Captain Harlock
Démocratie Participative
12 septembre 2019
En France, les raéliens du marxisme universitaire sont plus que jamais occupés à fomenter des lynchages publics.
Le dernier en date faisant suite à l’usage des mots « caucasien » et « africain ».
Depuis quand « caucasien » et « africains » sont-ils des « groupes d’appartenance » ?
Que fait cet usage de catégories pseudo-scientifiques, directement issues de l’anthropologie racialiste du XIXe siècle, dans la formation des futurs enseignants à l’@ESPE_Paris ? https://t.co/cGMzMpy2qx— Dr Xanax-Cucufa La Guerrière de Cucugnan (@kinkybambou) September 4, 2019
Pendant que les doctrinaires de la casuistique néo-communiste enculent furieusement les mouches à Paris-sur-Congo, les chercheurs américains préfèrent dresser scientifiquement l’évolution raciale des États-Unis.
C’est autrement plus utile.
Axios :
L’Amérique est plus diversifiée sur le plan racial qu’à aucun autre moment de l’histoire, et les minorités raciales sont de plus en plus dispersées géographiquement.
Pourquoi c’est important : Même avant le début du recensement de 2020, les données démographiques récentes indiquent clairement que l’accroissement rapide de la diversité sera le thème dominant de l’évolution démographique de ce siècle.
Qu’est-ce qui se passe : À l’échelle nationale, les Hispaniques et les Américains d’origine asiatique sont les groupes raciaux minoritaires qui connaissent la croissance la plus rapide, augmentant de 18,6 % et 27,4 %, respectivement, entre 2010 et 2018, selon une analyse du démographe de la Brookings Institution, Bill Frey, dont le livre « Diversity Explosion » de 2018 décrit l’avenir majoritaire-minoritaire de ce pays.
Ils quittent les grandes régions métropolitaines qui ont toujours été populaires auprès des immigrants (New York, Los Angeles et San Francisco) pour s’installer dans les petites villes du pays, y compris dans le Midwest et le Nord-Est.
Les Noirs américains reviennent dans le Sud, Atlanta, Charlotte, Orlando et Dallas enregistrent des gains importants depuis 2010. Phoenix, Las Vegas et Seattle ont également enregistré une croissance substantielle de leur population noire.
Pendant ce temps : La population blanche du pays n’a augmenté que de 0,1 % depuis 2010 et devrait diminuer au cours de la prochaine décennie.
La carte ci-dessus semble comporter de vastes zones « blanches » où les minorités raciales ne sont pas très représentées. Mais ce sont de petites zones moins peuplées où la population blanche stagne, selon l’analyse de Frey.
Depuis 2010, 96 % de tous les comtés des États-Unis ont connu une baisse de la proportion de la population blanche – et cette baisse ne sera probablement pas compensée par l’immigration blanche en provenance d’autres pays ou par l’augmentation du taux de natalité aux États-Unis à l’avenir.
« Au cours des cinq ou six prochaines années, nous allons assister à un déclin réel de la population blanche« , a déclaré Frey à Axios, soulignant la diminution de la part de la population blanche depuis 2000 parmi les enfants âgés de moins de 18 ans. « D’ici une dizaine d’années, la population d’une vingtaine d’années deviendra une minorité blanche. Ça se passe de bas en haut de la pyramide des âges. »
Entre les lignes : La part décroissante de la population blanche dans le gâteau de la population est largement blâmée pour la montée de l’extrémisme nationaliste blanc et du sentiment anti-immigrant. Mais les données démographiques montrent aussi que la diversité et l’immigration sont essentielles à la croissance économique future des États-Unis.
L’essentiel : L’évolution rapide de la composition raciale du pays révèle un fossé culturel grandissant entre les générations.
« Les baby-boomers ont grandi à une époque où l’Amérique était majoritairement blanche et où la plus grande minorité raciale était composée d’Afro-Américains qui étaient encore majoritairement ségrégués, a fait remarquer Frey. « Les millénaires et les post-millennaires sont beaucoup plus ouverts à la diversité et à l’intégration. »
Aux USA, l’université, en dépit de sa sémitisation et sa libanisation raciale, conserve une forte tendance au réalisme anglo-saxon qui permet la production d’études factuelles très détaillées.
Dans la France républicaine où le communisme réel est la religion d’état, le rôle de ce que l’on appelle « l’université » est de formater la pensée des individus pour en faire les serviteurs dociles de l’État et de ses mandarins.
Le produit final en est sensiblement modifié.
D’un côté, les universités américaines produisent des données très utiles. De l’autre, vous devez écouter divaguer des paranoïaques.
L’échec du jacobinisme
Les tenants du monothéisme racial qui contrôlent l’appareil d’état français lutteront jusqu’au bout pour empêcher toute sécession intellectuelle. Ce qui suppose de censurer la moindre information sur le bouleversement racial en cours et l’inévitable balkanisation de la France qui en découlera.
Du coup, nous ne savons qu’imparfaitement ce qui se passe même si nous savons que les Blancs seront minoritaires aux alentours de 2050 ou 2060 en France.
Le fédéralisme américain et les grands espaces de l’Amérique permettront une assez grande flexibilité dans la gestion politique de cette hétérogénéité raciale grandissante. En France, l’état unitaire et son monisme antiraciste, de par sa propension au dogmatisme et au centralisme, devrait générer de violentes secousses, faute de marges de manœuvre.
Le « tout ou rien » est un trait récurrent de la pensée politique française et se conclut toujours, pour la France, par des désastres, faute de moyens pour aller au bout de cet unilatéralisme.
En plus, la France n’a tout simplement pas de cadres pour penser la révolution démographique actuelle ou ses conséquences. Elle n’a que des religieux qui agitent des moulins à prières.
J’en profite pour souligner à quel point ce délire gauchiste au sujet du mot « caucasien » ou « africain » est révélateur : l’antiracisme comme négation des différences raciales est un truc spécifiquement français.
Allez dire à des nègres que la race noire n’existe pas, vous verrez comment les choses tourneront.
Les nègres passent leur vie à hurler leur race sur tous les toits. C’est le seul et unique sujet dont ils parlent jamais.
Mon prochain livre, « Mes étoiles blanches, de Cro Magnon à Adolf Hitler »
Les gauchistes blancs hexagonaux sont les fils illégitimes de l’ère coloniale et de la monarchie catholique : pour ces fils de la bourgeoisie d’état, nier et délégitimer les frontières raciales est le moyen hypocrite de maintenir leur suprématie morale et matérielle sur les groupes raciaux extra-européens en voie de constitution sur le sol français.
Pour sauver la peau de leur état, les bonzes de la bureaucratie sont prêts à faire de la France un nouveau Congo. Quand ils parlent de « France », ils ne songent qu’à leurs palais administratifs, à leurs prérogatives et au pognon qu’ils peuvent soustraire aux serfs sous couvert de « civisme ».
Il suffit d’invoquer « les valeurs de la république » – c’est-à-dire le Saint Esprit des loges – pour décréter d’hérésie et de séparatisme n’importe quel contestataire.
Et la tentation est de plus en plus grande de dresser les métèques au régime républicain.
Ils appellent ça la mise au pas de « l’indigénisme », en référence à Bouteldja.
Pourquoi l’antiracisme devient-il raciste (« communautariste », « identitaire », « indigéniste ») quand il traverse l’Atlantique et jette son ancre dans l’Hexagone ? J’analyse l’affaire #LilianThuram à la lumière de #JamesBaldwin, qui lui aussi disait et pensait « les blancs ». https://t.co/q2AkCG1DH5
— Julien Suaudeau (@juliensuaudeau) September 6, 2019
Pour ces gens-là, l’État est un empire socialiste qui doit réaliser le communisme racial dans un seul pays grâce à l’abâtardissement biologique des masses.
Il s’agit plus prosaïquement pour eux de conserver le pouvoir en écrasant les oppositions potentielles.
Cependant, le jacobinisme unitaire n’a aucune chance de vaincre face au bloc racial afro-islamique, toujours plus pléthorique.
Nous le voyons déjà défaillir partout.
Tant mieux : cet état en crèvera d’autant plus vite, faute de pouvoir penser la réalité.
C’est ce qui explique d’ailleurs l’effondrement du système judiciaire : il n’a pas été conçu pour gendarmer des nègres sortis des forêts épaisses du Congo ni des moudjahidines.
Avec le dogme rousseauiste qui place la responsabilité du crime sur la société, l’État est totalement incapable de comprendre la nature du crime dans la France racialement balkanisée du 21ème siècle. Penser le Quotient Intellectuel et les déterminismes génétiques qui le conditionnent relève de la révolution copernicienne en France.
Et tout fonctionne ainsi : école, etc..
La tribalisation culturelle, l’éclatement géographique en zones ethniques, l’émergence de contestations radicales comme l’islamisme, l’effondrement de toutes les institutions sous le poids de l’immigration non-aryenne, tout cela est le fait d’un état contrôlé par des religieux qui sont déterminés à incendier le pays plutôt que d’avouer l’absurdité du fondement de leur religion.
Pour eux, chaque mention du mot « race » est un nouveau coup de fouet sur des plaies déjà béantes.
La mort raciale de la démocratie
Dans tout ça, ce qui va rendre les choses inévitablement violentes est la démocratie. Quand il apparaîtra évident que la race prédétermine le vote, tout le monde comprendra que les élections seront devenues inutiles puisqu’un simple tableau de la composition raciale de la population permettra de donner les résultats à l’avance.
Les élections n’ont lieu d’être que pour corriger la représentation politique suite à un changement de l’opinion. Dans cette nouvelle configuration, l’opinion ne changera plus puisque les nègres voteront nègre, les musulmans voteront musulman et les Blancs voteront blanc.
On gardera les étiquettes « droite/gauche » pour la forme et par habitude, mais les élections seront devenues superflues.
Et si les élections deviennent superflues, la démocratie devient superflue.
Tôt ou tard, les Blancs seront contraints de penser en groupe dans un système démocratique où la mathématique électorale sera réductible à la composition raciale de l’électorat.
Quand plus aucun groupe racial ne tolérera qu’un autre groupe utilise le système démocratique pour défendre ses intérêts contre ceux des autres, la lutte ouverte et violente pour la conquête exclusive de l’État adviendra. L’État, une fois conquis, sera le moyen d’asseoir la volonté d’un groupe sur les autres.
C’est pourquoi plus tôt nous en finirons avec l’imposture démocratique, mieux cela vaudra.
Nous devons adopter une posture révolutionnaire et arrêter de nourrir cette fiction. L’acharnement thérapeutique sur ce sidaïque à l’agonie est une perte d’énergie qui rend suspect celui qui s’y livre.
Notre objectif, au 21ème siècle, est clair et non-négociable : la dictature blanche.
Sa morale est le droit à la vie de l’humanité blanche. Son droit est le devoir pour les Blancs, partout où ils vivent, d’exercer souverainement le pouvoir pour eux et par eux, à l’exclusion des autres.
Tout ce qui empêche l’avènement de la dictature blanche est à détruire, tout ce qui nous en rapproche est à saisir.