Pris de panique face à la révolte gauloise, le QUI? fait trembler le pouvoir juif sur ses bases

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 août 2021

 

Les juifs sont de plus en plus fébriles depuis que les foules de goyim révoltés posent des questions sur l’identité des partisans de la tyrannie sanitaire.

L’autorité coloniale est furieuse.

Beaucoup de Français seront surpris de découvrir qu’un état du Proche-Orient parquant les arabes dans des camps de concentration à ciel ouvert fait la police politique dans les rues françaises.

Mais pas nous.

Le thème de « l’impunité » est d’une insolence caractéristique de la part de ces sémites quand on sait que le juif à la tête de Pfizer Albert Bourla a exigé et obtenu l’immunité pénale à l’échelle internationale pour toutes les morts qui suivraient cette campagne de vaccination de masse.

Les tentacules de la pieuvre ont ensuite annoncé que les Français n’avaient pas le droit d’utiliser un pronom de la langue française en France.

QUI, en l’occurrence.

Il semble que le pronom QUI menace gravement la démocratie.

Cela peut paraître obscur pour un Français. Il faut décoder.

Les juifs ont le pouvoir honteux.

Ce n’est pas que les juifs n’exhibent pas le contrôle total qu’ils exercent sur la France – contrôle devenu totalement despotique depuis que la conjuration globaliste a disséminé ce virus fabriqué en laboratoire de par le monde.

Au contraire, les juifs adorent mettre en scène les signes de cette domination jusqu’à en faire des rites d’humiliation publics.

La nuance est celle-ci : les goyim sont censés voir la domination juive mais ne pas la remarquer.

C’est une nuance de taille.

Ne pas nommer le juif publiquement, c’est accepter comme naturelle sa domination tribale sans partage sous l’effet d’un ensorcèlement collectif. Vous devez savoir qui est votre maître et vous soumettre en gardant le silence.

C’est toute la force du mème « QUI? » de Posternak : oui les juifs contrôlent le système mais vous ne pouvez le dire à aucun moment, faute de quoi tout le pouvoir juif s’écroule.

Nommer le juif en public, c’est dire que le roi est nu : soudain, tout le monde réalise que le roi est effectivement nu.

Le juif ne peut agir au sein d’un peuple étranger qu’en parvenant à dissimuler son action parasitaire en neutralisant le radar des goyim.

C’est ici que le juif convoque son art du mensonge : pour préserver son camouflage, il ment aux goyim sur sa nature comme sur ses intentions, usant du mimétisme social pour se fondre dans la masse, infiltrer et conspirer.

Mais s’il est finalement remarqué par les autochtones devenus méfiants, sa magie s’évapore aussitôt : il ne peut plus se mouvoir sans être vu pour ce qu’il est.

La lumière du jour lui est fatale.

Historiquement, une telle prise de conscience collective à propos de la cinquième colonne juive se termine en désastre pour les juifs. Ils en sont parfaitement conscients.

Le juif sait que dans un combat frontal, il n’a aucun chance de l’emporter. Les goyim sont trop nombreux. C’est pourquoi son pouvoir repose sur la tromperie et la division des goyim.

Découvert, le despote hébraïque se mue en victime larmoyante jurant de ne pas comprendre ce qui lui arrive, renversant l’accusation et convoquant devant ses tribunaux les victimes qui ont eu l’audace de le défier.

Les juifs ne veulent jamais répondre aux questions.

A la place, ils menacent dans leur presse mensongère ceux qui posent des questions.

Quand vous posez une question à quelqu’un et que celui-ci vous répond en vous menaçant, vous savez que vous avez face à vous un coupable.

Le pouvoir juif peut être abattu en posant simplement la question : QUI?

Le juif sait qu’il est découvert par un nombre croissant de personnes. Quand le nombre de gens finalement sortis de leur sommeil par l’agressivité prédatrice du juif aura atteint une masse critique, son règne despotique s’écroulera sur lui-même.

Le juif, en ce moment même, a peur.

Quand le juif a peur, il perd ses moyens et révèle sa véritable nature en se défaisant de son masque. C’est la spirale du dévoilement qui le perd toujours : plus on le nomme, plus le juif baisse le masque, plus il baisse le masque et plus il est nommé.

Nous n’allons pas cesser de poser la seule question qui compte : QUI ?

Aucune menace de cette race méprisable ne nous fera céder.

En mobilisant l’appareil d’état sous son contrôle contre cette jeune femme, le juif a cédé à son hubris en provoquant une escalade catastrophique qui ne peut se convertir qu’en désastre pour la Judée.

Le gouvernement qu’il a à sa botte ne pourra pas le sauver de la divulgation de la vérité.

Une idée vraie ne peut pas être stoppée par une police.

La semaine prochaine, il y aura encore plus de slogans « QUI? » dans les rues et ce jusqu’à ce les menaces du juif soient vidées de toute substance sous le poids du nombre de Gaulois insurgés.

Le juif ne peut déjà plus l’emporter : il a déjà perdu.

Avec vos pancartes, vous avez abattu sa magie noire.

Produisez-en le double samedi prochain, puis le triple le samedi d’après.

Cette révolution gauloise n’en est qu’à ses débuts.

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