Captain Harlock
Démocratie Participative
04 mars 2021
Je trouve ça très poétique.
Le jour où Macron décide de prendre fait et cause pour le FLN algérien 60 ans après la guerre en pleurant sur l’élimination de l’avocat d’une bande d’égorgeurs par l’armée française, on découvre que c’est un blédard d’Algérie multirécidiviste qui a lynché le journaliste à Reims.
Photographe agressé à Reims: le suspect avait « déjà été condamné à 8 reprises entre 2018 et 2019 », selon le procureur pic.twitter.com/ojRylVJ9kb
— BFMTV (@BFMTV) March 3, 2021
Génial.
Guerre d’Algérie : Emmanuel Macron reconnaît que l’armée française a «torturé et assassiné» le militant Ali Boumendjel en 1957 https://t.co/DY6Ea94RCR
— CNEWS (@CNEWS) March 2, 2021
Il va sans dire que je salue ici la virile invitation à l’autocritique adressée aux journalistes de gauche (pléonasme) par le jeune Enes Saïd Kebeb dont je demande par ailleurs la libération immédiate et le retour en Algérie en classe affaires.
Peu importe qui fait l’œuvre de Dieu, il arrive que le Diable porte Pierre.
Plus généralement, les journalistes, bras armé de la presse juive, ne doivent se sentir en sécurité nulle part. Tout particulièrement dans les zones de peuplement afro-islamiques que ces ordures de plumitifs chérissent tant.
Nous devons arriver à un stade où plus aucun de ces terroristes à la botte des juifs ne pourra mettre un pied nulle part.
Les journalistes sont les ennemis du peuple, c’est tout ce qu’il faut savoir à leur sujet.