Portugal : percée des nationalistes conformes à la kashrout

La rédaction
Démocratie Participative
11 mars 2024

 

Au Portugal, Chega, un parti de droite nationaliste a opéré une percée.

Hélas, comme VOX en Espagne ou Reconquête en France, derrière une posture ultra-nationaliste se cache des positions outrancièrement pro-sionistes.

Cela fait 50 ans que le Portugal a vaincu la dictature fasciste de Salazar, et l’extrême droite a fait un retour en force lors des élections de cette année.

Le parti « Chega » s’est élevé sous la devise de Salazar : « Dieu, patrie et famille » en y ajoutant le « travail ». Son leader a fait le salut nazi.

Le leader de la Chega, Andre Ventura, nie avoir fait le salut, essayant de le présenter comme un symbole d’égalité avec ses partisans, mais la base de son parti est remplie de néo-nazis qui font régulièrement le geste lors de ses événements.

Ventura vénère la « reconquête » du Portugal par les croisés au XIIe siècle, au cours de laquelle les musulmans et les juifs ont été expulsés. Il qualifie son ascension de « nouvelle reconquête » et exige souvent des mesures de répression à l’encontre des musulmans, des Roms, de la communauté LBGTQ+ et des personnes de couleur, y compris ses pairs noirs au parlement.

En 2020, Ventura a écrit sur son facebook à propos de la députée noire de gauche Joacine Katar Moreira : « Je propose que la députée Joacine soit elle-même renvoyée dans son pays d’origine. Ce serait beaucoup mieux pour tout le monde ».

Voici quelques-unes des positions politiques de Chega & Ventura :

– Mettre fin au mariage gay
– Mettre fin au financement de l’égalité des sexes
– Criminaliser les demandeurs d’asile déboutés
– Impliquer que les Roms devraient être confinés dans des camps pendant la pandémie de COVID-19
– Islamophobie forcenée
– Déplacer l’ambassade du Portugal à Jérusalem

À l’évidence, un parti nationaliste portugais n’a aucune raison de se soucier de l’endroit où se situe la soi-disante capitale de l’état factice appelé « Israël ». S’il le fait, c’est pour adresser un message à la juiverie mondiale dans le but d’apaiser son courroux, voire d’en recevoir un appui plus ou moins tacite.

Les juifs n’aiment pas les Blancs qui veulent être les maîtres chez eux, et c’est particulièrement vrai dans la péninsule ibérique où ils ont gardé de mauvais souvenirs d’expériences passées.

On ne peut mener aucune révolution pro-blanche, ou même une politique de changement partielle, en commençant par faire acte d’allégeance à une puissance étrangère anti-aryenne, a fortiori s’il s’agit de l’entité juive en Palestine qui repose sur le mythe de l’holocauste, la religion anti-blanche du système qui organise le Grand Remplacement.

Aucune complaisance n’est possible face au juif. Il doit être dénoncé inlassablement comme force motrice du système à détruire les peuples blancs.

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