Captain Harlock
Démocratie Participative
30 mai 2018
Les femmes sont la propriété mobilière de l’homme
Il est temps de parler d’une manifestation du cancer involutif qui frappe les sociétés aryennes au point de les menacer de disparition : la féminisation des hommes et la masculinisation des femmes, processus qui est encore appelé « féminisme ».
Actuellement, la société occidentale est en train de traverser une situation de crise globale qui se traduit, d’une manière générale, par l’effondrement de la notion de bien commun naturel.
D’une certaine façon, la société occidentale a connu un phénomène d’implosion induit par l’externalisation des solidarités naturelles – locales, ethniques, sexuelles, intergénérationnelles – au profit de structures collectives déréalisantes, essentiellement régies par l’état mais aussi par diverses prothèses telles que les mutuelles, etc.
Ce phénomène d’externalisation a débuté, à l’origine, au sein du socialisme et demeurait communautaire et surtout corporatif. Bref, extra-étatique et très pratique.
Il a fallu attendre les années 20 et 30 pour que l’étatisation de ces formes de systèmes de solidarité apparus dans le deuxième moitié du 19ème siècle deviennent la norme, du moins, comme idéal à atteindre : URSS, Italie fasciste, US du New Deal, Troisième Reich ou France du Front Populaire.
L’idée socialiste de fusion entre communauté du peuple et état a été réalisée avec une efficacité spectaculaire par l’Allemagne nationale-socialiste – et elle seule – pour des raisons culturelles et raciales, c’est-à-dire par l’instinct communautaire et démocratique du germanisme par opposition au despotisme slave et au m’en-foutisme latin, pour ne rien dire de l’esprit petit-bourgeois français, pinardier et mollement communiste, qui a porté Blum et la juiverie au pouvoir en 1936.
Sans le choc du miracle socialiste et raciste allemand, jamais les vieilles ploutocraties occidentales juives n’auraient accepté de céder à des formules bancales telles que celles produites par le front juif dit « populaire ». Fruit de l’entente entre les communistes aux ordres de Staline et du judaïsme bancaire, la farce socialiste du Front Populaire se résuma à quelques semaines en bord de mer là où Hitler créa, en quelques années, des programmes sociaux jamais vus à même d’arracher le prolétariat européen de la tyrannie juive.
C’est précisément cela qui fut détruit au prix d’une guerre mondiale entre 1939 et 1945.
Une fois la Seconde Guerre Mondiale terminée, un ersatz juif fut lancé ayant pour but de détourner les peuples blancs du fascisme, c’est-à-dire de leur émancipation.
En France, le fameux « CNR » visait explicitement à répondre à la grave crise de légitimité qu’avait affronté le socialisme juif suite aux prouesses réalisées par le Troisième Reich en termes de révolution sociale.
Le Boomer, archétype du petit-bourgeois socialiste
Vous vous demandez, « quel rapport avec le féminisme ? ».
Typiquement, en 1946, un homme et une femme réfléchissaient toujours comme l’on avait fait depuis des siècles en Europe. C’est-à-dire que tout couple était d’abord et avant tout une entité de solidarité sociale face à une société où aucune espèce de structure ne pouvait offrir de garantie financière à long terme.
En 1946, nos grands-parents se mariaient pour toute leur vie, surtout s’ils étaient d’extraction populaire. Seuls les grands bourgeois pouvaient s’offrir le luxe de divorcer. Le divorce, bien que tabou il y a 70 ans et limité à quelques familles des grandes villes, était légal mais pas démocratisé. Ce n’est pas la pratique religieuse, tombée à environ 25% dans les années 20, qui freina de quelque façon que ce soit sa généralisation.
Il faut chercher ailleurs l’explication.
Le mariage, en 1946, était une institution qui garantissait toujours l’indivisibilité du patrimoine durement acquis. Il garantissait une protection dans un environnement où il n’y avait encore aucun système de retraite par répartition, où les salaires étaient faibles et les familles très nombreuses et dans lequel le rationnement alimentaire était la règle. Au demeurant, en 1946, des maladies aujourd’hui parfaitement connues et curables tuaient toujours en masse. Bref, l’inconnu était la norme pour un mari, une femme, des enfants.
Or, le mariage offrait à des millions de gens précaires un sentiment de sécurité et de confiance au milieu d’un océan d’incertitude.
Les enfants de la génération d’avant-guerre, les Baby-Boomers, ont bénéficié d’un environnement inédit induit par la gigantesque transition vers la social-démocratie de marché juive amorcée par nos grands-parents. Une Europe totalement pacifiée car sous occupation, avec une économie capitaliste en expansion sur fond d’étatisation des solidarités jusque-là réservées à l’initiative de la société.
Cet interègne a offert à cette génération du Baby-Boom le plein emploi, l’endettement facile sur fond d’inflation, une retraite adossée à ce même endettement pour ne rien dire de programmes sociaux toujours plus énormes. Le système de consommation de masse mis en place par les USA en Europe après 1945 a largement accéléré cette rupture. La baisse de la natalité a puissamment renforcé l’individualisme et le sentiment d’exceptionnalisme chez les enfants des familles d’après-guerre.
Cette même baisse de natalité, inconnue sous le Troisième Reich nataliste, conditionnait sa chute même, 50 ans plus tard, faute, précisément, de solidarité naturelle entre générations en termes de cotisants.
Mais pourquoi, précisément, cette génération gâtée et individualiste aurait-elle seulement penser à l’après ?
A partir des années 50 et 60, toutes les institutions, à commencer par l’Etat, semblaient garantir la fin de l’histoire qu’avaient prétendu atteindre les révolutionnaires marxistes. Une fin de l’histoire telle que rêvée par la démocratie libérale et matérialiste juive où chaque prolétaire pourrait devenir un bourgeois à son tour.
En moins de 30 ans, des millions de gens passaient de la misère des campagnes à l’American Way of Life sur fond d’eschatologie antifasciste, le système dominant expliquant précisément que cette prospérité avait été acquise grâce à la défaite des fascismes en 1945.
Est-ce un hasard si le point cardinal de l’esprit collectif des Baby-Boormers est l’antifascisme ?
Sans surprise, toutes les valeurs de solidarité tragique issues d’époques d’adversité, notamment le patriotisme ou le mariage – « l’union jusqu’à la mort » – n’ont plus eu de pertinence aux yeux des « nouveaux riches » occidentaux.
Pour nos parents, les Boomers, il suffisait de faire des études, de trouver un emploi et d’acheter une maison et l’Etat prendrait le reste en charge : les routes, les transports, les hôpitaux, les communications, etc.
L’antifascisme, l’antimilitarisme, l’antiracisme étaient des valeurs de garantie du maintien d’une société occidentale sortie de l’histoire tournée vers la satisfaction de besoins primitifs et sensuels immédiats.
Le rapport entre les hommes et les femmes est devenu un rapport hyper-sexualisé et ludique plutôt que social et économique.
Typiquement, les enfants de Boomers, c’est-à-dire les petits-enfants de la génération d’avant-guerre adulte en 1946, ont très souvent été confrontés à la normalisation du divorce et des affaires extra-conjugales chez leurs parents.
La pornographie a eu accès, au rythme de la montée en puissance sociale et culturelle de cette génération, aux grands médias. Dans les années 60, une scène de sexe dans un film était quasiment impensable. En 2018, elle est ennuyeuse.
Le juif en guerre contre la domination de l’homme blanc
Dans l’Occident intérieurement démilitarisé et ultra-socialisé contemporain, l’individualisme et ses tendances antisociales sont devenues la norme.
Paradoxalement, la garantie pour un individu d’être toujours protégé par l’Etat et ses structures offre un sentiment de sécurité tel que tous les comportements antisociaux bénéficient d’une totale impunité.
Cette fin de l’histoire où l’individu navigue dans un environnement social et économique stable a démocratisé le divorce puis l’obsolescence du mariage. Et à leur suite, toutes les formes de déviances marginales.
Le juif détruit les sociétés aryennes
C’est précisément pour cela qu’ils se manifestent à grande échelle : ils sont le produit même du système qu’est l’hyper-individualisme généré par l’externalisation étatique des rapports sociaux.
Deux homosexuels de la bourgeoisie, dans un tel système, peuvent se marier : il s’agit d’un folkore comme un autre, d’un marqueur culturel périphérique sans réalité sociale structurante. La fonction sociale du mariage ayant disparu, il ne constitue plus un pilier de la confiance publique. Ce que traduit la légalisation du « mariage gay », c’est que le mariage n’a plus aucune fonction dans la démocratie de marché étatisée.
De la même façon, l’étatisme démocratique offre à tous les éléments faibles, jadis placés sous protectorat de l’homme blanc hétérosexuel, les mêmes droits acquis. En termes relatifs, les faibles dominent désormais les forts de par leur nombre, conformément à un processus involutif égalitariste de masse.
Libérées de l’autorité de l’homme blanc qui, en temps d’adversité, avait édifié la société occidentale, les femmes sont entrées dans une volonté de suppression de tous les attributs de puissance de ce dernier.
Une véritable anticulture a progressivement émergé, savamment entretenue par les juifs dont les femmes et les allogènes sont toujours les masses de manoeuvre.
Le sémitisme contre la race blanche
La capacité dissolvante des solidarités naturelles de la démocratie juive de marché est devenue le marqueur de son efficacité donc de sa légitimité.
Chacun peut voir, chaque jour, les attaques de ce système contre les formes de solidarité locales, ethniques, religieuses, peu importe leur origine.
L’islam, par exemple, est attaqué par deux types d’acteurs : comme élément allogène par les tenants des solidarités naturelles blancs occidentaux d’une part (encore appelés « racistes » et « fascistes » par le système) et comme élément anti-égalitariste et viriliste d’autre part par les tenants du statu quo démocratique, égalitariste et homo-féministe.
Il devient de plus en plus fréquent, pour n’importe quel défenseur des solidarités naturelles indigènes blanches, d’être comparé aux islamistes dans un même effort de délégitimation. C’est le strict prolongement de l’antifascisme tel que nous nous l’avons connu jusqu’à présent.
Est-ce un hasard si le juif Bernard Henri-Lévy a cru bon de promouvoir la formule « islamo-nazisme » pour attaquer les nouvelles cibles de la démocratie juive de marché ?
L’islam radical est la dernière perle noire lâchée par le nazisme. C’est une histoire européene mais aussi mondiale. @franceinter #EmpireEtLesCinqRois
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 1 avril 2018
Cette comparaison n’a rien d’étonnante puisqu’elles sont produites par ceux qui sont intégrés dans le même système.
On se doit de relever une chose : c’est l’homme blanc, dominateur et hétérosexuel, qui a forgé l’Occident en faisant la guerre et en créant. Dès lors qu’il est marginalisé par la démocratie juive et féminine, l’Occident entre en implosion.
Si l’homme blanc devait disparaître dans les 24 heures de l’Europe, les femmes blanches seraient parfaitement incapables de simplement faire fonctionner le système électrique continental.
Si l’homme blanc devait disparaître dans les 24 heures de l’Occident, les juifs seraient parfaitement incapables de garantir leur sécurité physique partout où ils se trouvent.
C’est donc contre lui que les forces de destruction se coalisent au sein d’alliances purement opportunistes perpétuellement changeantes : métèques, juifs, homosexuels, etc. Mais ces alliances sont, par définition, incapables de produire quoique ce soit de durable. Et c’est pourquoi, comme le singe sciant la branche sur laquelle il est assis, ces éléments coalisés pavent la voie de leur propre chute.
Cependant, chez les éléments les plus faibles de la race blanche – homosexuels, bisexuels, hommes dominés par les femmes, femmes – la crainte du retour du patriarcat blanc est beaucoup plus forte que celle de l’islam. Seule la violence du moment de l’islam arabo-nègre met en sourdine les attaques de certains de ces éléments.
Et si certains d’entre eux font mine d’être moins agressifs contre la résistance masculine blanche, ce n’est que dans le cadre d’une politique de la balance, fondamentalement perfide et hypocrite.
L’homme féministe, produit de la dégénérescence démocratique judéo-socialiste
Venons-en maintenant à celui qui incarne le plus parfaitement la honte de l’Occident : l’homme blanc féministe. C’est-à-dire, selon la terminologie antifasciste, le « collabo », c’est-à-dire le vaincu par excellence qui tente de se ménager une place dans un environnement où son humiliation est l’alpha et l’omega du système.
Il génère, naturellement, un sentiment de répugnance chez les hommes blancs non-dégénérés, c’est-à-dire qui ont conservé leurs qualités premières, notamment celle de soif de domination.
L’homme blanc féministe est cet individu faible qui, génétiquement parlant, fait partie de la fraction du stock racial blanc qui a conçu au fil des millénaires un puissant sentiment de jalousie, de ressentiment contre les mâles blancs dominants qui s’attiraient – et en fait s’attirent toujours – les faveurs sexuelles des femmes blanches.
L’homme blanc féministe est un raté sexuel qui tente, à la faveur de l’effondrement de l’Occident aryen édifié par ses concurrents directs, de baiser désespérément sans ne plus avoir à respecter les règles du jeu de la compétition sexuelle.
Un resquilleur, en somme.
Quoi de plus surprenant de trouver chez ce segment du stock génétique blanc les éléments les plus physiquement chétifs et les plus moralement hypocrites ? Bref ceux qui fuient le pur rapport de force, c’est-à-dire les éléments les plus féminins et d’abord psychologiquement ?
27. L’une des meilleures manières pour un homme de participer à la lutte féministe est de se taire, rester à sa place, et faire des dons aux associations.
— Hugo d’Arbois de J. (@Hugo_Arbois) 29 mai 2018
Ce sont les Oncles Tom du matriarcat qui espèrent avoir marginalement accès à la chatte en échange de leur collaboration à la destruction du patriarcat. Douce illusion s’il en est.
L’effondrement de l’ordre dans une société aryenne entraîne toujours un foisonnement de petites combines ethniques et sexuelles particulièrement sinistres que seule une puissante réaction de force blanche peut contrecarrer.
L’homme blanc éveillé doit réagir en procédant par élimination, en comprenant comment s’imbriquent ces forces qui agissent par alliance opportuniste contre lui. Et ce, qu’il s’agisse des femelles non-domestiquées, des pédés, des métèques de toutes les couleurs, des tribus sémitiques ou des éléments masculins racialement inférieurs de la race blanche.
La charia blanche
Il est impossible, stratégiquement, de reprendre l’avantage sans avoir déjà fait le ménager dans sa propre maison.
Comment l’homme blanc pourrait-il dominer à nouveau ses terres ancestrales et sa destinée s’il ne maîtrise pas, en premier lieu, les ratés sexuels de sa race qui travaillent à sa perte au nom du « féminisme masculin » ? C’est en détruisant le féminisme masculin que l’homme blanc prendra l’avantage décisif qui lui permettra de restaurer son autorité complète sur les femmes blanches.
Dans cette équation, les menaces raciales et islamiques sont parfaitement secondaires car, sans système de perpétuation biologique stable, toutes les autres questions n’ont aucune espèce d’importance, faute d’objet.
Les femmes blanches doivent être à nouveau soumises à un ordre de fer par l’homme blanc, de la même façon que les éléments blancs dévirilisés féministes et les pédés doivent purement et simplement disparaître.
C’est ce que l’on appelle la charia blanche ou, plus communément, le patriarcat blanc traditionnel.
La restauration du gynécée.