Le Libre Panzer
Démocratie Participative
30 octobre 2019
La juive perfide Sophie Wilmes se dissimulait dans l’ombre
Le nouveau chef du gouvernement belge avait dissimulé certaines informations à la population.
Sophie Wilmes est la première femme et la première Juive à devenir Première ministre de Belgique.
Mère de quatre enfants originaire de la région de Bruxelles, elle a remplacé dimanche Charles Michel au poste de chef du gouvernement. Cette responsable politique centriste prendra la tête d’un gouvernement intérimaire pendant les négociations de coalition, qui durent habituellement plusieurs mois en Belgique.
Le gouvernement de Charles Michel s’est effondré l’année dernière, et Sophie Wilmes a pris sa place lorsque celui-ci est parti travailler au siège de l’Union européenne. Les deux appartiennent au mouvement de centre-gauche MR.
La mère de Sophie Wilmes est ashkénaze, et elle a perdu plusieurs proches pendant la Shoah, a confirmé lundi auprès de JTA Philippe Markiewicz, président du Consistoire de la communauté juive de Belgique.
« Elle a caché son identité juive même s’il semble que ce soit un détail privé de sa biographie et un élément qui n’a aucun lien avec le domaine de la prise de décision politique », a-t-il continué.
Le père, Philippe, était chargé de cours à l’université catholique de Louvain. Il n’est pas Juif.
Philippe Markiewicz a qualifié la nouvelle Première ministre, qui s’est rendue à des événements de commémoration de la Shoah et les a évoqués sur son site internet personnel, de « responsable politique travailleuse et engagée ».
Une source au sein de la communauté juive, membre du parti de Sophie Wilmes, qui s’est confiée à JTA sous couvert d’anonymat, a indiqué que le judaïsme n’était devenu que récemment « un facteur plus important qu’avant » dans la vie de la nouvelle cheffe du gouvernement.
Il ne fallait pas attirer l’attention des goyim trop tôt.