Captain Harlock
Démocratie Participative
08 octobre 2018
Impressionnant, vraiment impressionnant.
Les sondages donnaient Bolsonaro à 23% il y a un mois, il est arrivé en tête du premier tour à 46%.
Fidèle à lui-même, Jair Bolsonaro a surpris à l’annonce des résultats qui le place largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle brésilienne (46,06%), en en contestant la validité: «Je suis certain que si ça n’avait pas eu lieu (des problèmes avec les urnes électroniques, NDLR) nous aurions eu dès ce soir le nom du président de la République. C’est notre liberté qui est en jeu». Ces partisans étaient réunis devant le siège du Tribunal suprême électoral (TSE) à Brasilia en criant «Fraude». Le désormais favori pour le second tour qui se déroulera le 28 octobre prochain a annoncé qu’il allait saisir le TSE.
Oui, les marxistes ont bien évidemment triché un maximum pour empêcher la victoire du Leader.
Mais malgré cette triche, le raz-de-marée est trop puissant.
Le tsunami Bolsonaro.
C’est un véritable séisme pour le pays. Si les sondages le plaçaient largement en tête depuis que la candidature Lula a été invalidée, aucun ne lui prédisait un tel score, qui le place à deux doigts d’une victoire dès le premier tour, devant Fernando Haddad (29,24%).
Regardez cette progression énorme.
??#Brazil, general election #poll :
⏫#Bolsonaro : 35 % (+3 %)
?#Haddad : 22 % (+1 %)
⏸️#Gomes : 11 %
?#Alckmin : 8 % (-1 %)The first round of this election will take place tomorrow.#Datafolha, 04/10/18 pic.twitter.com/bgLI51NNf8
— World Elects (@ElectsWorld) 6 octobre 2018
Si certains de nos lecteurs comprennent le portugais, voici sa déclaration après cette performance hors norme.
La télévision d’état judéo-communiste française a immédiatement déclaré la guerre au héros.
Sur France 24 – la chaîne internationale de la république juive de France – le juif jean-jacques kourliandsky, inévitable « chercheur au CNRS » – dénonçait avec virulence l’électorat blanc responsable de ce désastre politique.
Ces juifs ne cesseront jamais de répandre leur haine de l’humanité blanche, peu importe le pays ou le contexte.
Pour la gauche judéo-marxiste, le Brésil n’est pas n’importe quel pays, c’est son pays, celui du laboratoire de la société multiraciale que les juifs veulent étendre à la planète entière, Europe en tête.
En France, ce pays va devenir l’objet d’une campagne de haine incessante, à l’image de ce que connaît l’Amérique sous Donald Trump.
Le problème du Brésil, ce sont bien sûr ses dizaines de millions de nègres qui plombent le développement du pays. Bolsonaro a su s’attirer des appuis qui comprennent parfaitement cette réalité, y compris chez d’autres groupes raciaux ayant conscience de ce problème. Comme ce général indien Mourao.
Europe 1 :
« Messieurs, Mesdames, laissez-moi passer, mes fils m’attendent. Mon petit-fils est mignon, vous avez-vu ? Le blanchiment de la race« , a déclaré samedi soir devant des journalistes le général Mourao à son arrivée à l’aéroport de Brasilia, selon des propos rapportés par la presse.
Hamilton Mourao, 65 ans, fils d’un général ayant joué un rôle de premier plan dans le coup d’État de 1964, a défrayé la chronique à plusieurs reprises pendant la campagne. Il a déclaré que le Brésil était plombé par un héritage issu de « l’indolence des Indiens et de la roublardise des Noirs » et que les familles monoparentales sans figure paternelle étaient des « fabriques à individus non intégrés qui ont tendance à grossir les rangs des narcotrafiquants ». Il avait été ensuite sèchement recadré par Jair Bolsonaro, qui lui a reproché de trop parler.
Effectivement, il faut savoir se taire encore quelques semaines.
Après, ce sera différent.
Ce que l’on peut et doit légitimement attendre du Leader Bolsonaro, c’est de réprimer avec la dernière férocité la moindre agitation négro-communiste dans le pays. En plus, bien sûr, du démantèlement de l’état communiste qui permet à ces dizaines de millions de nègres de sucer le sang des populations d’origine européenne.