Poutine n’a pas fait assassiner Navalny, concède la CIA à contrecoeur

La rédaction
Démocratie Participative
28 avril 2024

Quelqu’un qui fait un coeur avec ses mains pour promouvoir la démocratie mérite d’être sauvagement torturé et exécuté en prison, hélas, Navalny n’est mort que du vaccin

Tout le monde a oublié la mort de ce bisexuel de Navalny, mais pas moi.

Pendant des semaines nous avons subi un torrent de propagande antirusse sur le thème de « Poutine a fait assassiner Navalny, c’est un méchant, un ennemi de la démocratie, il faut une guerre nucléaire contre la Russie ! ».

C’est d’ailleurs sa traînée de femme, qui couchait à droite et à gauche en Europe pendant que son mari expiait ses fautes en prison, qui a joué cette participation avec tout le gratin de la machine de guerre occidentale.

Et le pire, c’est que le bétail goy occidental a avalé ça sans jamais broncher.

Glucksmann, Guetta, ces hébreux étaient partout pour exciter les masses contre la Russie et les pousser à la guerre.

Personne ne demandera de comptes à ces complotistes juifs. Ils continueront d’être dans tous les médias pour mentir et appeler à la guerre mondiale.

N’importe qui avec une once de bon sens savait que c’était absurde.

Et bien c’est officiel, la CIA dit que Poutine n’y est pour rien.

J’ignore pourquoi la CIA avoue cette évidence, mais d’ordinaire quand les juifs consentent à dire une vérité c’est pour dissimuler un mensonge encore plus grand.

Donc, cet aveu est très mauvais signe, d’une façon ou d’une autre.

Le Figaro :

Vladimir Poutine n’aurait pas ordonné directement la mort de Alexeï Navalny en février, selon les informations du Wall Street Journal publiées samedi matin. Le journal américain, qui se réfère aux conclusions de plusieurs agences de renseignement américaines, précise toutefois que cela ne décharge pas le dirigeant russe de sa responsabilité. Cela «épaissit le mystère entourant la mort du dissident dans le goulag de l’Arctique», écrit-il.

Ok.

Donc Poutine n’y est pour rien, mais c’est quand même sa faute.

Le 16 février dernier, la mort d’Alexeï Navalny a été annoncée alors que l’opposant numéro un du Kremlin purgeait sa peine dans la colonie IK-3, située dans le district autonome de Yamalo-Nenet à soixante kilomètres au-delà du cercle polaire arctique. La mort du prisonnier de 47 ans est intervenue alors que plusieurs sanctions touchaient le pays et au cours de négociations sur des échanges de prisonniers entre la Russie et l’Occident.

Navalny n’aurait pas dû se faire vacciner.

Ni épouser une garce prête à le faire empoisonner par colis pour le compte des juifs de Kiev.

Nous avons résumé le parcours de Navalny dans un article de synthèse qui dit l’essentiel à son sujet : il a toujours été un agent de la cinquième colonne juive en Russie.

Russie : le traître à la botte de la juiverie internationale Alexey Navalny meurt en prison

Quoi qu’il en soit, ça ne change rien parce que personne n’admire des tocards de ce genre, peu importe la façon dont ils meurent.

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