Poutine demande à l’OTAN des garanties sur le non déploiement de matériels offensifs en Ukraine, le juif Blinken répond que ZOG est prêt pour la guerre !

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 décembre 2021

La situation redevient volatile à l’Est.

L’origine des tensions reste fondamentalement la même depuis vingt ans, à savoir l’expansionnisme de ZOG sous la forme de l’Otanisation des pays d’Europe orientale avec pour objectif la destruction de la Russie en tant qu’état.

La tentative de révolution de couleur contre la Biélorussie visait à transformer ce pays en province de l’empire judéo-démocratique sur le modèle ukrainien. Minsk aurait été transformée en base subversive avancée en vue de l’assaut final contre Moscou, le centre névralgique de la Russie.

Bernard-Henri Lévy aurait enfin pu réaliser son rêve : succéder à Trotsky et haranguer les goyim depuis la Place Rouge.

Une scène infernale qu’aurait pu peindre Jérôme Bosch.

Fort heureusement, la Russie a réagi et remis de l’ordre en Biélorussie.

Il faut dire que Loukachenko jouait un drôle de jeu depuis quelques années, allant jusqu’à recevoir le patron de la CIA Mike Pompeo peu de temps avant la révolution de couleur avortée.

La Russie, que Poutine soit le président ou non, est désormais suffisamment forte pour poser des lignes rouges et c’est ce qui explique les récentes tensions : soit ZOG se tient à distance, soit la Russie passera à l’action, notamment en détruisant préventivement l’Etat Ukrainien.

En vérité, il n’y a pas d’état ukrainien en tant que tel, seulement une myriade de centres de pouvoir disséminés sur le territoire de l’Ukraine contrôlés par une coalition hétéroclite d’intérêts oligarchiques, tous placés sous la surveillance des juifs de Washington dont le juif Zelensky est le délégué sur place.

D’ailleurs, le juif Zelensky s’est rapidement empressé d’engager la lutte contre l’antisémitisme, c’est-à-dire toute résistance à la voracité des juifs en Ukraine.

Radio J :

Le parlement ukrainien a adopté mercredi 22 septembre une loi définissant l’antisémitisme et l’interdisant dans le pays. Le projet de loi a été approuvé par 283 voix, en attendant l’approbation du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pour l’entrée en vigueur. « L’absence d’une définition claire de l’antisémitisme dans la législation ukrainienne ne permet pas de classer correctement les crimes commis sur sa base », ont affirmé les législateurs qui ont rédigé le projet de loi.

La loi définit l’antisémitisme comme la haine des Juifs, y compris les attaques contre la minorité, les déclarations fausses ou haineuses à leur sujet, ou le refus de l’extermination massive des Juifs ukrainiens pendant l’Holocauste. Endommager des bâtiments et des institutions religieuses relève également de la définition. Conformément à la nouvelle loi, les victimes d’antisémitisme pourront demander réparation pour préjudice moral et matériel.

Le chef de l’Organisation sioniste mondiale Yaakov Hagoel a salué cette décision. « Je félicite le parlement ukrainien d’avoir fait un précédent. C’est une étape importante dans la longue lutte internationale » contre l’antisémitisme, a-t-il souligné, exprimant l’espoir que Zelensky – qui est juif – signera la loi, ce qui en fera « un modèle pour parlements du monde entier. »

Bien que Poutine soit philosémite, probablement le seul véritable philosémite de la Russie entière, la réalité reste la même : la juiverie new yorkaise veut conquérir la Russie, la partitionner en diverses républiques fantoches puis encercler la Chine et la dévorer à son tour.

Tel est le programme des juifs pour établir leur domination mondiale.

Philosémite ou non, Poutine est trop viscéralement russe pour tolérer une telle chose. Il ne l’a pas toléré quand le juif Berezovski planifiait la même chose à la fin des années 90, il ne le tolérera pas davantage aujourd’hui. En outre, Poutine n’est pas le seul facteur : personne en Russie ne tolèrerait une telle chose.

Ce que demande Poutine est assez simple : l’arrêt définitif de l’expansion de l’Otan à l’Est.

En soi, cela ne semble pas excessif, d’autant que l’Otan prétend être une organisation pacifiste dont l’objet est la promotion des parades anales dans le monde.

L’Otan – c’est-à-dire les juifs de Washington – pourrait immédiatement régler les tensions en négociant un accord global de bon voisinage avec la Russie. Mais si l’Otan veut bel et bien conquérir la Russie, un tel accord est tout simplement impossible à accepter pour ZOG puisqu’il lèverait toutes les ambigüités à son détriment.

C’est ce que Poutine veut démontrer en forçant l’Otan à dévoiler ses véritables intentions. Comment ? En proposant deux options : l’invasion de l’Ukraine ou un accord.

Reuters :

Le président Vladimir Poutine a déclaré mardi que la Russie serait contrainte d’agir si ses « lignes rouges » sur l’Ukraine étaient franchies par l’OTAN, précisant que Moscou considérerait le déploiement de certaines capacités de missiles offensifs sur le sol ukrainien comme un élément déclencheur.

S’exprimant lors d’un forum d’investissement à Moscou, M. Poutine a déclaré qu’il espérait que le bon sens prévaudrait de part et d’autre, mais qu’il souhaitait que l’OTAN soit consciente des préoccupations sécuritaires de la Russie concernant l’Ukraine et de la manière dont elle réagirait si l’Occident continuait à aider Kiev à développer son infrastructure militaire.

« Si des systèmes de frappe quelconques apparaissent sur le territoire de l’Ukraine, le temps de vol vers Moscou sera de 7 à 10 minutes, et de cinq minutes dans le cas du déploiement d’une arme hypersonique. Imaginez un peu« , a déclaré M. Poutine.

« Que devons-nous faire dans un tel scénario ? Nous devrons alors créer quelque chose de similaire à l’égard de ceux qui nous menacent de cette manière. Et nous pouvons le faire dès maintenant. »

Poutine a déclaré que la Russie venait de tester avec succès un nouveau missile hypersonique basé en mer qui serait en service au début de la nouvelle année. Il a précisé que ce missile avait un temps de vol de cinq minutes à neuf fois la vitesse du son.

Le dirigeant russe, qui s’est interrogé sur les raisons pour lesquelles l’OTAN a ignoré les avertissements répétés de la Russie et a étendu son infrastructure militaire vers l’est, a pointé du doigt le déploiement en Pologne et en Roumanie du système de défense antimissile Aegis Ashore.

Il a clairement indiqué qu’il ne voulait pas voir en Ukraine les mêmes systèmes de lancement MK41, dont la Russie se plaint depuis longtemps qu’ils peuvent être utilisés pour lancer également des missiles de croisière offensifs Tomahawk.

« Créer de telles menaces (en Ukraine) serait une ligne rouge pour nous. Mais j’espère que nous n’en arriverons pas là. J’espère que le bon sens, la responsabilité pour nos deux pays et la communauté mondiale prévaudront », a déclaré Poutine.

Plus tôt dans la journée de mardi, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont mis en garde la Russie contre toute nouvelle agression militaire contre l’Ukraine, alors que l’OTAN se réunissait pour discuter des raisons pour lesquelles la Russie avait rapproché ses troupes de son voisin du sud.

ZOG pourrait braquer des armes potentiellement nucléaires sur la tempe de la Russie depuis l’Ukraine. Poutine dit qu’une telle perspective est intolérable et qu’un accord négocié doit être trouvé entre la Russie et les Etats-Unis pour écarter définitivement ce risque d’escalade. Principalement en déclarant que l’Ukraine ne rejoindra pas l’Otan, à l’instar de la Finlande.

Ce à quoi les juifs répondent en hurlant à l’agression.

Le juif Blinken, placé par Biden à la tête de la diplomatie américaine, multiplie les menaces.

Ces menaces de représailles n’ont aucun sens si l’Otan n’a aucune intention hostile. Si l’Otan n’a aucun projet de cette nature, il suffit à cette organisation de s’engager à ne pas installer de matériel offensif en Ukraine en négociant un accord avec Poutine. Biden pourrait apparaître à la télévision, dire qu’il veut une relation stable avec la Russie et organiser une rencontre directe avec Poutine pour régler les détails. L’Ukraine serait une nouvelle Finlande et tout rentrerait dans l’ordre.

Au lieu de cela, les juifs de Washington réagissent aux propositions de négociations des Russes sur la neutralité de l’Ukraine en recourant aux menaces frontales contre la Russie.

Le Washington Post, le journal qui porte la voix du (((néo-conservatisme))), appelle même en réaction à accélérer l’intégration de l’Ukraine dans le dispositif de l’Otan.

Opinion | La meilleure réponse aux menaces de la Russie est une relation plus étroite avec l’Ukraine – The Washington Post

Dans les faits, Poutine a donc obtenu la clarification qu’il recherchait sur les intentions de ces gens.

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