Pour une nette majorité de Français, l’identité française est fondée sur la sécu et les retraites

La rédaction
Démocratie Participative
16 juillet 2022

 

Nous avons des nouvelles de l’identité française.

Être français, c’est avoir la sécu et les retraites.

Même la langue française est considérée comme un élément nettement moins structurant de l’identité française que la sécurité sociale et les retraites.

En dépit de ce que dit une fraction de la droite, Marine Le Pen a raison : l’identité collective des Français, c’est le communisme. « Le pouvoir d’achat », comme dit le RN.

Quand on en est réduit à croire que son identité de peuple, c’est le guichet social, la messe est dite.

Des identitaires français

Français ? Bof.

Allons enfants de la patrie !

 

Imaginez, vous interrogez des soldats israéliens et vous leur demandez pourquoi ils se battent.

« Pour la sécurité sociale ! »

Il n’y a rien de surprenant là-dedans. Le constructivisme stato-jacobin a arraché mentalement chaque Gaulois de sa terre pour en faire un « citoyen » de la république, c’est-à-dire un serf anonyme au service de la bureaucratie parisienne. Un « contribuable », et en même temps un assisté.

Rien d’autre.

Pour une nation authentique, organique, l’état procède du peuple. Pas l’inverse. En France, le peuple n’est qu’une prothèse de l’État, c’est-à-dire de la bureaucratie soviétique.

Maintenant, que se passera-t-il quand ce guichet social d’inspiration communiste sera en cessation de paiement ? Ce sera quoi, l’identité française ?

Probablement le règlement de comptes interethniques, la misère et l’émeute.

Remercions les Boomers d’avoir radicalisé le cégétisme mental de la France moyenne et faisons tout notre possible pour leur offrir une retraite bien méritée.

Au moins, on ne parlera pas français.

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