La rédaction
Démocratie Participative
29 février 2024
Vladimir Poutine a tenu un discours en forme de réponse aux provocations du roquet Macron. L’Ukraine est un enjeu existentiel pour la Russie, toute intervention de l’OTAN signifiera une guerre ouverte, jusqu’à une possible confrontation nucléaire.
Vladimir Poutine met en garde l’Occident contre « un risque réel » de conflit nucléaire 👇 pic.twitter.com/ylRUUt4qeB
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Contrairement à l’État homo-macroniste, Poutine dispose de millions d’hommes et d’un gigantesque arsenal nucléaire pour garantir la sécurité immédiate de son pays que l’inverti de l’Élysée prétend menacer.
💬“Oui, j’irai”
Emmanuel Macron annonce qu’il va se baigner dans la Seine pic.twitter.com/WONjCI2AhT
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En intervenant en Ukraine, l’OTAN peut au mieux espérer être écrasée conventionnellement, ou, au pire, déclencher une guerre nucléaire. L’OTAN est une structure théorique, en pratique elle est pour l’essentiel composée d’états trop pauvres ou trop petits pour servir à quoi que ce soit.
L’armée française a 200 chars. Qu’est-elle censée faire avec ça contre la Russie en Ukraine ?
C’est ridicule.
Le Point :
L’armée de terre a reçu 406 chars Leclerc au total, au début des années 2000. Mais après différentes réductions d’effectifs et de budget, le pays compte aujourd’hui 200 chars Leclerc en ordre de bataille. Le reste, soit environ 200 unités, est stocké, pour servir de réservoir de pièces pour ceux qui sont en service, puisque les lignes de production de Nexter, à Roanne (Loire), ont été reconverties il y a des années.
Toute cette situation est folle.
L’Ukraine n’est pas un pays, c’est une subdivision administrative soviétique accidentellement érigée au rang d’état en 1992. Elle est composée de territoires largement peuplés de Russes ethniques. L’opération de l’armée russe là-bas n’est qu’une opération de maintien de l’ordre interne dont le but est de corriger cette erreur pseudo-étatique exploitée par Washington pour déstabiliser toute la région.
De toute façon, en quoi sommes-nous concernés par cette affaire intérieure russe ?
Toute l’agitation actuelle trahit la panique qui s’est emparée de l’OTAN face à la défaite de la faction putschiste s’annonce. La presse américaine en parle abondamment alors qu’en France, c’est la censure de guerre qui prévaut.
Le pessimisme de l’Ukraine et de ses alliés ne cesse de croître depuis des semaines, alors que les forces russes prennent l’initiative sur la ligne de front et que l’aide vitale des États-Unis est bloquée au Congrès. La chute d’Avdiivka et de plusieurs villages voisins alimente les craintes que les défenses de Kiev ne puissent pas tenir.
« Ces pertes devraient servir de signal d’alarme pour les alliés de l’Ukraine », a déclaré un fonctionnaire européen.
« L’Ukraine peut commencer à perdre la guerre cette année », a déclaré Michael Kofman, spécialiste de la Russie et de l’Ukraine à la Fondation Carnegie pour la paix internationale, sur le podcast War on the Rocks.
Le président russe Vladimir Poutine n’a pas renoncé à son objectif initial de s’emparer des grandes villes, notamment de la capitale Kiev et d’Odessa, selon les évaluations des services de renseignement ukrainiens, a déclaré cette personne, qui a demandé l’anonymat pour discuter de questions qui ne sont pas publiques. Si les forces russes atteignaient Odessa, elles seraient en mesure de fermer les routes d’exportation de céréales de l’Ukraine, qui sont cruciales et passent par la mer Noire, et d’ouvrir l’accès à la Moldavie, où la région séparatiste de Transnistrie a lancé mercredi un appel à Moscou pour obtenir un soutien politique.
En fonction des résultats de la campagne actuelle, la Russie décidera soit de poursuivre une avancée lente et progressive, soit d’accumuler des ressources en vue d’une attaque plus importante visant à percer les lignes ukrainiennes cet été, a déclaré la personne proche des dirigeants ukrainiens.
La stratégie de l’Ukraine consiste à essayer de maintenir la ligne de front autant que possible jusqu’au second semestre de l’année, lorsqu’elle pourrait recevoir des avions de combat F-16 et que la production de munitions occidentales devrait augmenter. Cela permettrait à Kiev de planifier une éventuelle contre-offensive en 2025.
Ces terroristes de Kiev ont abandonné depuis longtemps leur histoire de chars Leopard allemands qui devaient changer la face de la guerre.
Coming. Soon.
Be. Fearful. Enemy. pic.twitter.com/cyEf7UkfQA— Defense of Ukraine (@DefenceU) January 26, 2023
Ce ne sont pas quelques dizaines de F-16 qui changeront quoi que ce soit, ils seront brûlés aussi vite.
Quant à leur future « contre-offensive », c’est encore plus absurde. Il suffit de se rappeler du désastre précédent. Rien que l’idée de ce trailer totalement cringe méritait des dizaines de milliers de morts en punition.
Ukrainian Armed Forces ask for silence in the information space 🇺🇦 pic.twitter.com/xoFHubylpV
— Anton Gerashchenko (@Gerashchenko_en) June 4, 2023
L’armée ukrainienne recule et rien de ce que peut envoyer l’OTAN comme armements dans les mois qui viennent ne peut modifier fondamentalement la donne.
Si l’on observe les mouvements actuels dans le secteur de Donetsk – et les fortifications ukrainiennes découvertes – on peut voir ce qui est écrit sur le mur :
Battre pour retarder et battre en retraite pour gagner du temps, sachant que les récentes lignes de défense ne sont pas aussi bonnes qu’elles l’étaient à Avdeevka.
If you take a look at the current movements on the Donetsk sector – and on the discovered Ukrainian fortifications – you can see the writing on the wall:
Battle for delay and retreat to gain time knowing that the recent defense lines aren’t as good as they were in Avdeevka. pic.twitter.com/UODBPDkFJ6— — GEROMAN — time will tell – 👀 — (@GeromanAT) February 29, 2024
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