@JakubowiczA) March 25, 2017

En réalité, la Licra ici n’est que le faux-nez du CRIF. Le président de la juiverie française Francis Kalifat avait explicitement demandé cette mesure il y a quelques semaines à Dupond-Moretti, ministre « de l’antiracisme » de Macron.

Il s’agit d’une conspiration juive pour détruire le peu qu’il reste de la loi de la presse de 1881.

Nous appelons le gouvernement, et singulièrement M. Le Garde des Sceaux a saisir cette opportunité historique qui permettra d’inscrire dans le régime de droit commun les incitations à la haine « raciale » et conduira à l’application rapide et ferme de notre arsenal judiciaire contre l’expression de la haine raciste et antisémite, notamment sur les réseaux sociaux.

Notre pays a fait l’expérience de cette réforme s’agissant de l’apologie du terrorisme depuis la réforme portée par Manuel Valls et Bernard Cazeneuve : grâce à ces dispositions adoptées en 2015, la justice peut ainsi convoquer et le cas échéant entendre sous le régime de la garde à vue sans délai ceux qui font l’apologie du terrorisme. Il doit en être de même pour les délits racistes et antisémites.

Nous demandons à M. le Garde des Sceaux de recevoir la LICRA pour engager cette réforme dans les meilleures conditions possibles et faire la preuve, auprès de nos compatriotes, de la force de notre droit sur ceux qui veulent anéantir notre régime de libertés.

On reconnaît bien là le culot du juif qui hurle à la liberté au moment où il l’assassine.

Le juif recourt toujours au culot le plus outrancier pour surprendre le goy et le désorienter.

Le but est simple : si cette mesure est adoptée, l’opposant pourra passer en comparution immédiate, être jugé entre deux dealers de shit en moins de 10 minutes puis être emprisonné sur-le-champ, l’appel n’étant pas suspensif contrairement à ce que prévoit la loi sur la presse de 1881. L’arbitraire étant la règle, n’importe quelle phrase suffira à un juge stipendié pour faire condamner n’importe qui.

L’objectif de la police politique juive est d’aller au bout de sa logique terroriste consistant à affirmer qu’une opinion critique n’est pas une opinion dès lors que le pouvoir juif la craint.

L’idée est aussi de se débarrasser des procès contradictoires prévus de longue date qui sont devenus de véritables manifestations antijuives rassemblant des centaines de partisans des personnes persécutées par le pouvoir juif.

Les juifs étaient habitués, depuis les années 80, à organiser de grands procès à spectacle avec une débauche de couverture médiatique sous les applaudissements de laquais à leur botte.

Comme le procès truqué du héros Klaus Barbie, opposant farouche à la bête hébraïque.

Ils étaient convaincus que cela durerait éternellement mais aujourd’hui, ces procès sont devenus un véritable supplice médiatique pour le juif. Ces hébreux ont compris qu’ils avaient perdu tout soutien dans l’opinion. Aussi ont-ils décidé de détruire les résistants dans l’ombre de procès réunis en secret, si possible tard dans la nuit. C’est ce que permettrait techniquement un tel basculement du délit d’opinion dans le droit commun, aux côtés du racket et du viol. Il s’agit désormais de procéder à des arrestations et emprisonnements d’opposants en masse.

Ces tentatives désespérées du juif de s’accrocher au pouvoir démontre à quel point il est déjà vaincu. Si cette hyène peut encore mordre sporadiquement, cela n’a plus aucune importance. L’opinion a massivement basculé du côté de l’antisémitisme, peu importe la forme qu’il prend.

Ce n’est pas une petite victoire. La France juive est une relique du passé et le futur de la France, peu importe ce qu’il sera, s’écrira sans la juiverie.

En attendant, recourrez à un VPN comme nous vous l’avons régulièrement dit de le faire. Votre anonymat est votre arme face aux menées liberticides de la race juive.

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