Captain Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2019
Il pensait avoir épousé une princesse.
Quand il l’a embrassée, elle s’est transformée en crapaud.
Dan Jones a été arrêté en 2014 pour viol envers son ex-femme. Il purgera de la prison avant qu’une photo ne le déculpabilise et mette en lumière les mensonges de son ex-compagne.
En 2011, Sarah Parkinson et Dan Jones, deux Australiens qui se fréquentent depuis quelques mois, officialisent leurs fiançailles. Le couple se marie et vit une vie paisible jusqu’en 2013, année durant laquelle les deux tourtereaux se séparent. A l’époque, Mr Jones suspecte son ex-femme d’entretenir une relation avec un policier qui est également son collègue de travail, rapporte l’émission 60 Minutes.
De son côté, Mme Parkinson explique depuis son divorce à ses collègues avoir été victime de violence conjugale. Pour appuyer ses dires, elle écrit même un (faux) journal intime dans lequel elle notait les châtiments qu’elle subissait. Des accusations qui mèneront, en décembre 2013, à l’arrestation de Dan Jones pour violence domestique et un viol. Il sera finalement condamné et envoyé en prison en mars 2014.
C’est grâce à une photo publiée par sa soeur que Mr Jones sera disculpé. Dans ce cliché daté, on le voit avec son neveu au moment du viol présumé. Une preuve qui ne suffira pas à le sortir de prison mais qui a éveillé l’intérêt d’une enquêtrice. Cette dernière s’intéressera aux différentes histoires racontées par Sarah Parkinson. Très vite, elle découvre qu’il s’agit en réalité d’un tissu de mensonge destiné à envoyer son ex-compagnon en prison. Après quatre mois et demi d’enquête et plusieurs preuves accablantes, Dan Jones sera finalement libéré.
Une libération qui ne déstabilisera pas Sarah Parkinson qui niera les faits pendant plusieurs années, avant de finalement plaider coupable devant un tribunal australien. Elle vient d’ailleurs d’être condamnée à trois ans et un mois de prison, avec minimum deux années effectives derrière les barreaux. Un soulagement pour la victime. « J’ai rencontré cette fille qui est passée d’une jeune femme innocente à ce monstre de préméditation capable de proférer tous ces mensonges contre moi (…). Elle m’est devenue totalement étrangère. »
Aucun état digne de ce nom ne devrait admettre, sous quelque prétexte que ce soit, de plainte pour « viol » de la part d’une épouse contre son mari.
Jusqu’en 1980, cette idée juive de « viol entre époux » était inexistante en droit français.
Les traînées ont très vite compris que les accusations de viol suffisaient à détruire, dans cette vaginocratie juive, n’importe quel homme. Et surtout celui qui était tombé entre leurs griffes.
Elles peuvent ainsi les déposséder de tous leurs biens avant de les détruire socialement en les traînant dans la boue puis de finalement les faire jeter en taule.
Les exemples sont légions.
Encore une fois : la Charia Blanche est la seule option pour notre avenir collectif. Les femmes zombifiées par l’ingénierie sociale juive sont en train de détruire la société parce que les mâles refusent de les tenir et de les assigner au foyer où se trouve leur place.