La rédaction
Démocratie Participative
06 février 2024
Attal cherche de l’argent. Faire mourir les goyim malades est une des options sur la table.
Sur les questions budgétaires, Gabriel Attal a fait le strict minimum lors de sa déclaration de politique générale mardi . Une petite minute quarante sur le sujet – quand le discours s’étirait sur une heure vingt – pour au final bien peu d’annonces. Tout juste le Premier ministre a-t-il réaffirmé « poursuivre et renforcer les revues de dépenses, auxquelles tous les ministères et tous les secteurs de l’action publique seront associés ».
Derrière ce sabir technique de « revue des dépenses » se cachent quelques chantiers sensibles politiquement. Parmi toutes les politiques publiques auscultées pour jauger l’efficience de la dépense, figure notamment la prise en charge des maladies chroniques – ou affections de longue durée (ALD). Dans le camp présidentiel, tout le monde marche sur des oeufs à l’évocation du dossier. « Un travail est engagé et il n’y a rien de décidé. Mais c’est un des sujets les plus délicats », reconnaît un ténor de la majorité.
En novembre dernier, Elisabeth Borne avait lancé six revues des dépenses , qui doivent contribuer à trouver les 12 milliards d’euros d’économies déjà nécessaires pour boucler le budget 2025. Sur ce total, 6 milliards d’euros d’économies sont censés être dégagés dans le camp de la Sécurité sociale, dont les comptes sont dans le rouge. Certaines cibles avaient été officiellement dévoilées : les dispositifs médicaux (comme les machines traitant l’apnée du sommeil), ou encore les aides aux entreprises .
Tuer les gens dans leur sommeil ne suffira pas à trouver autant d’argent.
Il faut viser beaucoup large pour atteindre l’objectif affiché.
Reste enfin la piste des affections de longue durée (ALD). Si l’exécutif a décidé de se pencher sur ces maladies chroniques, c’est que celles-ci se développent, sur fond de vieillissement de la population mais aussi de progrès médical. Celui-ci permet d’augmenter l’espérance de vie des personnes atteintes. Résultat : le nombre des bénéficiaires d’ALD augmente régulièrement, tout comme le poids des ALD dans la structure des dépenses de santé, qui représentent près de 66 % de celles-ci (en 2020).
Je ne crois pas que les vieux aient quoi que ce soit à craindre. Ce n’est pas payant électoralement pour Attal qui a besoin du vote des boomers. Le diabète ne devrait pas être concerné pour cette raison.
Il faut faire mourir d’autres gens, qui votent mal.
Précisons que parmi les ALD se trouvent les cancers, il y a donc différentes populations à disposition.
Nous pouvons faire confiance au ministère de la Santé. Lorsqu’il s’agit d’euthanasier des goyim, il est très efficace.
Attal veut notre bien.
Si seulement il y avait un moyen simple de faire des économies, ça se saurait.
Unis et unanimes, nous décidons d’une aide durable de 50 milliards d’euros pour la reconstruction et le soutien à l’Ukraine.
La Russie ne peut pas compter sur une quelconque fatigue des Européens.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 1, 2024
Attal va faire un carton chez les boomers en prenant des réductions de dépenses médicales qui ne les touchent pas. Il va s’en vanter auprès d’eux et ils vont adorer.
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