Pour expliquer aux Blancs pourquoi leurs anciens sont morts dans les tranchées, les juifs exhibent une négresse sous l’Arc de Triomphe

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 novembre 2018

 

Pour commémorer le centenaire de la « fin » de la Grande Guerre, la république judéo-mulâtre a revendiqué le but final de cette guerre initiée par la finance juive anglo-américaine : l’anéantissement de la race blanche en Europe.

A titre purement indicatif, on peut se référer à l’article de Bernard Lugan sur cette histoire de tirailleurs nègres et maghrébins qui auraient sauvé la France du péril blond.

Il s’agit d’une escroquerie créée de toutes pièces par la presse juive et les marxistes pour charger un peu plus l’acte d’accusation de la race blanche en France et exciter la fierté raciale allogène.

On ne peut cependant ignorer le fait que la mécanique négrificatrice a bel et bien commencé en 1914 à l’instigation de cet empire multiracial républicain instrumentalisé par la finance juive.

Les causes juives de la guerre

Il est impossible de comprendre notre situation présente sans connaître les origines de la Deuxième Guerre Mondiale, guerre qui n’est que le prolongement de la Première.

Pour cela, on doit se référer à l’ouvrage de Gerry Docherty et Jim MacGregor, L’histoire occultée : Les origines secrètes de la Première Mondiale ainsi que leur second ouvrage Prolonger l’agonie. MacGregor n’est pas un illuminé, il a eu accès aux archives privées du cercle secret des 7 grands oligarques de Grande-Bretagne et d’Amérique qui ont soigneusement planifié la guerre et l’intervention américaine de 1917.

Parmi eux, Lionel Rothschild, chef du cartel bancaire du même nom.

Si vous comprenez l’anglais, dans cette vidéo Gerry Docherty explique comment la finance anglo-américaine s’assura, à partir de 1914, que l’Allemagne reçoive suffisamment de vivres pour que la guerre se prolonge pendant des années et anéantisse ainsi la totalité des belligérants : Français, Allemands, Russes.

La guerre aurait dû prendre fin dès le début de 1915. Tout le plan allemand reposait sur une victoire éclair car faute de ressources suffisantes pour tenir un conflit prolongé face aux empires internationaux de l’Entente, l’Allemagne ne pouvait pas l’emporter. Mais la finance internationale anglo-américaine s’assura que la la lutte dure trois années de plus en ravitaillant l’Allemagne.

L’Allemagne barrait la route à la juiverie anglo-américaine et à ses projets de conquête du continent. Elle avait donc été éliminée en faisant d’une pierre deux coups : l’affaiblissement radical de la France après quatre années de guerre et la chute de la Russie orthodoxe.

Une fois l’Europe saignée à blanc humainement et financièrement, elle était censée être prise en étau entre l’Amérique sous contrôle juif d’une part et la Russie bolchevisée avec l’aide de la finance judéo-new yorkaise de l’autre.

Dès 1919, un homme – Adolf Hitler – avait vu avec stupéfaction des hordes d’agitateurs bolcheviques juifs semer le chaos dans les rues de Munich tandis que le pays était livré à l’anarchie, à la ruine économique et à l’occupation. Une démocratie bancaire était installée par les Alliés, scénario qui sera réédité après 1945.

La juiverie, dans le même temps, avait obtenu deux victoires cruciales : la révolution marxiste menée par ses hommes en Russie et la Déclaration Balfour, feu vert obtenu par Rothschild auprès des Britanniques pour la création d’un quartier général juif en Palestine.

Malheureusement, depuis, rien n’a changé.

La France sous occupation juive devient une république islamo-mulâtre dont la fonction est d’empêcher toute émancipation de l’Europe de la main mise financière juive.

Et les projets récents d’armée européenne de Macron ne s’expliquent que par le désengagement voulu par Trump qui veut rompre avec un siècle d’interventionnisme juif en Europe et ailleurs. Il ne s’agit pas d’avoir une armée européenne mais une armée juive chargée de veiller à ce qu’aucune révolution n’emporte le système d’exploitation financier hébraïque qu’est l’UE.

Louis-Ferdinand avait bien résumé l’affaire dans Bagatelles pour un Massacre :

« Savez-vous pourquoi les Juifs, pendant la grande hécatombe de 14‑18, ne comptèrent que 1 350 tués ? Je sais vous affranchir : parce que le Juif Abrahami, dit Abrami, sujet turc, originaire du ghetto de Constantinople fut, durant toutes les hostilités Sous-Secrétaire d’État aux effectifs – c’est simple –. Il fut amplement secondé par le juif Rheims, colonel-directeur du Recrutement de la Seine. Ainsi soit-il.

Ce n’est pas tout ! Savez-vous pourquoi notre Justice Militaire, jusqu’au dernier jour de la guerre, se montra toujours si implacable sur la répression farouche envers le simple soldat français ? Parce que la Justice Militaire était sous les ordres de M. Isaac Israël, revanche Dreyfus, Sous-Secrétaire d’État aux Basses oeuvres, tout simplement, avec Mandel-Joroboam Rothschild, fils du véritable roi de France, comme dictateur effectif auprès du pantin Clemenceau. Admirable distribution du travail. Général Mordacq, Juif, directeur du Grand-Quartier. Voilà l’abattoir aryen au complet… Et pour le Registre des Réclamations !!!

Ne quittons pas sitôt la guerre. Savez-vous que toutes les guerres, et pas seulement la dernière, sont préméditées par les Juifs, réglées par eux longtemps d’avance, comme papier à musique ?  

Tout cela pue le juif, intégralement.

Ce que nous célébrons, contre notre gré, c’est un siècle de victoire financière juive.

Face à cela, exactement comme l’Allemagne en 1919, il n’y a que l’option du racisme et du combat implacable contre le pouvoir juif.