Captain Harlock
Démocratie Participative
21 décembre 2019
Je ne me suis toujours pas fait une idée définitive : les juifs et les métèques sont-ils pires que les Boomers et les pétasses libérées ?
L’association O.S a l’origine de la création de Préjugix 400mg et tous ses partenaires de Limoges étaient présent pour le lancement régional du médicament qui lutte contre les idées pré-conçues. A Limoges comme dans les centre-villes et agglomérations des autres villes partenaires dans les douze départements, le traitement est à se procurer en pharmacie.
Sur le parvis de la BFM de Limoges et jusqu’à l’intérieur c’est l’agitation autour de drôles de boîtes de médicaments. De loin, c’est à s’y méprendre. Préjugix 400mg a tout d’un véritable médicament : son but, guérir des préjugés.
Préjugix 400mg est un médicament anti-préjugés distribués dans les pharmacies et créé par l’association O.S.
« Ce qui est important, c’est le travail systémique et pluri-disciplinaire qui a été fait », explique Samera Zeman de la Protection judiciaire jeunesse. À ses côtés, François Négrier directeur de la délégation départementale de l’ARS, des membres de l’ESAT de La Ribière, les personnels et étudiants d’écoles d’infirmiers et aide-soignant, Agnès Tallet, coordinatrice à Esquirol, Annie Schwaederle, adjointe au maire de Limoges à la santé, et Régis Morisson de de la Mission locale, tous sont réunis pour le lancement régional de Préjugix 400mg coordonné sur toute la Nouvelle-Aquitaine ce samedi 14 décembre.
La vache, c’est stupéfiant.
Le mème devient réalité.
Il ne s’agit rien de moins de la part des autorités que d’un jeu de rôle grandeur nature mettant en scène le traitement psychiatrique des gens qui rejettent le bolchevisme culturel diversitaire.
Toute la journée la BFM de Limoges est le lieu de rendez-vous des différents acteurs du projet autour de différents ateliers et animations.
Préjugix est avant tout un outil. « Lors des 80 ateliers de préparations comme de mise en boîte, le Préjugix est un prétexte, c’est un outil pour se confronter à nos propres préjugés, pour discuter. Tout cela contribue à créer du lien social », explique Régis Morisson de la Mission locale.
En effet, jeunes, personnes âgées, immigrés, travailleurs handicapés, personnes en situation de handicap de tous genres… « Tous ont le sentiment d’être les seuls à subir les idées préconçues. Alors en partageant leurs expériences ils partagent aussi leurs souffrances », explique Agnès Tallet du centre Esquirol à Limoges.
Pour François Négrier, de l’Agence régionale de Santé, l’enjeu est double : « C’est lutter contre les préjugés et mettre en lumière les conséquences sur les personnes et leurs santé victimes de préjugés ».
Parmi les thèmes abordés dans la boîte : les apparences, l’autisme, la ruralité, l’alcoolisme, les chômeurs, le suicide, ou encore la schizophrénie…
En Nouvelle-Aquitaine ce sont des milliers de boîtes qui ont été assemblées et qui ont été distribuées ce samedi dans les rues, ou en libre-service dans les pharmacies. À Limoges et l’agglomération, 60 pharmacies ont répondu présentes pour la distribution sur leurs présentoirs.
Préjugix, c’est aussi une approche artistique de la question des préjugés : tout d’abord dans la conception et le design de la boîte mais aussi autour d’initiatives autres comme aujourd’hui “l’Arbre des préjugés” construit par l’ESAT de La Ribière où chaque feuille représente un domaine de préjugés et où chacun peut apporter sa contribution au travers de son témoignage bien au-delà des 16 thèmes choisis pour la boîte.
Préjugix 400mg a vocation à rester un outil de dialogue, pour les partenaires acteurs, pour les particuliers, et même pour les entreprises qui souhaitent s’interroger avec leurs employés sur ces questions.
Cette dystopie involutive.
Fiston, tu n’as pas pris ton Prejugix !
C’est l’aveu officiel de la reprogrammation des masses voulue par l’État juif pour saboter leur instinct de survie et leur bon sens.
« Préjugé » est un terme mensonger comme seuls les sociologues marxistes savent les inventer pour déformer la réalité sous un vernis de prétendue objectivité.
Le mot « pré-jugé » signifie, d’après eux, qu’une personne a une idée définie sur quelque chose qu’il ne connaît pas encore et qu’à ce titre, « il parle en mal sans savoir », entretenant de manière irrationnelle la défiance au sein de la société.
Ce que ces terroristes adeptes du constructivisme marxiste qualifient de « préjugés », à commencer par l’islamo-scepticisme, n’est au contraire que le fruit d’une analyse par les gens d’une situation à partir de leur expérience vécue.
Les préjugés ne sont pas des « anomalies » produites par des esprits tordus mais la base même du fonctionnement du cerveau. Tout cerveau crée des modèles prédictifs sur la base de l’expérience vécue. Ces modèles permettent aux hommes de reconnaître très rapidement les menaces et les situations de danger pour les éviter.
Si l’homme n’avait pas de préjugés, il serait un éternel apprenant, incapable de retenir quoi que ce soit de ses expériences.
Il serait condamné à se brûler à la gazinière encore et encore.
Ou à finir écrasé par des djihadistes, encore et encore.
L’instinct de l’homme le pousse à être vigilant face à toutes les menaces, mais le gouvernement d’occupation, pour empêcher que la population ne se révolte face à sa politique destructrice, essaie maintenant de saboter activement l’instinct de survie des masses.
La réalité est inversée par les autorités pour coller à son programme dégénératif. Tout ce qui est normal, sain et en bonne santé est diabolisé tandis que les dégénérés, les éléments antisociaux et les étrangers hostiles sont présentés comme intrinsèquement bienveillants.
Autrement dit, la mise en danger consciente de la population française fait partie intégrante de la stratégie de survie du régime qui doit normaliser ce qui est n’est pas normalisable pour éviter la déstabilisation de la société qu’entraînera une contre-réaction de la population.
Comme je le disais hier, le système juif doit maintenir les Blancs sous hypnose pour qu’il reste un agneau docile qu’on mène à l’abattoir. La seule contre-mesure qui vaille est l’exacte opposée : pousser les gens à la colère.
Nous avons à faire des aliénés et ces aliénés ont pris le contrôle de la société.
Il me manque.
Mon père me manque tellement moins (no joke).