Pour la énième année consécutive, les Français écoutent massivement et exclusivement de la musique nègre, i.e. du rap : LE TOP DES TITRES

La rédaction
Démocratie Participative
06 août 2022

Il y a trois ans, nous avions fait en août une revue des titres les plus streamés de Fronsse.

Nous avions constaté que la totalité de ce qui était massivement écouté était négroïde : du rap, du RnB (rap de négresse), du bruit latino-cocotier (noir dilué dans de l’Inca).

Mais qu’est-ce qu’écoute comme musique la jeunesse française pour cet été ?

Trois ans plus tard, des gens ont finalement remarqué dans nos milieux que la culture française est désormais une culture intégralement africaine, grand-remplacée.

Bien entendu, on trouvait du rap dans les années 1980 en France, mais c’était une niche musicale parmi d’autres. Aujourd’hui, tout a été oblitéré, en totalité.

Plus un chanteur de variété français has been, rien. Uniquement de la brutalité sonore africaine.

On gagne vraiment cette bataille culturelle.

Henri de Lesquen a été le premier à médiatiser ce désastre civilisationnel et racial qu’est la supplantation finale de toute forme de musique européenne en France par le vacarme négroïde.

La cheffe de file de la droite nationaliste française, Marine Le Pen, adore s’éclater sur cette musique, avec son obscénité latente.

En 2022, l’Amérique, pourtant foyer du rap, n’est pas aussi intégralement consummée par la sauvagerie auditive négroïde que la France. Il existe aux USA toute une scène country, très populaire et streamée. On en pense ce que l’on veut, mais l’alternative existe.

Rien de tel dans la France afro-communiste. Ce pays, avec l’avènement du ministère socialiste de la culture sous la direction du juif Jack Lang, a été livré à l’Afrique. La loi Toubon, qui oblige les radios hexagonales à diffuser des quotas de production fronssaise, a surboosté la diffusion de rap à partir des années 1990.

30 ans plus tard, la culture d’état judéo-nègre a tout pris.

Il ne reste rien.

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Je pense à sa chatte

Le propre du bruit nègre, c’est qu’il peut durer des millénaires, sans bouger, comme une pierre au soleil.

Les Blancs apprennent désormais à devenir des nègres.

Le dernier périmètre qui échappe à la sauvagerie auditive négroïde, c’est l’electro où les Blancs restent les maîtres incontestés en raison du niveau de cérébralité nécessaire pour participer.

C’est tout le problème. Il est plus difficile de monter que de descendre.

Être un nègre mental et écouter du rap est plus facile, et désormais plus socialement valorisé, que d’utiliser un potentiel cognitif évanescent. Le QI s’effondre, nous nous rapprochons donc de l’Afrique. Ou plutôt, l’Afrique se rapproche de nous.

La lutte contre le Grand Remplacement et l’abaissement de la race blanche commence par le refus déterminé de deux choses : le rap et le shit.

Si vous écoutez du rap et que vous fumez des joints, vous êtes déjà la moitié d’un nègre. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez arrêter, alors qu’un nègre ne peut pas changer son ADN pour se racheter.

Si les jeunes Blancs, les jeunes Whites, les jeunes Blancos veulent du son un peu péchu, il n’y a que l’embarras du choix pour leurs enceintes portatives.

Tout la musique militaire allemande, pour commencer. Cette musique a été conçue pour préparer psychologiquement à la guerre dans un sens implicitement puis explicitement racial.

Je n’ai pas besoin de vous expliquer cette musique résonne racialement.  L’écouter et la faire écouter régulièrement, c’est basculer vers une nouvelle réalité aryenne.

L’esprit Totenkopf.

Effet garanti en salle.

Sambre-et-Meuse, à côté, c’est du Tino Rossi.

Il y a différents types de musique pour différents types d’humeur.

Mais la dénégrification mentale est un impératif.

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