Captain Harlock
Démocratie Participative
22 juin 2018
Il y a deux façons de prendre ce genre de développement. La mauvaise, en se lamentant de cette déchéance spectaculaire. Et la bonne, en y voyant le signe de la chute inévitable de la démocratie.
Des nègres sodomites dansant lascivement, comme dans un village reculé d’Afrique, tandis qu’une musique dégénérée transforment le Palais de l’Elysée en une boîte de nuit où, c’est l’évidence, des métèques camés, des invertis et des bourgeois fricotent dans une atmosphère de fin du monde.
Il n’y a rien d’étonnant là-dedans. C’est le propre de la démocratie que de finir dans le chaos, la promiscuité la plus obscène et la souillure.
Et comme Paris, de par son histoire, reflète la grandeur des monarques et empereurs de jadis, la fange en vient à être maculée partout, pour abattre tout souvenir susceptible de condamner publiquement la démocratie et ses maîtres juifs.
La déchéance d’une cité, d’une nation ou d’un empire ne s’arrête jamais d’elle-même et encore moins par une réaction du peuple. Au mieux, le peuple en vient à saluer le coup de force des forces de libération anti-démocratiques. Mais la masse, par elle-même, est le coeur et l’âme des latrines publiques que l’on appelle la démocratie où vient chier le juif.
Les masses n’ont aucune volonté. Elles n’ont aucune capacité d’anticipation ou de calcul. Leur nature est régie par les lois de gravité. Livrées à elles-mêmes, elles retournent à l’état de sauvagerie. Seule une force extérieure peut la mettre en mouvement. Sans cette force, la masse descend toujours plus bas.
Tout cela n’a rien de nouveau.
Ces gens qui sont actuellement au pouvoir pour le compte des juifs posent les jalons de leur propre chute. D’une part, à mesure que le chaos progresse, ils exigent toujours plus de marques de loyalisme et de déférence à l’égard de la démocratie et de cette république. De l’autre, ils se démènent pour déconsidérer tout ce qui pourrait avoir un caractère supérieur, aristocratique, bref, tout ce qui rappelle le principe hiérarchique.
Quand vous voyez tout ce fatras de préfets, de politiciens ou de militaires se prendre au sérieux et lancer la répression contre les partisans de l’ordre, on ne peut qu’en rire.
Il suffit de se remémorer cette image de nègres primitifs danser devant l’Elysée pour se rappeler que ce régime n’est plus que la face grimaçante et cynique de la haine perverse du juif.
Le « souverainisme » ou « l’identitarisme » ne suffiront pas à faire barrage à cette lie. Seuls le fascisme et le racisme y parviendront avec, au centre de leur dispositif, la lutte contre les juifs.