Captain Harlock
Démocratie Participative
07 août 2018
Ces deux profs de gauche ménopausées sont mues par la russophobie.
Des migrants sont arrivés à Oyonnax et dans le Haut-Bugey. Faute d’hébergement, certains sont contraints à dormir dehors. Pour pallier au problème, la solidarité se met en place sur le territoire.
Mylène Ferri et Anne-Marie Vugier, habitantes de Nantua, veulent fédérer les initiatives solidaires de chacun en créant une antenne de l’association « Cent pour un toit ». L’objectif est de constituer une cagnotte qui permettrait de loger les migrants.
Nous assistons à la formation du plus grand système de proxénétisme masculin de l’histoire de France. Toutes ces vieilles biques ménopausées peuvent, avec l’appui unanime de la presse rouge et les financements de l’Etat, constituer des bordels entiers de gigolos nègres prêts à tout pour s’établir en Europe. Y compris baiser ces vieilles peaux.
La formule est simple : appeler ces gigolos « réfugiés » et toutes les difficultés s’aplanissent.
L’ancienne formule des charters de Gambie ou de Casamance est révolue.
Ces vieilles trainées n’ont plus qu’à se porter volontaires pour recevoir leur cargaison de bites nègres et elles reçoivent le tout près de chez elles, dans leur commune. Il suffit juste de créer une association ad hoc.
Pour un immigrationnisme positif
Il suffirait d’organiser chaque année la venue en France de 200,000 migrantes ukrainiennes clandestines. Soudainement toutes les femelles mélenchonistes enragées qui sévissent sur les réseaux sociaux en faveur des réfugiés syriens du Soudan se transformeraient en vigilantes lanceuses d’alerte dénonçant la « traite des Blanches » et l’immigration illégale.
« Moi vouloir papiers, toi mariage ? »
Réunion de l’association française « Défendons nos frontières, à bas le patriarcat, pour une immigration non suprémaciste »
Un des moyens de faire dérailler l’immigrationnisme alimenté en partie par l’hypergamie féminine consisterait à développer ce mème de l’immigration des Blanches d’Europe de l’Est.
Une « immigration positive ».
Comment faire ?
Ces millions d’hommes du tiers-monde ne font pas d’enfants et, au mieux, feront fonctionner le regroupement familial dans un pays qui souffre déjà d’un problème d’intégration.
Ce n’est pas raisonnable : le communautarisme nuit à la laïcité
Il faut des mariages mixtes. Le métissage permet aux immigrés de s’intégrer.
Dans ces conditions, mieux vaut donc ouvrir les vannes de l’immigration blanche exclusivement féminine. Avec, en parallèle, la légalisation de la polygamie aryenne, le tout financé par la CAF.
Pour cela, il nous faudrait un nouveau parti d’extrême-gauche respectueux des coutumes différentes.
« Je ne supporte plus son apologie constante de l’immigration sauvage »
Si nous voulons permettre aux futures Marie Curie de réussir, la fraternité commande de sauver les Blanches de la tyrannie de Vladimir Poutine.
Quelle Française peut accepter de laisser cette femme subir dans l’indifférence ?
Je m’appelle Erina et je récite Victor Hugo en russe
Ecoutez, il faut être un peu sérieux : nous avons besoin de migrantes qualifiées. Notamment dans la restauration.
Tant que nous aurons ces Françaises haineuses rongées par la russophobie, nous n’avancerons pas. On peut imaginer, d’ores et déjà, de créer une association pour permettre d’héberger des migrantes ukrainiennes ou russes dans la difficulté. Ceci grâce à la décision du Conseil Constitutionnel de reconnaître le devoir de fraternité.
Pour une immigration positive : #OpenBordersForUkraine #OpenBordersForRussia #StopOrthodoxophobia