Captain Harlock
Démocratie Participative
11 novembre 2021
L’exhibitionnisme obscène des juifs ne connaît aucune limite.
Cette fabrication judiciaire en est la dernière expression.
BFMTV :
Le parquet avait requis la peine maximale à l’encontre du principal suspect. Le caractère antisémite du meurtre et du vol de l’octogénaire a été retenu par la cour d’assises.
Yacine Mihoub a été condamné mercredi par la cour d’assises de Paris à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une période de sûreté de 22 ans pour le meurtre en 2018 de Mireille Knoll, avec la circonstance aggravante de l’appartenance de la victime à la communauté juive.
Son co-accusé Alex Carrimbacus a été acquitté pour le meurtre de l’octogénaire mais condamné à une peine de 15 ans de réclusion assortie d’une peine de sûreté de deux tiers pour le vol de la victime. Le caractère antisémite a également été retenu pour lui, de même que la circonstance aggravante de la vulnérabilité de Mme Knoll, 85 ans et très affaiblie par la maladie de Parkinson.
La cour a estimé que les faits s’étaient inscrits dans un « contexte global antisémite », selon la lecture faite par le président Frank Zientra après plus de 9 heures de délibéré. Selon la cour, « le caractère crapuleux a été alimenté par une haine en raison de l’appartenance » de la victime à la « religion juive » et par des « préjugés » de Yacine Mihoub et des « croyances que des richesses puissent être dissimulées » dans le logement social de Mireille Knoll.
Encore une fois, c’est faux. Le mobile du meurtre est complètement occulté par la presse juive pour inventer un « crime antisémite ».
Ce qui a poussé ce maghrébin alcoolique – doublé d’un détraqué sexuel – à tuer cette vieille juive n’a rien à voir avec cette rumeur absurde d’antisémitisme. Yacine Mihoub était un ami de longue date de cette juive et c’est parce que la vieille Knoll avait témoigné contre lui dans une affaire d’agression sexuelle commise sur la fille de son aide ménagère que Yacine Mihoub avait voulu se venger.
Arrêté et mis en prison, Mihoub n’avait pas pu assister à l’enterrement de sa sœur. Devenu ivre de rage, il ruminait sa vengeance.
Bien que ce mobile soit documenté et connu, il est totalement escamoté par les juges à la solde des juifs et occulté par la presse juive.
Pour les juifs, l’objectif est clair : il s’agit d’instrumentaliser ce meurtre pour la cause de la suprématie juive. Ils ont décrété que ce meurtre était « antisémite » et ont ensuite monté un dossier bidon en limitant d’autorité l’affaire à ce seul et unique axe. La presse juive l’a vendu aux masses sidérées qui, comme de juste, se contentent de répéter stupidement les mensonges énormes des juifs.
« C’est juste, c’est ce qu’on attendait. Notre famille va pouvoir démarrer son deuil », a réagi le petit-fils de Mireille Knoll.
Cela n’a rien à voir avec un quelconque « deuil ».
C’est le narcissisme tribal pathologique de cette race qui a besoin d’étancher sa soif.
Une condamnation pour meurtre ne leur suffisait pas, bien qu’elle était inévitable et qu’elle se serait conclue de toute façon par une peine à perpétuité. Dans cette affaire, les juifs voulaient que leur rang racial soit explicitement signifié à tous pour rappeler aux goyim leur domination raciale de droit divin en France, domination légitimée par le statut paradoxal de « victimes » que s’arrogent ces despotes orientaux.
Vous devez comprendre que ce n’est pas fortuit, c’est leur psychologie raciale profonde.
La beauté du peuple de dieu
Il s’agit aussi de rappeler à la plèbe française l’existence d’une stricte hiérarchie raciale et que la vie d’un juif vaut le centuple de la vie d’un goy.
Quand je dis le centuple, c’est la mesure précise : chaque année, plus de mille Français sont tués et pourtant ces meurtres sont considérés comme des assassinats « communs ». Il n’y a en effet aucune circonstance aggravante au fait pour un étranger de tuer un Français en France, contrairement au fait de tuer un juif en France.
Vous êtes tout en bas de l’échelle raciale dans votre pays et ces juifs entendent bien en faire le principe de leurs tribunaux coloniaux.
Chaque fois qu’un juif mourra dans des conditions identiques à celles qui peuvent frapper des petits Français, nous assisterons à la fabrication ex nihilo d’un « crime antisémite » sur la seule base des hurlements de juifs qui tiennent plus férocement que jamais à leur prééminence raciale en France.
Il y aura donc deux types de meurtres : les meurtres de juifs et les meurtres des autres, les premiers étant bien plus sévèrement punis que les seconds.
Même dans la tombe, vous devrez encore être sous le juif.
C’est ce statut colonial que vise à créer cette parodie de procès où un maghrébin paumé est transformé en régicide pour les besoins de l’arrogant peuple de Yahvé.
Mais en dernière analyse, le véritable message des juifs est celui-ci : en France, votre vie ne vaut rien, celle d’un juif vaut tout.
Ensuite, tout le decorum est convoqué.
La mort de Mireille Knoll, qui avait fui Paris en 1942 pour échapper à la rafle du Vel D’hiv, avait suscité une vive émotion, d’autant plus qu’un an auparavant, Sarah Halimi, sexagénaire juive, avait été tuée et défenestrée par un homme finalement considéré comme irresponsable pénalement.
Trois jours après la mort de Mireille Knoll, le parquet de Paris ouvrait une information judiciaire pour « assassinat » à caractère antisémite, avant que l’affaire ne soit renvoyée en juillet 2020 devant les assises de Paris pour homicide volontaire.
La question du caractère antisémite du crime a concentré les débats devant la cour. Des bribes de conversation sur les Juifs et des poncifs sur leur richesse supposée, mais aussi des recherches internet ont constitué les faisceaux pour déterminer le « halo antisémite » dans lequel, selon l’avocat général et les parties civiles, s’est déroulé le crime.
Bienvenue dans le « halo antisémite » où les juifs mythomanes peuvent faire condamner n’importe qui pour crime de lèse-majesté imaginaire.
Il y a toutefois pire que les juifs : ce sont les goyim serviles qui se précipitent aux pieds de ces juifs tyranniques et geignards qui ricanaient à notre face à chaque fois qu’un arabe égorgeait un Français – les tortionnaires sadiques que sont les Julien Dray, Benjamin Stora, Bernard-Henri Lévy, Jacques Attali et qui aujourd’hui se lamentent parce que les lames algériennes plantent aussi leur race.
Par détestation des arabes, tous ces boloss acceptent de conforter ce crachat final que les juifs nous font lorsqu’ils proclament haut et fort que nos petits vieux massacrés par l’immigration qu’ils ont organisée sont quantité négligeable comparativement aux rares membres du peuple élu qui se font étriller par leurs petits protégés de la diversité.
Sans ces facilitateurs, ahuris ou serviles, le juif aurait déjà été neutralisé et un nombre considérable de vies blanches sauvées.
Pire que le juif, les goyim au service du juif.