Captain Harlock
Démocratie Participative
17 décembre 2021
Vous reprendrez bien un peu de communisme vaginal.
Le Parlement a adopté définitivement jeudi, par un ultime vote du Sénat, une proposition de loi LREM pour une « égalité économique et professionnelle réelle » entre femmes et hommes, qui instaure des quotas de femmes aux postes de direction des grandes entreprises.
Le texte a été voté une dernière fois par la chambre haute à l’unanimité des suffrages exprimés, le groupe CRCE à majorité communiste s’étant abstenu.
Des quotas de femmes seront donc instaurés parmi les cadres dirigeants et les instances dirigeantes des entreprises de plus de 1 000 salariés, avec une proportion d’au moins 30 % de femmes d’ici 2027, et de 40 % d’ici 2030. A compter de 2030, les entreprises auront deux années supplémentaires pour se mettre en conformité. A défaut, une pénalité financière est prévue, plafonnée à 1 % de la masse salariale de l’entreprise.
Dans une logique de « name and shame » (nommer et blâmer), ces entreprises devront également publier chaque année sur le site du ministère du Travail les écarts de représentation hommes-femmes. Cette obligation s’appliquera deux ans après la publication de la loi.
Dix ans après l’adoption de la loi Copé-Zimmermann, qui imposait 40 % de femmes dans les conseils d’administration, ce texte part du constat qu’il n’y a pas eu de « ruissellement » de la féminisation vers les comités exécutifs et de direction. Il étend donc la logique des quotas aux postes à responsabilité.
« L’égalité réelle » est donc au programme. Comme l’égalité n’existe pas dans la réalité, il s’agit donc d’en créer artificiellement les apparences par l’intervention autoritaire de l’Etat dans l’administration des entreprises. En soi, ce n’est pas une idée nouvelle. C’est sur ce principe que fonctionnait l’Union Soviétique et tous les systèmes marxistes qui se sont invariablement effondrés sous la pression… et bien… de la réalité.
Tous ceux qui prêchent le mythe de l’égalité (raciale, sexuelle, économique, etc.) sont les derniers à y croire. Ceux qui parlent d’égalité veulent simplement compenser leur échec personnel par l’usage de la coercition et de la violence contre ceux qui sont meilleurs qu’eux pour compenser leur défaillance fondamentale.
Si les femmes n’occupent pas les postes de direction, ce n’est pas parce qu’une conspiration masculine s’y oppose comme le disent les complotistes féministes, mais parce qu’elles en sont incapables, génétiquement.
Le leadership est une qualité exclusivement masculine, parce que seul l’homme veut conquérir pour bâtir et créer les conditions de la perpétuation de l’espèce. C’est le fruit de centaines de millions d’années d’évolution qu’aucun spasme ovarien, même le plus hystérique, ne pourra abolir.
D’autre part, les femmes n’ont jamais cru en « l’égalité ». Elles croient en la tyrannie vaginocratique qui leur permettra de diriger sans avoir les qualités et les mérites pour diriger.
En d’autres termes, c’est de la resquille.
Pourquoi les femmes veulent-elles diriger, envers et contre tout ? Pour une seule raison : libérer totalement leur hypergamie.
C’est là que l’impossibilité du féminisme éclate au grand jour.
Une femme veut accéder aux meilleurs partis masculins, mais pour maximaliser cet accès, elle fait tout pour détruire la position des meilleurs partis masculins. C’est pourquoi plus le féminisme progresse dans la société, plus les femmes deviennent frustrées sexuellement face à la raréfaction des mâles de valeur, c’est-à-dire des mâles qui veulent et peuvent les dominer.
Le féminisme alimente le féminisme qui finit par détruire totalement l’ordre social et la civilisation elle-même.
Tout cela n’arriverait pas si les hommes blancs n’étaient pas féministes au motif que les femmes blanches leur ordonnent de l’être.
L’utilisation du ressentiment féministe par l’Etat lui sert à justifier sa prise de contrôle complète de toute entreprise de plus de 1,000 salariés.
Ces femmes artificiellement promues dans la direction des entreprises auront parfaitement conscience de ne devoir leur place qu’à la toute puissance de l’Etat et elles serviront systématiquement ses intérêts et orientations en échange de cette promotion canapé soviétique.
Grâce au moteur de la jalousie féminine ainsi qu’au conformisme des femmes, l’Etat va disposer d’une véritable armée de commissaires politiques pour appliquer le Great Reset et son programme bolchevique de diversification raciale interne et de dogmatisme climato-sanitaire.
Les entreprises françaises sont finies
Il faut bien mesurer les conséquences de cette décision prise par les parasites politiques du parlement qui n’ont aucune idée de ce qu’est une entreprise, eux qui ont passé leur vie à brûler le fruit du travail des autres.
Ces entreprises seront rapidement paralysées par l’inefficacité et le vice des femmes. Et c’est encore un euphémisme.
Les femmes, effrayées à l’idée de voir une réaction masculine blanche contester la légitimité de leur nouvelle position dominante, ouvriront immédiatement un front racial interne en recrutant des mâles de couleur qui leur devront leurs propres positions au sein de l’entreprise. Cette compétition raciale organisée par les femmes pour obtenir leurs faveurs aura pour but de tenir en échec des hommes blancs.
Les décisions cruciales, dont dépendront la vie et la mort des grandes entreprises, seront soumises aux désidératas de pies idiotes, certes incapables de penser stratégiquement mais toutes puissantes statutairement et légalement.
Elles péroreront sur des peccadilles pour attirer l’attention, coucheront avec tout ce qui bouge pour fortifier leurs positions internes, se livreront à des querelles féroces avec les autres femmes dans leurs luttes de pouvoir incessantes et monteront des affaires bidon d’agression sexuelle à chaque fois qu’elles ne parviendront pas à obtenir ce qu’elles veulent.
Toute la chaîne de commandement sera progressivement paralysée.
Pour mener à bien cet agenda fémo-marxiste, les garces de la magistrature leur serviront de relais pour semer la terreur dans toutes les entreprises.
D’ici dix à quinze ans, la direction d’une entreprise française sera un safe space digne de Tolbiac avec tout ce qu’il faut de femmes flics formées à toutes les subtilités wokistes susceptibles de leur donner droit de vie ou de mort sur un cadre masculin.
Cette politique va aboutir à la destruction finale des entreprises françaises.
Les boîtes françaises qui le pourront, fuiront vers des pays libres de ce genre de mesures fémo-marxistes.
La fuite des talents masculins va considérablement s’aggraver. Pour chaque traînée artificiellement imposée dans une direction d’entreprise, un homme compétent sera sur la touche. Tous les hommes qui ont naturellement vocation à diriger de telles entreprises s’en iront dans d’autres pays où leurs compétences sont très recherchées. Ceux qui ne le pourront pas grossiront les rangs révolutionnaires des talents privés de leur place naturelle dans la société.
Quand on sait que la France est déjà en phase de désindustrialisation terminale, cette révolution vaginale dans les centres de commandement des entreprises va être le dernier clou dans le cercueil.
Les femmes peuvent penser la fabrication de bijoux décorées au feutre, pas organiser l’économie lourde.
Le désastre économique, déjà acté financièrement, est inévitable techniquement faute de cadres pour assurer un fonctionnement rationnel minimal de l’appareil productif.
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