Captain Harlock
Démocratie Participative
28 mai 2019
Un article de La Croix sur le vote des Catholiques a suscité un certain intérêt dans nos milieux en raison du survote des pratiquants en faveur de Macron.
La Croix :
Emmanuel Macron peut dire merci aux catholiques pratiquants. Selon un sondage Ifop pour La Croix, 37 % d’entre eux ont voté pour la liste Renaissance. Un chiffre qui monte à 43 % chez les pratiquants réguliers.
Ce résultat – très supérieur à celui de l’ensemble des électeurs – est, selon Jérôme Fourquet, directeur Opinion et stratégie de l’Ifop, une des clés du score « honorable » du 26 mai, pour reprendre l’expression de l’Élysée. « La principale leçon de cette élection est qu’Emmanuel Macron a perdu des voix venues de la gauche qui sont parties chez les écologistes. Il les a compensées par des électeurs de droite parmi lesquels nombre de catholiques pratiquants », analyse ce spécialiste de l’opinion.
La forte mobilisation de l’électorat catholique se vérifie à chaque scrutin, mais plus encore aux Européennes où l’écart se creuse avec le reste de la population. En 2014, 61 % des pratiquants avaient pris part au vote contre 42 % pour l’ensemble des Français. Ils ont été, ce 26 mai, 78 % à le faire, soit près de trente points de plus que la moyenne.
Chez les pratiquants réguliers, le taux de participation monte même à 84 %, un niveau quasi identique à celui de la présidentielle de 2017. « Cet électorat plus diplômé et âgé que la moyenne est traditionnellement attaché à la construction européenne dans laquelle la démocratie chrétienne a pris une part déterminante », décrypte Jérôme Fourquet.
A Démocratie Participative, on ne peut pas dire que nous brillons par une bienveillance particulière vis-à-vis de Bergoglio ou de ses évêques homosexuels. Ceci dit, je crois que le seul facteur religieux ne permet pas de comprendre ce vote catholique.
D’une manière générale, il est un fait bien établi que n’importe qui peut faire dire n’importe quoi à un texte écrit il y a deux ou trois millénaires. Ce que je veux dire, c’est que ce n’est pas en lisant les évangiles que l’on se met à voter en faveur de Macron plutôt que pour Mélenchon ou Glucksmann. Il faut chercher ailleurs l’explication.
Ces Catholiques pratiquants sont en fait des Boomers anti-nazis qui vivent dans un autre siècle.
Ce truc est générationnel.
Passé un certain âge, il n’y a plus de mise-à-jour disponible.
Les gens qui persistent à encore aller à la messe sont essentiellement des Boomers, ce qui explique cette hyper concentration de boomisme mental dans les églises.
Nous avons ces vieux machins cacochymes qui guettent l’arrivée des panzers depuis leurs fenêtres et qui ont entendu Macron appeler à sauver la « paix » comme s’il s’agissait de Daladier en 1938. Ils ont donc voté en masse pour ce type qui garantit le statu quo de 1945.
Le blé
Il y a aussi un autre critère majeur : ces vieux sont gavés de fric.
Ils sont assis sur des patrimoines et des rentes constitués grâce à la mise en coupe réglée du continent par la finance juive et les communistes après 1945. Toute remise en cause de l’architecture du système, notamment au sujet des dettes que ces brigands ont accumulé et que les jeunes sont censés rembourser, les plonge dans une angoisse profonde.
Quand on dit à ces gens, « grâce à l’UE, nous avons eu 75 ans de paix », ils pensent à leurs comptes en banque qu’ils ont pu garnir toutes ces années sans aucune anicroche.
Du coup, ils nous observent derrière leurs rideaux, comme des araignées tapies dans l’ombre. Ils se demandent avec inquiétude si nous allons les repérer et les foutre en l’air.
Sur ce arrive Macron, le gendre idéal qui dit à ces vieux machins qu’il va nous faire casquer ad vitam aeternam. Soupir de soulagement général.
Pour qui Diable voteraient ces Boomers dans de telles conditions ?
Ils comptent bien aider la banque juive à nous détrousser pour financer leurs retraites.
Cette histoire de croix, c’est une coquetterie que ces hypocrites ajoutent à l’énorme bite de nègre qu’ils veulent nous mettre dans le cul pour le salut de leurs pensions.
Le sondage est à cet égard éclairant. Interrogés sur les sujets qui ont déterminé leur choix (terrorisme, santé, immigration…), les électeurs catholiques sont sensiblement au diapason du reste de la société. Sauf pour deux thèmes : « la construction européenne » et la « politique étrangère ». Ils ont été « déterminants » pour respectivement 65 % et 54 % des catholiques pratiquants, contre « seulement » 51 % et 41 % pour l’ensemble des Français. « Le civisme des catholiques pratiquants se manifeste à la fois par leur mobilisation et par la bonne perception des enjeux du scrutin », analyse Jérôme Fourquet.
Personne ne vote pour la « politique étrangère ».
On a fait toutes les guerres juives possible ces 20 dernières années, aucun électeur n’a jamais voté pour que ça cesse.
Tout ça, c’est de l’enfumage.
Ils votent pour leurs sous. Tout le monde vote pour ses sous. C’est la définition même de la démocratie juive.
En faisant de cette élection la « plus importante depuis 1979 », en opposant son projet à celui des nationalistes souverainistes, le président semble les avoir convaincus. Sur la scène intérieure, la ferme gestion des manifestations des gilets jaunes a par ailleurs rassuré un électorat soucieux d’ordre. Son volontarisme pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris a sans doute réconforté une communauté qui craint son effacement.
Ha ! « L’ordre ».
Ils saloperont tous les mots.
Parlons-en un peu de leur « ordre » juif.
Je suis certainement un partisan de l’ordre mais pas de celui qui consiste à éclater des têtes de prolétaires parce qu’il faut que la rue soit calme à midi.
Y’a-t-il plus con et dépourvu d’imagination qu’un bourgeois ? Plus bassement vénal ? Impossible.
Même le juif est plus original que cette épaisse couche de graisse sédimentée qu’on appelle la bourgeoisie catholique.
Ces vieux possédants accrochés au banquier juif comme le lierre à un mur, ils sont prêts à déployer des divisions entières de CRS pour le sauver.
À l’inverse, Marine Le Pen ne fait pas recette, avec seulement 14 % chez les catholiques pratiquants. Lors de la présidentielle de 2017, ils étaient 15 % à avoir fait ce choix. Mais le score montait à 38 % au second tour, montrant très clairement qu’elle bénéficiait du report d’une partie des voix de François Fillon. Si l’on additionne cette année le résultat de la liste RN à celle des Républicains, on obtient 36 % chez les pratiquants. Soit le même gros tiers de ces catholiques qui forment un bloc politique conservateur.
Formidable. Les deux tiers votent Macron.
L’autre enseignement du sondage est l’échec de François-Xavier Bellamy qui n’a pas percé dans cet électorat. Seulement 12 % des pratiquants disent avoir voté pour celui qui participa à la création de Sens commun, émanation politique de la Manif pour Tous. La carte électorale montre que des terres de forte identité catholique comme la Mayenne ont placé largement devant sa liste celle de Nathalie Loiseau. Une contre-performance qui relativise la réalité d’un vote communautaire.
« Il ne suffit pas d’avoir un candidat à l’étiquette catholique. Ce qui détermine le choix ce sont des valeurs fortes, en l’occurrence la défense de l’Europe », résume Jérôme Fourquet.
Effectivement, ces Boomers votent pour des valeurs fortes, à commencer par celles qu’ils ont en bourse.
Ce truc démontre jusqu’à l’absurde que ces bourgeois catholiques votent en fonction de leur portefeuille et qu’ils n’ont aucun problème à voter pour Macron si c’est lui qui est le mieux placé pour garantir l’intégrité de leur patrimoine.
Cela n’a rien de nouveau d’ailleurs, avant ils votaient pour l’UMP, le parti de l’avorteuse juive Simone Weil.