Captain Harlock
Démocratie Participative
28 juin 2019
Heureusement que ce bon vieux Vladimir est là pour compenser la médiocrité abyssale de la politicaillerie démocratique que nous subissons au quotidien.
Le Point :
« Les valeurs libérales sont dépassées, car elles sont rejetées par la majorité de la population des pays occidentaux », déclare le président russe, Vladimir Poutine, dans une interview que publie vendredi le Financial Times. Il estime en outre que la chancelière allemande Angela Merkel a commis une erreur monumentale en adoptant une démarche libérale envers l’immigration en provenance du Moyen-Orient – allusion à l’année 2015 durant laquelle l’Allemagne avait laissé entrer sur son territoire des centaines de milliers de réfugiés.
Je ne sais pas comment nous allons expliquer à nos petits-enfants, dans 30 ou 40 ans, qu’une demi-polonaise montée sur un gode électrique a décidé de noyer l’Europe de djihadistes pour se venger d’Adolf Hitler.
En revanche, je sais ce que je dirai des traînées et des Boomers qui ont accueilli ces mâles marron en libérateurs.
Les contes que je raconterai aux gamins commenceront toujours par, « Il était une fois un héros solitaire que les méchants juifs voulaient tuer parce qu’il voulait libérer son peuple et rétablir la justice. Ses parents l’avaient baptisé Adolf. »
Tu nous manques, tonton
Vu de Russie, tout ce que nous vivons a l’air surréaliste.
Vu de Chine, ça a l’air surréaliste.
Vu de n’importe quel pays encore libre de l’étreinte judéo-démocratique, ce que nous vivons est perçu avec effroi.
Seuls des malades mentaux à la cervelle totalement sémitisée peuvent s’épanouir dans cette dystopie infernale. Des nations blanches entières sont dirigées par des pervers qui ne se possèdent plus, à commencer par ces hébreux.
Vladimir Poutine a visiblement suffisamment d’informations en sa possession pour conclure que ce système juif est l’agonie.
Croyez-le ou non mais une société qui propose de faire coexister des djihadistes et des fiottes est une société condamnée à court terme. Même en essayant de mélanger les deux pour en faire des hybrides.
Un tel truc ne tiendra pas.
Surtout face au fascisme jaune.
Vladimir a donc raison.
Les peuples européens sont fatigués de la démocratie, de ses juifs et de ses fiottes.
« Le libéralisme présuppose que rien ne doit être fait. Les migrants ont le droit de tuer, de piller et de violer en toute impunité parce que leurs droits, en tant que migrants, doivent être protégés. C’est quoi, ces droits ? Tout délit doit être puni », dit-il dans l’interview.
Vladimir n’exagère même pas.
C’est très exactement ce qui se passe : les métèques marron qui nous envahissent ont carte blanche pour faire ce que bon leur semble.
Surtout violer des Blanches.
J’aimerais pouvoir dire, « Tu grossis le trait Vlad ».
Mais non.
« Aussi la pensée libérale est-elle dépassée. Elle entre en conflit avec l’intérêt de la majorité écrasante de la population », développe-t-il. Le maître du Kremlin ne se dit pas homophobe, mais la volonté des pays occidentaux d’admettre l’homosexualité et la fluidité des genres lui semble excessive. « Les valeurs traditionnelles sont plus stables et plus importantes pour des millions de gens que cette pensée libérale qui, à mon avis, est en train de disparaître », dit-il au FT.
Nous sommes devenus si faibles à cause de cette imposture qu’est la démocratie que nous sommes désormais incapables d’affronter des femelles féministes, des pédés sidaïques ou des bandes de dealers afro-maghrébins.
Déporter des djihadistes ne peut se faire sans 10 procès supervisés par des associations humanitaires d’extrême-gauche financées par Wall Street.
Nous ne sommes même plus capables de mater des roms, le fond de la cuve génétique du continent.
Et je ne parle pas des juifs.
L’homme blanc, en France, est en RTT. Il pense comme Besancenot.
Nous allons nous faire balayer par les régimes autoritaires au plan international et dévorés de l’intérieur par les sémites, qu’ils se revendiquent de Yahvé par en haut ou d’Allah par en bas.
Tout cela, nous le devons à notre vérole : la démocratie.
La démocratie est un système absurde où la finance juive reçoit carte blanche pour s’emparer de la presse pour manipuler l’opinion et les partis politiques à sa guise au rythme d’élections truquées. Et nous inoculer le poison de son ingénierie sociale et raciale.
Nous n’avons pas besoin d’élections. On ne vote pas dans une famille, on ne vote pas à l’armée et on ne vote pas, en tant que salariés, dans une entreprise. Aucun système ne fonctionne comme ça.
Ce concept de démocratie est une escroquerie juive pour faire perdre la tête aux foules.
Les juifs ont réussi à nous faire vénérer la gangrène qui nous ronge grâce à ce mot magique de « démocratie ».
Notre organisme se rétablira dès l’instant où cette république sera renversée et le démocratisme humanitaire aboli en Europe.
Seulement, cela ne se fera pas sans bouleversements.
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