Première manifestation anti-muselière à Madrid !

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 août 2020

 

Après l’Allemagne, c’est l’Espagne qui a organisé sa première véritable manifestation anti-muselière. Il y avait beaucoup d’énergie chez les participants.

Le système redoute particulièrement ce type de manifestations qui remet radicalement en cause la narration pandémique sans laquelle la dictature sanitaire globale perd tout crédit dans l’opinion.

En parcourant la presse, on mesure la crainte sous-jacente dans les rédactions de voir ce phénomène s’amplifier et atteindre la France.

20 Minutes :

Si officiellement les participants se sont rassemblés pour défendre leur liberté, la manifestation dimanche à Madrid avait plus des allures d’un rassemblement de complotistes. Aux cris de « Liberté ! » et sous des pancartes proclamant entre autres « Le virus n’existe pas » ou « Le masque tue », des centaines de personnes ont défilé pour protester contre le port obligatoire du masque et d’autres restrictions imposées pour lutter contre la pandémie de coronavirus.

La foule, mobilisée par les réseaux sociaux, s’est rassemblée sous le drapeau espagnol géant qui décore la place Colon, dans le centre de la capitale. Pilar Martin, une femme au foyer de 58 ans originaire de Saragosse a déclaré être venue manifester parce qu’elle pensait que les gouvernements du monde entier exagèrent les chiffres des personnes infectées afin de restreindre les libertés publiques. « Ils nous forcent à porter les masques, ils veulent nous confiner. Ce ne sont que des mensonges », a-t-elle déclaré.

De nombreux manifestants ne portaient pas de masques, bien que ce soit obligatoire en public en Espagne. Le port du masque a été d’abord imposé début mai dans les transports en commun puis a été élargi dans un pays où le nombre de mort approche les 29.000.

Cette manifestation intervient deux jours après que le gouvernement a annoncé de nouvelles restrictions, dont la fermeture des discothèques et l’interdiction de fumer là où il est impossible de se tenir à moins de deux mètres les uns des autres.

Les participants sont décrétés « complotistes » par les médias. Si ça ne suffit pas, le système les accusera ensuite d’être « d’extrême-droite ». Le terme « extrême-droite » est simplement un qualificatif générique qui a la même valeur sociale et politique que l’excommunication au Moyen-Âge. Le but est de marginaliser les contestataires en les diabolisant et ainsi éviter que le phénomène ne prenne de l’ampleur.

Les juifs de Conspiracy Watch menés par (((Rudy Reichstadt))) sont tout particulièrement inquiets de cette opposition au port du masque.

Les juifs prennent très au sérieux la moindre remise en question de la crédibilité de l’ordre établi parce qu’ils le contrôlent et que toute remise en cause aboutit inévitablement à douter de la parole même du pouvoir juif.

C’est pour cette raison que toute opposition à l’instauration de la dictature sanitaire finira tôt ou tard par être qualifiée « d’antisémite » par défaut. Ce qui est vrai.

Je serais tenté de dire que la façon la plus efficace de lutter contre la juiverie en ce moment est de refuser ce port du masque tout comme le second confinement.

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