Captain Harlock
Démocratie Participative
08 mai 2018
Le 8 mai 1945 marque la fin d’une bataille mais certainement pas la fin de la guerre contre l’Europe et l’Occident blanc, loin s’en faut.
Laissons parler l’ennemi des peuples qui nous le rappelle mieux que quiconque.
A la veille du 8 mai, jour célébrant la victoire de 1945 contre l’Allemagne nazie, les époux Klarsfeld et leur fils, Arno, déplorent la situation politique en Europe.
« Aujourd’hui, les pulsions nationalistes, antisémites et xénophobes s’intensifient. » Dans un texte publié dans Le Figaro lundi 7 mai, Serge, Beate et leur fils Arno Klarsfeld alertent sur la situation en Europe. A la veille du 8 mai, jour célébrant la victoire de 1945 contre l’Allemagne nazie et la fin de la Seconde Guerre mondiale, ces combattants pour la mémoire de la Shoah déplorent : « L’extrême droite a fait irruption en Allemagne, reste puissante en France, en Belgique, aux Pays-Bas et progresse dans les autres pays de l’Union européenne. »
Au nom de l’association Fils et filles de déportés juifs de France, les trois signataires s’inquiètent d’une Europe qui serait « une forteresse friable repliée sur des valeurs de peur et de haine » en cas de victoire de l’extrême droite aux prochaines élections, ce qui « [empêcherait] l’intégration des populations issues de l’immigration et [pousserait] les Juifs à quitter l’Europe« .
La famille Klarsfeld appelle ainsi « le peuple français » à « réagir et montrer l’exemple ». « Il faut que les citoyens s’engagent et soutiennent le renouveau de la France et participent à un nouvel élan européen. »
Le crime est revendiqué.
Figaro du 7 mai 2018 pic.twitter.com/rS34TxQ7GH
— arno klarsfeld (@arnoklarsfeld) 6 mai 2018
La juiverie déclare solennellement que la France sous son emprise sera son réservoir d’auxiliaires pour mener la guerre à une Europe entrée en résistance contre la submersion raciale qu’elle connaît.
Ce n’est pas une affabulation, une divagation, mais le slogan des juifs, comme vous avez pu le lire vous-mêmes ci-dessus.
Pour la juiverie organisée, l’invasion africaine et islamique est une condition essentielle pour le maintien de sa domination continentale. Ce sont ses nouveaux supplétifs en charge de semer le chaos et la dévastation au sein des pays où la tyrannie juive a sorti le peuple de sa torpeur.
Toute résistance européenne victorieuse face à cette invasion aboutirait à la chute de la juiverie. C’est la conclusion des juifs eux-mêmes.
Soulignons l’incroyable impudence de cette race maudite qui n’hésite à proclamer que seul le sort de cette racaille détermine quelle politique est valide pour l’Europe et qu’en conséquence, la question n’est pas de savoir si cette invasion apocalyptique ruine les vies de millions d’Européens mais si elle remet en cause la victoire juive de 1945, les intérêts juifs.
Il n’y a pas plus dénués de scrupules que ces juifs.
Une fois que nous avons ces aveux complets devant les yeux, nous pouvons méditer sur l’engagement de ceux qui ont vu juste à partir de 1940.
Nos héros ont hélas dû affronter les persécutions, les insultes et la proscription.
Nous pouvons également méditer sur cette fameuse « victoire » de 1945 qui n’est que la défaite de l’intégralité de l’Europe. Il suffit d’y songer : l’empire britannique a été démantelé tout comme l’empire français que l’on prétendait sauver, la Russie saignée à blanc par le communisme lutte pour sa survie démographique tandis que les USA seront, d’ici 20 ans, à majorité non-blanche.
Peu importe la façon dont le bilan est réalisé, la Seconde Guerre Mondiale déclenchée par les juifs a été un désastre pour tous les belligérants. Et la sauvagerie d’inspiration hébraïque se déchaîne comme jamais.
Il est strictement impossible de comprendre la situation actuelle, surtout au bord d’une nouvelle guerre mondiale au Moyen-Orient à l’instigation des juifs, sans faire le procès de cette Seconde Guerre Mondiale d’esprit sémitique.
Une guerre dont la sauvagerie est à mettre au compte des juifs contrôlant l’URSS et de leurs associés à la tête des USA ultracapitalistes. Ces démons, échappés de l’enfer, ont montré leurs visages à cette occasion.
La fable démocratique, mensonge juif par excellence, se désagrège sous nos yeux : elle troque de plus en plus les artifices de la séduction hédoniste pour le terrorisme d’état, c’est-à-dire la face bolchevique de la médaille juive.
Pour l’empire juif qui domine l’Occident, la crise est manifeste et il ne le nie plus. Il énonce désormais les méthodes d’urgence à adopter pour conjurer la catastrophe finale.
D’une défaite complète peut jaillir le triomphe complet, comme l’Allemagne l’a démontré après 1918. Triomphe qui n’a été stoppé que par la coalition la plus formidable jamais assemblée afin de détruire un état qui n’en était qu’à sa sixième année de révolution sociale.
Hier, comme aujourd’hui, la banque juive est en danger. Mais cette fois-ci, les progrès de la conscience humaine face à la prédation juive ont considérablement progressé. Il est évident que l’ennemi des peuples est démasqué et va, une dernière fois, tenter le tout pour le tout.
Mais ses chances de succès sont nulles.