Pour lutter contre l’idée farfelue d’un complot sioniste international, Macron téléphone à Netanyahou avant d’annoncer l’interdiction de parler du sionisme international (analyse)

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 février 2019

 

Emmanuel Macron est peut-être en réalité un Nazi secret qui se démène pour convaincre le dernier Français du péril juif.

Ces deux tweets feront douter le gauchiste de France le plus aveuglément philosémite du caractère inoffensif de la juiverie.

Je vais rappeler la chronologie des faits de ces dernières 24 heures.

Tout d’abord, la fiotte enjuivée de l’Elysée prend ses consignes auprès du quartier général mondial de la juiverie.

I24 :

Le président français Emmanuel Macron a annoncé mercredi au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou qu’il adoptera la « définition IHRA » qui affirme que l’antisionisme est une forme d’antisémitisme, lors d’un entretien téléphonique.

Ensuite, il annonce la même chose au quartier général de la juiverie en France.

Enfin, la populace goy est informée de la décision de ses maîtres via la presse juive.

Au sujet de cette « définition de l’antisémitisme » exigée par la juiverie, nous en avions déjà parlé à propos de Corbyn, le leader de la gauche britannique.

Corbyn est assiégé – physiquement – par les juifs pour qu’il accepte de les servir aveuglément s’il devient Premier ministre. Pour les satisfaire, il devait donc ratifier cette fameuse « définition » officielle.

Les juifs se sont déchaînés en hurlant constamment aux persécutions, au génocide, en allant jusqu’à former des grappes de youtres hystériques au pied du parlement anglais.

Corbyn a finalement capitulé.

Comme de coutume avec les juifs, leurs véritables intentions sont toujours masquées par une phraséologie mensongère. Cette « définition de l’antisémitisme » n’est rien d’autre que l’acte de soumission détaillé que doivent ratifier les états assujettis par la juiverie.

D’ailleurs, ce document lie aussi étroitement le quartier général juif et la religion de l’holocauste que le Vatican au Catholicisme.

Voici la liste des points de cette « définition » :

Appeler, aider ou justifier le meurtre ou le fait de blesser des juifs au nom d’une idéologie radicale ou d’une interprétation extrémiste de la religion.

Faire des allégations mensongères, déshumanisantes, diabolisantes ou stéréotypées au sujet des juifs ou du pouvoir des juifs comme entité collective telles que, tout spécialement mais non exclusivement, le mythe d’une conspiration juive mondiale ou des juifs contrôlant les médias, l’économie, les gouvernements ou les autres institutions sociales.

C’est vrai.

C’est comme si je disais que les juifs organisent depuis Israël la censure globale de l’internet en Occident pour faire taire toute mention du pouvoir des juifs.

Ou que si je disais que les juifs de Google conspirent pour mettre en oeuvre l’éradication des Blancs.

Ou que Macron doit téléphoner à Netanyahou avant d’annoncer de nouvelles mesures de censure contre les Français que les juifs n’aiment pas.

Ces théories complotistes ne reposent sur rien.

Le point suivant :

Accuser les juifs comme peuple d’être responsables d’actes commis par des non-juifs.

Je pense par contre qu’accuser les non-juifs d’actes commis par des juifs est permis.

Nier ou réduire les moyens (i.e. les chambres à gaz) ou l’intentionnalité du génocide du peuple juif par l’Allemagne Nationale-Socialiste et ses soutiens et complices durant la Deuxième Guerre Mondiale.

Ne pose pas de questions, goy.

Il ne s’agit pas de savoir mais de croire.

Des millions de juifs ont été gazés, incinérés puis transformés en abat-jour et en savon.

C’est tout.

Accuser les juifs comme peuple ou Israël comme état d’inventer ou d’exagérer l’holocauste.

Probablement un des points les plus importants : accuser les juifs de mentir.

Les saucisses de viande de juifs gazées sont authentiques. Elles sont authentiques parce qu’une juive a déclaré que c’était vrai.

Cette définition de l’antisémitisme permet donc de graver dans le marbre de la loi des états occidentaux un point essentiel : les juifs ne mentent pas, jamais, nulle part.

Criminaliser toute contestation de ce genre d’accusations est donc impératif.

Accuser les citoyens juifs d’être plus loyal envers Israël ou aux priorités allégués des juifs dans le monde que les intérêts de leur propre nation.

C’est vrai que c’est un autre point très important.

Vous imaginez, vous, que quelqu’un puisse affirmer qu’un député français serait plus loyal envers Israël qu’envers la France au motif qu’il soit juif ?

Une vue de l’esprit que seul un de ces antisémites malades pourrait imaginer.

Imaginez vous ce député français aux côtés d’un rabbin israélien qui aurait ouvertement appelé à la réduction en esclavage des goyim ?

Aucun esprit sain ne peut concevoir un truc pareil.

Nier au peuple juif le droit à l’autodétermination en déclarant que l’existence de l’Etat d’Israël est une entreprise raciste.

Très important.

Les juifs ne peuvent pas mentir. Les juifs ne peuvent pas trahir. Mais surtout, ils ne peuvent pas être racistes.

Donc, clarifions.

Sur la base de leur sang, les juifs du monde entier ont le droit de prendre possession de la terre de leur choix. Ici, en l’occurrence, la Palestine.

Ce droit fondamental en ouvre un autre : parquer les bougnoules dans des réserves gardées par l’armée juive.

Comme vous le savez maintenant, les juifs ne pouvant pas être racistes par nature, c’est donc un droit de l’homme garanti par l’ONU et surtout la morale universelle.

Cependant  si un gouvernement non-juif tente d’imiter cette pratique, sa condamnation est essentielle étant entendu que seuls les êtres humains, i.e. les juifs, peuvent le faire tout en restant moralement dignes.

Une fois ce point fait, même si c’est l’évidence, passons à la suite.

Appliquer un double standard en demandant de la part d’Israël un comportement qui n’est pas attendu des autres nations.

EXACT.

Ces sales goyim hypocrites passent leur temps à harceler les juifs, donc Israël, avec des double-discours scandaleux.

Je ne sais pas moi, c’est comme si on affirmait qu’une juive israélienne revendiquait exclusivement pour sa race un état tout en poussant les Blancs à ouvrir leur pays à l’immigration islamique au nom de l’antiracisme universel.

Vous imaginez ? Qui peut développer des théories aussi délirantes si ce n’est par pure haine des juifs ?

Donc, effectivement, interdire le double standard antisémite est crucial.

Utiliser les symboles et les images associés avec l’antisémitisme classique (affirmer que les juifs ont tué Jésus ou pratiquent des meurtres rituels) pour caractériser Israël ou les Israéliens.

Ah oui, ça aussi.

Les juifs n’ont pas tué le Christ à Jérusalem. Ce sont ces sales goyim de Romains.

Donc, l’état national de ces juifs dont la capitale est Jérusalem n’a aucun rapport avec la crucifixion du Christ.

Il est plus que temps d’ailleurs d’interdire toute version des évangiles qui ne soit pas annotées par le Mémorial de la Shoah. En fait, pour bien faire, les évangiles devraient être réécrits sous la supervision des rabbins.

Hélas, ce n’est pas dans la définition de l’antisémitisme. Un regret, je dois dire.

Faire des caricatures comparant la politique israélienne à celle des Nazis.

Tenir les juifs pour collectivement responsables des actions d’Israël.

Point crucial.

Oui, Israël est l’état de tous les juifs de la terre. Comme dit plus haut, c’est leur droit fondamental à l’autodétermination.

Par contre, il est tout aussi entendu que les juifs n’ont rien à voir avec Israël.

Aucun rapport.

Comme je pense qu’un certain nombre d’entre vous ne comprend pas, ce serait comme de blâmer le CRIF ou Meyer Habib pour les actions d’Israël alors qu’aucun lien n’existe entre eux.

Maintenant

Une fois cette définition de l’antisémitisme clarifiée, revenons-en à Macron.

France Info :

Emmanuel Macron a annoncé que la France allait adopter dans ses textes de référence une définition de l’antisémitisme élargie à l’antisionisme. « La France, qui l’a endossée en décembre avec ses partenaires européens, mettra en œuvre la définition de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah », qui intègre l’antisionisme, a-t-il dit. Le président de la République a estimé que « l’antisionisme est une des formes modernes de l’antisémitisme ».

Bon, vous savez maintenant de quoi il s’agit.

« Il ne s’agit pas de modifier le Code pénal, encore moins d’empêcher ceux qui le veulent de critiquer la politique israélienne« , a précisé le chef de l’Etat. « Il s’agit de préciser et raffermir les pratiques des nos forces de l’ordre, de nos magistrats, de nos enseignants. De leur permettre de mieux lutter contre ceux qui cachent, derrière le rejet d’Israël, la négation même de l’existence même d’Israël, la haine du Juif la plus primaire. »

  1. Macron va reconnaître officiellement la définition de l’antisémitisme pensée par les juifs pour empêcher toute critique d’Israël.
  2. Macron déclare que cette reconnaissance n’empêchera personne de critiquer Israël.

C’est logique.

Je n’en demandais pas tant

Comme vous le savez, j’ai pour habitude de dire ici qu’il n’y a pas plus stupide que la race juive.

Si j’avais voulu que ces youpins fassent quelque chose pour nous faire progresser encore dans les esprits, j’aurais souhaité précisément ça : que critiquer Israël soit désormais un blasphème violemment réprimé par cette république juive.

C’est le moyen le plus efficace pour faire prendre conscience à des millions de gauchistes de la véritable nature de la juiverie qui contrôle l’Occident.

Car ce sont bien ces millions de Français encore confits de sémitisme mental qu’il faut sevrer. Pour la droite parlementaire juive, c’est peine perdue.

Au minimum, cette droite continuera de dénoncer l’immigration pour conserver des voix. Et cette politique suffira toujours à la rendre suspecte aux yeux des juifs et objectivement encombrante pour la finance juive.

Non, le plus important, c’est de dresser un maximum de gauchistes contre ce régime juif.

Ici, à Démocratie Participative, nous revendiquons notre rôle dans cette fuite en avant de la juiverie. Sans nos attaques incessantes, les juifs n’auraient pas produit un rapport aussi radical que celui qui servira à écrire la future loi de censure générale de l’internet.

C’est ce qu’a confirmé Macron :

Une proposition de loi contre la haine sur internet sera déposée en mai, a assuré Emmanuel Macron. Le texte sera déposé par Laetitia Avia, députée La République en marche de Paris. Ce texte « reprendra les propositions » faites dans un rapport remis en septembre au Premier ministre, qui vise à renforcer la pression sur les plateformes numériques. Cette loi imposera par exemple aux plateformes de retirer les contenus appelant à la haine « dans les meilleurs délais » et de « mettre en œuvre toutes les techniques permettant de repérer l’identité » de leurs auteurs et les responsabilisera sur le plan juridique.

Nous avons régulièrement parlé de ce rapport et, en retour, Lippoutou a régulièrement parlé de nous.

Sans parler bien sûr du déchaînement répressif contre Démocratie Participative.

Plus nous attaquons ces sales juifs, plus ils exhibent leur sémitisme puant.

Et pour première preuve de l’efficacité de cette stratégie, vous pouvez lire les commentaires sous le compte Twitter du laquais des juifs de l’Elysée.

Et les juifs marchent gaiement vers l’abîme.

Tout évolue comme cela doit évoluer.

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