Captain Harlock
Démocratie Participative
10 avril 2021
Les juifs n’aiment pas la science historique.
Un professeur polonais qui a déclaré que les Juifs avaient pratiqué des « meurtres rituels » ne sera pas réprimandé parce que ses affirmations font l’objet d’un « discours scientifique », a déclaré l’université qui l’emploie.
Un comité d’éthique interne a décidé de ne pas prendre de mesures disciplinaires à l’encontre de Tadeusz Guz, prêtre et membre du corps enseignant de l’Université catholique de Lublin, pour la deuxième fois, après avoir examiné à nouveau des plaintes concernant un discours prononcé en 2018 à Varsovie.
« Nous savons, Mesdames et Messieurs, que les faits de meurtre rituel ne peuvent être effacés de l’histoire. Pourquoi ? Parce que nous, l’État polonais, avons dans nos archives, dans les documents qui ont survécu, des preuves étalées sur des siècles où les Juifs vivaient ensemble avec notre nation polonaise », a-t-il déclaré.
Le meurtre rituel était une accusation courante au Moyen Âge à l’égard des Juifs dans toute l’Europe. Ces libelles ont servi de prétexte à de multiples pogroms antisémites meurtriers.
Le Conseil polonais des chrétiens et des juifs, une organisation à but non lucratif qui promeut le dialogue, a demandé à l’université de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre de M. Guz, qui ne s’est pas excusé pour ses déclarations. Le comité d’éthique de l’université a décidé de ne pas sanctionner Guz, en invoquant notamment le fait que la conférence était extra-scolaire.
Le conseil a fait appel, ce qui a conduit à la décision de la semaine dernière par le comité, qui a déclaré que Guz « a simplement fait référence aux positions scientifiques sur cette question ».
Avant cette décision, un porte-parole de l’université a déclaré que les remarques de M. Guz ne reflétaient pas la position de l’université, qui, selon lui, s’est engagée à lutter contre l’antisémitisme.
Les juifs pratiquaient effectivement ce genre de meurtres rituels qui consistaient à kidnapper des enfants chrétiens pour les vider de leur sang afin de s’en servir lors de rites de sorcellerie kabbalistique.
L’universitaire israélien Ariel Toaff, petit-fils du Grand Rabbin de Rome, a écrit un ouvrage sur la question, « Pâques de Sang ». Il était si dévastateur que la juiverie mondiale a menacé Toaff de représailles s’il ne le retirait pas de la vente. Ce que Toaff a finalement fait.
Lire notre article : Le peintre italien Giovanni Gasparo met en scène la véritable histoire des meurtres rituels juifs et déclenche la colère de Jéhovah
Dans son livre « La France juive », Édouard Drumont étudie la question des « sacrifices sanglants » d’enfants chrétiens. Donnant de nombreuses sources d’une effroyable crédibilité, Drumont détaille comment le scénario s’est répété, encore et encore, dans tous les pays d’Europe.
Il cite notamment le cas du juif Raphaël Lévy, originaire de Metz, qui fût convaincu d’avoir enlevé et assassiné un jeune enfant. On y retrouve les mêmes pratiques kabbalistiques.
Ce Raphaël Levy était un homme de cinquante-six ans, de moyenne taille, les cheveux noirs et frisés, la barbe noire et fort épaisse. Agent juif très zélé, il avait parcouru le Levant, l’Italie, l’Allemagne, la Hollande chargé des intérêts de sa religion. Il était né dans le village de Xelaincourt, situé dans le pays messin et s’était installé depuis quelques années dans la ville de Boulay.
Le procès fut ce que sont tous les procès faits aux Juifs dans lesquels on retrouve sous toutes les latitudes les mêmes procédés qui se reproduisent avec une exactitude surprenante. Tous les Juifs de la contrée se mirent en mouvement, subornèrent les témoins, établirent une correspondance avec l’accusé. Ces lettres saisies furent plus tard une preuve de plus contre lui. Dans l’une d’elles il écrivait aux chefs de la synagogue de Metz :
Chers directeurs, la servante du maître de la prison m’a dit que le Juif qui m’apporte à manger lui a dit qu’on avait lié l’enfant. Ah ! écrivez-moi comment mes affaires sont touchant mes témoins, écrivez-moi de façon ou d’autre, à cette fin que je puisse avoir une fois de la consolation, envoyez-moi du papier ! Le Haman[4] a esté aujourd’hui en prison, a dit qu’il casserait tout ce que la justice a fait ; pour cet effet, ayez égard au Parlement. Je prie que l’on m’assiste, que je sorte de cette misère, et, si j’étais surpris et que je ne puisse parler avec ma chère femme et enfant et que je ne puisse compter dans Metz avec le contrôleur, que ma chère femme de bien et mes enfants puissent avoir un morceau de pain. Je souffriray la mort comme un vrai fils d’Israël et sanctifieray le nom de Dieu ; je demande seulement que l’on marie ma fille Blimelé qui est fiancée et n’abandonner ma femme et mes entants. Je me suis mis dans cette misère pour la communauté, le grand Dieu m’assistera ; je désire l’enterrement judaïque, autrement je ne pardonne pas.
Un autre billet est curieux par les détails qu’il fournit sur les mœurs juives. On envoie à l’accusé un petit fétu de paille qu’il devait mettre sous sa langue au moment des interrogatoires, pour se rendre les juges favorables. On lui recommande aussi de prononcer comme incantation cinq mots hébreux. Un billet est ainsi conçu :
Si en cas (Dieu t’en garde) on te veut donner la question, tu diras trois fois tout cela : Moy Juif. Juif moy, vive Juif, Juif vive, mort Juif, Juif mort.
Parfois, les juifs faisaient assassiner des clercs chrétiens pour récupérer leur sang.
L’une des affaires les plus connues du 19ème siècle fut l’assassinat du Père Thomas et de son aide à Damas, en 1840. Le prêtre étant français, Paris intervient par le biais de son consul sur place qui mène activement l’enquête. Le diplomate découvre très vite la culpabilité des juifs et en informe Adolphe Thiers, ministre des Affaires Etrangères. Thiers, sur la base des éléments fournis, notamment les aveux du juif Suleiman Negrin, parvient aux mêmes conclusions.
S’en suit alors une virulente campagne de haine déclenchée par les juifs contre la diplomatie française. Huit états occidentaux sont mobilisés pour faire pression sur l’empire ottoman pour qu’il libère les assassins arrêtés.
Drumont évoque le rôle crucial du juif alsacien Adolphe Crémieux dans cette agitation.
La race juive donna là, un nouvel exemple de son admirable esprit de solidarité, elle mit toute l’Europe en mouvement. Crémieux et Montefiore se transportèrent à Damas ; ils ne purent cependant empêcher une condamnation qui était inévitable puisque les faits étaient prouvés, démontrés, indiscutables, mais ils arrachèrent au vice-roi, en pesant sur lui de tout le poids de la finance juive cosmopolite, la grâce des condamnés. On ne justifiait, ni n’excusait les coupables, on levait simplement une peine justement méritée.
Plus tard Crémieux, profitant de la défaite de la France face à la Prusse, fera naturaliser par décret toute la juiverie algérienne qui, jusqu’à nos jours, continuent de tenir la France d’une poigne de fer.
Les juifs deviennent extrêmement nerveux lorsque leurs pratiques ésotériques les plus inavouables sont ouvertement discutées par les goyim. Ils ne cherchent à débattre avec ceux qui apportent des éléments au débat mais à les faire taire par la terreur.
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