Callac : sous la bannière transexuelle, les femmes blanches et l’extrême-gauche alliées aux millionnaires Cohen se déchaînent pour implanter des centaines de migrants afro-musulmans

La rédaction
Démocratie Participative
18 septembre 2022

 

Quelques nouvelles de l’offensive raciale juive à Callac pour implanter des centaines d’afro-maghrébins dans ce village breton de 2,200 habitants.

À l’origine du projet, les millionnaires juifs Cohen, qui résident d’ordinaire en face de la Tour Eiffel.

Dans la droite ligne de ce qu’a annoncé Macron, il s’agit désormais de repeupler l’intégralité des campagnes avec le trop plein démographique africain. Grâce aux transferts de fonds gouvernementaux, les juifs entendent réaliser d’énormes profits, étant payés par l’État pour chaque tête de cafre installée sur place.

Les juifs disposent d’idiots utiles pour s’assurer du succès de cette nouvelle traite négrière réalisée au nom des droits de l’homme, principalement les boomers socialo-communistes.

Ils sont tous mobilisés sous la bannière du marxisme international et du drapeau des travelos.

No Fake.

Il faut y ajouter les femmes blanches, particulièrement virulentes sur ce dossier. Hier, à Callac, une adjointe vociférait son intention d’installer de gré ou de force des centaines de violeurs et de dealers négroïdes sur place.

Les femmes alpha mènent l’action.

Les femmes alpha sont claires : elles veulent un maximum de mâles d’Afrique pour les violer dans les rues du village

Ce projet colonial des financiers juifs sera systématiquement soutenu sur le terrain par les agents du marxisme juif que sont les antifas et la police de l’État bourgeois.

Cette synthèse est l’expression même de l’agenda cosmopolite de Davos.

Sur le fond, il n’y a aucun véritable problème. Dans l’histoire, des émeutes révolutionnaires ont déjà eu lieu pour un millième de ce cirque pro-invasion mené par des femmes blanches.

Que ces scènes soient même possibles démontre l’état de déchéance de cette société judéo-féministe.

Si les populations autochtones ne veulent pas être nettoyées ethniquement par l’appareil d’état, la juiverie financière et l’extrême-gauche, elles savent ce qu’elles ont à faire : combattre. Nous parlons désormais de la simple survie physique de ces populations. Si elles préfèrent fermer les yeux, rester le cul assis devant BFMTV et se siroter devant le foot, soit !

Si même leur propre survie ne les intéresse pas, je ne vois rien de mal à ce qu’elles soient détruites.

Il n’y a qu’une règle en ce bas monde, c’est la lutte pour la survie. Les faibles disparaissent, éradiqués par les forts. À Callac, comme partout ailleurs, les hommes autochtones sont parfaitement informés de ce qu’il se passe, comme des conséquences de la submersion raciale.

Je dois dire que j’aimerais vraiment que ce projet aboutisse pour voir les ahuris apathiques de ce village souffrir une longue et terrifiante agonie, assiégés par des centaines de cafres haineux d’ici quelques années, constamment agressés, insultés, volés, voire violés, tandis que tous les villages avoisinants pourraient admirer le spectacle de la guerre raciale à 1 ou 2 kilomètres de distance.

Les traînées qui se donnent en spectacle aujourd’hui se seront entretemps éclipsées.

J’aimerais voir aussi le destin du boomer qui sert de maire à cette commune, une fois le miracle pleinement en marche.

Bref, l’équation est simple.

Que ceux qui veulent survivre luttent, que ceux qui sont trop faibles pour lutter disparaissent.

Ce site est exclusivement financé par ses lecteurs, pensez à le soutenir avec quelques shekels SVP

Monero :

88kr9DrDeJbF4axJvVATB8K9iAtfDnvQCAdmriw3ddHAjgimfePFKkF76j3MdzRFm67RrFMUHM48pZm98zjjKRZAB4AHPkw

Commentez l’article sur EELB.su