La rédaction
Démocratie Participative
01 septembre 2022
Je suis tellement fier de Gilles.
Il a adopté sa forme finale.
A l’occasion de ses épousailles au Sénégal avec Fatou, Gilles Verdez change son prénom et s’appelle désormais Souleymane (source TPMP) 🦆🦆🦆 pic.twitter.com/hufFjJiDb1
— QUEEN🌿ⓩ🌿 (@QueenFrequenceZ) August 31, 2022
Ragez, les haineux.
Pour épouser une musulmane il faut être musulman parce que dans cette religion :
– L’homme domine la femme.
– L’islam ne peut pas être dominé.
Alors il s’est probablement converti à l’islam et à pris un prénom musulman pour cette raison.— Patrick YVARS 🇫🇷 Ⓜ️ (@YvarsPatrick) August 31, 2022
C’est factuellement factuel.
Un homme musulman peut épouser une non-musulmane, mais l’inverse n’est pas possible. La conversion doit intervenir et, idéalement, le converti doit adopter un nom islamique, gage de son adhésion à la foi du Prophète (عَلَيْهِ ٱلسَّلَامُ).
Encore une fois, l’islam prouve qu’en dépit des Arabes, ses bases opérationnelles élémentaires sont frappées au coin du bon sens. La science raciale nous enseigne que les valeurs culturelles auxquelles adhéreront les individus sont celles du père. Au Brésil, aussi foncés que soient les mulâtres, tous sont porteurs des chromosomes masculins des envahisseurs portugais. Comme le système colonial ibérique n’importait jamais les femmes dont les colons avaient besoin, contrairement à la colonisation britannique nord-américaine, les colons devaient se rabattre sur le matériau féminin à disposition : amérindiennes ou négresses.
Le résultat, certes hideux au Brésil, n’en demeure pas moins la démonstration de la permanence de la domination bio-culturelle des chromosomes Y dans un groupe. Toute la « culture brésilienne » est une excroissance – monstrueuse – de ce qu’a apporté le Portugal.
Le dieu des Catholiques est fort cruel avec ses enfants, en remerciement de leur appartenance au peuple des Évangiles, il les a frappé de la malédiction éternelle de la nuit génétique, laquelle n’est que souffrances, misère et cruauté
L’islam, par son expérience coloniale, sait parfaitement cela. Les hommes étrangers doivent donc capituler culturellement s’ils veulent recevoir des femmes musulmanes. Leurs enfants mâles, constatant leur soumission à l’islam, seront de fiers musulmans à leur tour.
Peut-on classer les négresses du Sénégal dans la catégorie des « femmes », d’évidence non, mais c’est un autre sujet.
Il y a une autre « recommandation », à défaut d’être obligatoire – et croyez bien que Souleymane y est passé, la circoncision.
Pas de pénis atrophié, pas de chatte sénégalaise, aussi simple que ça. La circoncision à l’âge adulte est, de l’avis de tous, particulièrement douloureuse.
Dans un contexte fronssé marqué par la dynamique culturelle de l’époque, avec d’un côté un islam dominateur, masculiniste, expansionniste, qui redonne un semblant de fierté masculine au dernier des boloss, et de l’autre le féminisme d’état et les jérémiades des prêtes homosexuels de Bergoglio, les lois de la vie ont déjà tranché.
Comme déjà dit et répété de très nombreuses fois, si les femmes blanches ne sont pas ramenées de force à la cuisine par les hommes blancs, l’islam patriarcal s’en chargera et deviendra la seule et unique force organisatrice de la future société multiraciale française. Aussi bordélique que soit l’islam, il peut organiser car il place l’homme à sa juste position. Une société féministe est par définition une société chaotique dépourvue d’avenir.
Les femmes ne font pas l’histoire, elles sont le principe passif de l’évolution. Les créateurs de destin sont par nature les hommes.
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