Captain Harlock
Démocratie Participative
29 janvier 2022
Les femmes ont le droit de détruire la société
Pour la plus grande surprise des hommes féministes qui dominent la droite, les femmes ont détruit la société occidentale en seulement 50 ans d’abolition du patriarcat.
La plupart des femmes d’Angleterre et du Pays de Galles n’ont plus d’enfant avant l’âge de 30 ans, selon des chiffres officiels publiés pour la première fois.
Selon un rapport de l’Office for National Statistics (ONS), 50,1 % des femmes nées en 1990 sont sans enfant à leur 30e anniversaire.
C’est la première fois qu’il y a eu plus de femmes sans enfant que de mères avant l’âge de 30 ans depuis le début des statistiques, qui remontent à 1920.
À titre de comparaison, un tiers des femmes nées au cours de cette décennie n’avaient pas eu d’enfant à l’âge de 30 ans.
Les femmes nées dans les années 1940 étaient les plus susceptibles d’avoir eu au moins un enfant à ce stade (82 %).
Mais depuis lors, la tendance à long terme est de choisir d’avoir des enfants plus tard dans la vie et de réduire la taille de la famille, selon l’ONS.
L’âge le plus courant pour avoir un enfant est aujourd’hui de 31 ans, estime l’ONS sur la base des dernières données, contre 22 ans pour les baby-boomers nés à la fin des années 1940.
Mais que s’est-il passé dans les années 60 qui peut expliquer ce bouleversement ?
Qu’est-ce que les boomers ont bien pu changer, au point d’ouvrir la voie à la formation d’une vaste cohorte de femmes sans enfants de plus de 30 ans ?
Serait-ce le droit des femmes à faire ce qu’elles veulent ?
La proportion de femmes atteignant l’âge de 30 ans sans enfant n’a cessé d’augmenter depuis la fin des années 70, où environ un cinquième d’entre elles étaient sans enfant.
Cette proportion a augmenté de façon spectaculaire au cours de la décennie suivante. En 1980, 24 % des femmes âgées de 30 ans étaient sans enfant, et ce chiffre est passé à 37 % en 1990.
À la fin du siècle, quelque 43 % des femmes avaient un enfant avant leur 30e anniversaire. Et l’année dernière, ce chiffre a franchi la barre des 50 % pour la première fois.
Amanda Sharfman, statisticienne à l’ONS, a déclaré : « Nous continuons à observer un retard dans la procréation, les femmes nées en 1990 devenant la première cohorte où la moitié des femmes restent sans enfant à leur 30e anniversaire. Les niveaux d’absence d’enfants à l’âge de 30 ans ont augmenté régulièrement depuis le niveau le plus bas de 18 % pour les femmes nées en 1941. Les niveaux de fécondité plus faibles chez les femmes qui ont actuellement une vingtaine d’années indiquent que cette tendance va probablement se poursuivre« .
Dans le même temps, on constate une augmentation du nombre de femmes qui n’ont jamais d’enfants.
Selon le rapport, 18 % des femmes âgées de 45 ans seront sans enfant d’ici 2020.
Les femmes modernes de tous âges choisissent également d’avoir des familles plus petites.
Les mères ont, en moyenne, 1,92 enfant aujourd’hui, ce qui est inférieur aux 2,08 de la génération de leurs mères.
La femme est un objet et cet objet a pour fonction de faire des enfants.
Dès lors que les hommes féministes ont décidé d’idéaliser les femmes et de les considérer comme des hommes et non plus comme une propriété mobilière, les femmes ont fait ce que leur génétique les programme de faire : donner libre cours à leur hypergamie.
Les femmes ne veulent pas se fixer avec un type avant la fin de leur trentaine parce qu’elles se disent qu’elles peuvent toujours trouver un mâle alpha au coin de la rue qui roule en Lamborghini. Même les pires boudins pensent comme ça, aussi stupéfiant que ça puisse vous paraître.
Toutes leurs histoires de maquillage ou de fringues ne sont que le résultat de la compétition qui les obsède pour s’emparer du meilleur parti avant leurs voisines.
Les femmes veulent se laisser toutes les options ouvertes jusqu’à l’âge médian de 40 ans, leur valeur sexuelle tombant à près de zéro passé cette limite. Elles veulent finalement « s’installer » avec un compte bancaire (c’est-à-dire un homme) pour « fonder une famille » (c’est-à-dire capturer ce compte bancaire à vie).
Dans une société normale, c’est après 30 ans que leur valeur sexuelle s’approche de zéro, mais dans une vaginocratie où les femmes contrôlent la société après avoir établi un brutal rationnement sexuel, elles peuvent repousser toujours plus loin leur date de péremption face à un public masculin souffrant de la famine généralisée.
Les femmes spéculent sur le prix de leur sexe comme les boulangers spéculent sur le prix du blé en temps de disette.
C’est là que les émeutes de la faim surviennent.
La prochaine promet d’être particulièrement violente.
Les garces n’ont aucunement l’intention de changer de cap, seulement d’appeler l’Etat à l’aide pour réprimer les émeutiers.
Et comme nous sommes en démocratie et que les hommes féministes sont très agressifs sur la question de maintenir ce système en place, 50% des femmes dictent et vont dicter leur volonté à la société. Figure tout au sommet de leurs priorités la liberté des femmes de ne pas faire d’enfants jusqu’à 40 voire 45 ans pour pouvoir coucher avec autant de types que nécessaire dans l’espoir de squatter un statut social qu’elles sont incapables de s’offrir elles-mêmes par leur travail.
En 2022, en France, personne ne parle de ça dans la sphère politique. C’est un non sujet.
Parce que les femmes votent et qu’elles ne veulent pas d’enfants avant 40 ans, parce que les Boomers veulent des esclaves pour payer leurs retraites, parce que les médias juifs veulent faire disparaître les Blancs, parce que le grand capitalisme veut de l’immigration de masse comme variable d’ajustement à la dénatalité engendrée par le salariat féminin, parce que les hommes blancs ne veulent rien faire à ça, le Grand Remplacement va se poursuivre à vitesse accélérée.
Mais oui, à part tout ça, les femmes divorcées fortes et indépendantes vont sauver cette société vaginocratique du vaginocratisme.
Marine Le Pen : «J’ai avec Marion une histoire particulière parce que je l’ai élevée avec ma sœur pendant les premières années de sa vie. C’est brutal, c’est violent, c’est difficile», dans #LaMatinale pic.twitter.com/0t9VFJ8z9e
— CNEWS (@CNEWS) January 28, 2022
Vous feriez mieux de vous préparer à l’effondrement complet de l’ordre social sur le modèle romain, mais en bien pire.
Il a fallu mille ans pour absorber l’effondrement de l’empire romain après les invasions germaniques et les Germains étaient des peuples blancs au QI à trois chiffres. Une invasion de nègres idiots et d’arabes haineux sera infiniment plus dévastatrice culturellement.
En fait, il n’y aura rien à restaurer.
C’est pour ça que je répète encore et toujours la même chose : fuyez les grandes villes.
En fait, fuyez les villes, tout court.
Arrêtez vos mensonges @EmmWargon !
Avec @vpecresse, nous faisons du logement social dans les villes carencées et nous construisons de l’intermédiaire là où il y a trop de logements très sociaux pour casser les ghettos. C’est ça la vraie mixité ! Pourtant, l’État nous en empêche! pic.twitter.com/a6hRvHQBkJ
— Florence Portelli (@FloPortelli) April 20, 2021
Quand les femmes en auront fini avec la France, la moindre agglomération de plus de 1,000 habitants sera un coupe-gorge salafiste.