Pour séduire les métèques, une ignoble pute à nègre affirme que la haine raciale contre les Blancs est une invention de « frustrés » (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 juillet 2018

 

Les putes à nègres savent se porter au secours de la négraille dès lors que l’espoir d’un viol collectif existe.

« Frustration »

Ouais.

Le torrent de haine raciale contre les Blancs, dans leurs propres pays, est si abondamment documenté qu’il est inutile de poursuivre.

La pathologie mentale qu’est le gauchisme inoculé par le marxisme juif dans les universités ou dans la presse est si virulente que ceux qui en souffrent n’hésiteront pas à décrire, avec aplomb, l’exact inverse de la réalité vécue au quotidien par des dizaines de millions de gens.

On ne compte plus le nombre de Blancs sauvagement assassinés, battus, violés ou drogués par des hordes de nègres ou de crouilles depuis des décennies. A contrario, on ne trouve pour ainsi aucune espèce d’accès de violence raciale qui soit le fait de Blancs contre des métèques. Ceci en dépit de l’obsession antiraciste de la presse juive qui la pousse à rechercher avec avidité le moindre incident dont elle pourrait accabler les Blancs.

La carte blanche sexuelle des PAN

Cependant, ne sous-estimons par le cynisme de ces putes à nègres.

Celle-ci, par exemple, sait parfaitement ce que les basanés attendent d’elle : se magnifier dans la flagellation des hommes blancs et devenir un faire-valoir pour les métèques.

Le seul fait qu’une Blanche explique publiquement avoir plus d’empathie pour des allogènes que pour son propre groupe – comprendre les mâles blancs – est une extraordinaire source de satisfaction pour les métèques rongés par le complexe d’infériorité raciale qu’ils éprouvent face aux Blancs.

C’est ce que leur fournit, en conscience, cette putain.

Ce rôle de faire-valoir sied comme un gant à ce genre de traînées qui recherchent, précisément, l’attention des mâles non-blancs pour leur signifier leur disponibilité sexuelle.

C’est aussi l’occasion pour cette traînée de faire comprendre, à mots couverts, que la violence des métèques contre les Blancs l’excite. Ce qu’elle leur signifie en feignant de ne rien voir et que les allogènes interprètent immédiatement comme une impunité tacite moyennant rapports sexuels.

C’est ce que l’on peut appeler la carte blanche sexuelle.

Le degré de vice de ce genre de putains est absolument illimité.

Ceci étant dit, il existe bien un lien entre frustration et paranoïa antiraciste : le seul hic est qu’il n’est avéré que chez les nègres, les arabes et les juifs qui haïssent profondément l’homme blanc et se sentent frustrés de subir les conséquences de sa supériorité naturelle plutôt que de le remercier de sa bonté.

Pour chacun de leurs échecs, ils hurlent invariablement au racisme, masque de la haine qu’ils nourrissent contre les Blancs.

C’est la même frustration à caractère sexuelle qui habite les traînées blanches voulant coucher avec des allogènes et dont elles accusent l’homme blanc, par inversion.

Plus que jamais la Charia Blanche s’impose pour mettre un terme à ce sabotage permanent auquel se livrent les putes à nègres de cette espèce.