La rédaction
Démocratie Participative
31 décembre 2022
Ce soir, c’est la fin de l’année 2022 et ce réveillon ne serait pas complet sans la désignation du Sale juif de l’année.
Notre équipe a réellement apprécié les contributions sur le fil consacré et les candidats sont aussi nombreux que solides. Hélas, il faut faire un choix et nous avons conscience que bien des youtres auraient dû figurer ici.
Voici nos candidats.
Catégorie « Rabbin philosophe fauteur de guerre »
Raphaël Glucksmann. Juif infiltré au parlement européen où il fomente le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale contre le bloc Russie, Iran, Chine, l’appétit venant en mangeant. Suintant de glaire sémitique, Glucksmann bafouille ses rêves de carnages avec une touchante sincérité. En 2022, il n’a pas épargné les Français d’une seule injure pour leur manque d’entrain à faire tuer leurs enfants, impôt du sang si nécessaire à la victoire de la race juive contre l’humanité.
Bernard-Henri Lévy. Bien qu’on ne le présente plus, ce renifleur de charniers s’est illustré en Ukraine depuis le début du conflit. Son appel ouvert à la guerre nucléaire contre la Russie dans le journal juif « The jewish chronicle » restera dans les annales des crimes juifs. C’est dans les vieux pots que l’on fait la meilleure confiture, dit le dicton. Sera-ce le cas cette année avec cette valeur sûre du judaïsme international ?
Raphaël Enthoven. Principalement connu pour avoir couché avec Carla Bruni, la femme de son père à qui l’on doit la formule délicieuse « le vieux sang pourri des Français » alors qu’elle dénonçait ce qu’elle considère comme le tropisme communautariste des Blancs – il n’y a pas de miroir, chez ces gens-là. L’engagement du rabbi contre l’Iran et la Russie a été riche et intense en sémiteries cette année. Accroché à de multiples lianes médiatiques grâce aux appuis invisibles des véritables maîtres de la France, ce singe de Judée a su communiquer toute la fièvre guerrière qui anime le peuple élu à mesure que les promesses de la Torah semblent devoir se matérialiser.
Delphine Horvilleur. Cette littérale femme rabbin est la belle révélation de l’année. Sa chevelure densément crépue rappelle que la Judée fut longtemps irriguée de sang nègre. Pas un magazine, une radio ou un plateau de télévision ne lui a été fermé en 2022 et, n’en doutez pas, cela n’est dû qu’à son incommensurable profondeur de vue. Architecte d’une laïcité aux dimensions d’une ketouba, on lui doit la promotion de la première « femme imame » de France, Kahina Bahloul, qui, incidemment, est également juive. Fer de lance de la lutte contre l’islam jugé par trop imperméable à l’air juif du temps, elle fait de la conquête de la femme orientale par la Synagogue son combat de choix.
Catégorie « Marchand heureux »
Stéphane Manigold. Un visage qui ne dépareillerait pas sur une photo du politburo de l’Union Soviétique en 1919, le médiatique commerçant a été proclamé représentant en chef du secteur gastronomique français aux côtés de son congénère Thierry Marx. Cet épicier juif a été choisi par le gouvernement d’Emmanuel Macron pour appeler à fermer les restaurants pour les besoins de (((Pfizer))) sous le slogan « Restons ouverts ».
Thierry Marx. Ce cuistot ashkénaze hyper médiatisé est désormais la voix de la nouvelle traite négrière rebaptisée « Aide aux métiers sous tension ». Le juif Marx veut beaucoup plus d’immigrés en France afin de faire beaucoup plus de profits en payant les travailleurs infiniment moins. Une révélation tardive, mais réelle.
Catégorie « Financiers internationaux »
Samuel Bankman-Fried. Le patron de FTX joue désormais dans la cour de son correligionnaire Bernard Madoff. Bankman-Fried utilisait la manipulation des capitaux en cryptomonnaies grâce à sa plateforme FTX, la deuxième du monde, pour blanchir l’argent du trafic d’armes ukrainien au profit des juifs du Parti démocrate américain. Des dollars et du sang : tout ce qu’il faut pour devenir un excellent candidat du millésime 2022.
Larry Fink. À la tête de Black Rock, on doit au spéculateur new-yorkais la « réforme des retraites » d’Emmanuel Macron dont il attend de substantiels profits futurs. C’est aussi lui qui sera en charge de la gestion de « l’aide à la reconstruction de l’Ukraine » qui sera notamment financée par l’argent volé aux Russes grâce à Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission Européenne. Des montagnes de cadavres et d’or, et au dessus, Larry Fink.
Catégorie « Blouses blanches »
Jérôme Salomon. On doit à ce docteur juif adepte de la terreur de masse la comparaison entre le Covid19 et la « Peste Noire ». Grâce à cette évocation médiévale, 68 millions de personnes ont pu être séquestrées en France, nécessitant l’emprunt de 800 milliards d’euros. Indexés sur l’inflation, ces emprunts ont l’avantage d’être une véritable aubaine pour les créanciers juifs choisis par Emmanuel Macron.
Alain Fischer. « Monsieur Vaccin » désigné par le gouvernement pour s’assurer de la bonne inoculation des Français au profit de (((Pfizer))). Il a souvent prophétisé des vagues épidémiques catastrophiques grâce au concours de BFMTV, propriété du milliardaire israélien Patrick Drahi. Sans lui, beaucoup de goyim seraient encore vivants en France. Un bel engagement qui mérite une nomination.
Agnès Buzyn. Empoisonneuse de puits fondamentale, elle était ministre de la Santé au moment du déclenchement de la « pandémie de Covid19 » depuis Wuhan, laboratoire fondé par son mari, Yves Lévy. Exfiltrée à l’OMS en Suisse par Emmanuel Macron, elle se dit désormais victime de la cruauté des goyim injectés. Son père Élie, un énième miraculé des chambres à gaz au fonctionnement encore inexpliqué à ce jour, est mort cette année après un engagement constant contre la jalousie persistante des goyim.
Michel Cymès. Décrété « médecin préféré des Français » par les médias juifs, Cymès a brillé par les insultes et menaces adressées aux goyim refusant la soumission totale à Big Pharma. Formé à bonne école, il est récemment revenu sur les plateaux avec une histoire de cancer contracté en 2009 pour se victimiser dans les chaumières. Les Gaulois, bonne pâte, lui ont tout pardonné et sont désormais prêts à se faire à nouveau empoisonner et insulter par le bienveillant praticien de plateau télé.
Albert Bourla. Est-il nécessaire d’en dire plus que le nom de cette blouse blanche juive qui, depuis l’assassinat de Joseph Staline par une conjuration de médecins ashkénazes, a marqué l’histoire médicale sanglante des victimes du judaïsme ? Depuis la révolution bolchevique et le Plan Morgenthau, aucun juif n’a tué autant de goyim que lui. Notre coup de coeur.
Les fact-checkers de l’extrême
Tristan Mendès. Descendant de négriers juifs bordelais, imperméable à la vérité comme un canard à l’eau, Tristan Mendès est l’incarnation du célèbre passage de Mein Kampf où Adolf Hitler, narrant sa jeunesse viennoise, décrit sa découverte de l’effronterie juive dans le mensonge. Comparant la composition du juif à de la gelée que l’on essaierait de saisir à pleine main et qui s’échappe des doigts pour mieux se reformer aussitôt, Adolf Hitler conclut « j’en viens progressivement à les haïr ». Menteur chevronné, Mendès accuse tous les goyim problématiques pour l’ordre juif de mentir. Il sait qu’il ment, il sait que nous savons qu’il ment, il sait que nous savons qu’il sait que nous savons et pourtant, il continue de mentir.
Rudy Reichstadt. Visqueux au faciès comme au caractère, Reichstadt applique la lutte asymétrique théorisée par la CIA contre tous les opposants au système en les accusant de « complotisme », c’est-à-dire en associant systématiquement critique de l’ordre établi et irrationnalité. Si vous critiquez l’élite en place, vous êtes fou : il suffisait d’y penser. Reichstadt a récemment été éclaboussé par les révélations de France Soir à propos d’un de ses factcheckers, Antoine Daoust qui, entre deux articles contre les antivax, revendait au marché noir des faux tests PCR afin d’éviter la vaccination.
Catégorie « Journaliste de droit divin »
Patrick Cohen. La peau grillée comme une datte oubliée au soleil, le cheveu noir et luisant d’une graisse toute libanaise, on ne le présente plus. Considéré comme l’autorité suprême du journalisme autorisé, il est bon de rappeler que Cohen appartient à la caste des prêtres du Temple de Jérusalem, les cohanim. Quand Patrick Cohen s’exprime par un éditorial sur une question brûlante, un sujet est considéré comme officiellement tranché. À charge pour les uns et les autres d’en prendre note et de choisir l’alignement ou la sanction.
Laurence Haïm. D’évidence totalement dépravée sexuellement, Laurence Haïm incarne un peu la prostituée juive millénaire, d’Esther à Simone Veil. Elle ne peut se tenir nulle part sans adresser un regard obscène au public. Officiant dans le journalisme, une profession adjacente aux passes tarifées, Laurence Haïm associe la morgue indue de sa race et l’art d’être toujours à côté de la plaque, en retard et à contretemps, le tout avec un air enthousiaste de touriste BCBG satisfaite d’elle-même. Une petite candidate, certes, mais qui a cette légère aigreur de sueur piquante que pue le juif et sans laquelle ce concours ne serait pas tout à fait le même.
Élisabeth Lévy. Elle n’est peut-être pas votre premier choix, mais elle est celui des cavistes de Paris. Avec son partenaire Gilles-William Goldnadel, elle s’assure de baliser les débats soporifiques de CNews sur les bons et les mauvais Musulmans, tandis que les Congolais catholiques ont carte blanche pour sauter les Blanches. Élisabeth, c’est déjà deux décennies à tenir les Français en haleine pour ne rien dire !
Catégorie « Avocat en transit »
Gilles-William Goldnadel. Le parrain de la droite française, mais pas au sens familial du terme. Sûr de lui et dominateur, Gilles-William sait toute l’autorité que lui confère la perte de son prépuce sur la droite hexagonale depuis 1945. Comme prêtre, il dit le pur et l’impur et délivre les autorisations médiatiques nécessaires aux goyim obéissants. Quoique très remonté contre les Mahométans, son rôle, comme guerrier de Sion, est de s’assurer que les Français de souche passablement irrités par l’immigration non-blanche restent encagés dans une lecture non-raciale des conséquences de l’immigrationnisme juif. Les débats interminables sur la longueur des barbes et le dévoilement du corps des beurettes sont ses sujets de prédilection.
Catégorie « Art dégénéré »
Émilie Frêche. Cette très belle femme juive a beaucoup fait parler d’elle après l’échec monumental de son film « Les engagés » qui retrace l’histoire héroïque de ceux qui luttent pour noyer la France de millions de pouilleux du tiers-monde, de préférence musulmans. Ne pouvant raisonnablement être mis au compte de son manque de talent, c’est à celui de l’antisémitisme rabique des Blancs et de Democratie Participative qu’Émilie Frêche a mis ce flop. Sa haine intense contre la race blanche en fait la réalisatrice de l’année 2022.
Catégorie « Philanthrope sans frontières »
Marie-France Cohen. Cette richissime juive a connu la gloire médiatique cette année grâce à son audacieux projet « Horizon » qui vise à implanter des centaines de migrants afro-musulmans dans le petit village breton de Callac, 2,000 habitants. Depuis que la bienfaitrice juive s’est introduite dans la vie de la commune, le chaos s’y est installé et la division entre élus politiques et habitants est désormais la règle, au point de forcer la Gendarmerie à déployer en permanence des troupes sur place. Un bel exemple de « shalom », de paix, apportée par la race juive aux goyim, partout où ils s’infiltrent.
Catégorie « Fauteur de guerre international »
Volodomyr Zelensky. Le Machiach annoncé par les Protocoles des Sages de Sion. Ce saltimbanque devenu le roi des juifs déclenchera la Troisième Guerre Mondiale après avoir mis sous son talon l’ensemble des nations occidentales. Par la magie du mensonge juif et l’art consommé de la Synagogue pour déclencher des guerres, Zelensky s’est constitué une fortune déjà immense en nourrissant un terrifiant conflit contre la Russie. Sous l’oeil fasciné de tous les juifs de la terre, Zelensky convertit chaque cadavre de Slave, ukrainien ou russe, en dollars. Ce qui lui vaut, auprès des kabbalistes, le titre d’alchimiste final, celui qui transforme le sang des goyim en or. Le suzerain du monde démocratique est indubitablement l’un des plus sérieux candidats de l’année 2022.
Catégorie « Démocratie tribale »
Esther Benbassa. Titulaire de nombreux passeports, cette sénatrice d’extrême-gauche à l’épais accent israélien a touché le coeur des Français après l’éclatement du scandale de l’exploitation féroce de ses collaborateurs au Sénat. Génétiquement aiguillonnée pour tirer le meilleur de ses esclaves, cette juive à l’élégance si française a déjà remporté un succès d’estime cette année. Si elle ne tient pas la corde, ses efforts ne doivent pas être minorés.
Élisabeth Bornstein. Dite « Borne », pour les goyim, afin de faire terroir et église, Élisabeth est aussi une descendante de « survivant » des chambres à gaz qui, décidément, ont fort mal fonctionné. Élisabeth Bornstein a pour mission de détruire la France de jadis pour en faire une zone adaptée aux besoins du judaïsme financier mondial. Aussi chaleureuse que la porte d’une synagogue un soir de Noël, Élisabeth Bornstein n’aime pas les Français et le leur fait savoir à coups de 49-3 chaque semaine.
Sarah Knafo. La compagne d’Éric Zemmour a toute notre considération. Sortie du sillon de la juiverie séfarade d’Algérie, Sarah a su, en l’espace d’une campagne présidentielle, se faire la maîtresse incontestée des racistes français. En peu de temps, elle a su faire de la lutte contre le « Grand Remplacement » une juteuse machine à cash, moyennant une terrible purge de tous les éléments de souche française faisant preuve d’insubordination à l’égard du peuple juif. Désormais véritable cheffe de « Reconquête! », Sarah tient fermement le gouvernail de l’extrême-droite et la maintient sur une ligne assimilationniste dure. Grâce à la partenaire du nouveau Charles Martel, quoi qu’il arrive, le racisme ne passera pas.
Nous attendons votre choix en réaction à ce fil !
Je désigne le Sale juif de l’année 2022 ici !