Captain Harlock
Démocratie Participative
21 octobre 2020
En échange de quelques shekels, l’antifa Rafal Gawel militait pour importer des migrants musulmans en Pologne
Imaginez un pays où les militants antifas de l’invasion migratoire comme Cédric Herrou ou Olivier Besancenot seraient obligés de fuir pour ne pas finir en prison.
Ce pays existe, c’est la Pologne.
Radio Freedom Europe / Radio Liberty :
L’article 2 du traité principal de l’Union européenne proclame que l’UE « est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’État de droit et de respect des droits de l’homme ».
« Ces valeurs sont communes aux États membres », indique le document.
Mais au début de ce mois, la Norvège – qui n’est pas membre de l’UE mais qui garantit les droits de l’homme dans sa constitution – a accordé l’asile politique temporaire au militant polonais des droits de l’homme Rafal Gawel, à sa femme et à leur petite fille. Oslo est d’accord avec lui pour dire que le gouvernement populiste polonais a considérablement érodé l’indépendance du système judiciaire du pays.
« J’ai simplement montré qu’à l’heure actuelle en Pologne, la plupart des tribunaux ont été repris par des personnes politiquement habilitées », a déclaré Rafal Gawel à RFE/RL lors d’un entretien téléphonique depuis Oslo. « Par conséquent, nous ne pouvons pas dire qu’il y a un système judiciaire indépendant en Pologne, indépendant du pouvoir exécutif et de l’influence du gouvernement ».
Gawel, 47 ans, est le fondateur et le directeur du Centre de surveillance des comportements racistes et xénophobes de la ville de Bialystok, dans l’est de la Pologne. En janvier 2019, il a été condamné à deux ans de prison après avoir été reconnu coupable de fraude, de contrefaçon de signatures et de faux documents financiers. Il nie ces allégations et affirme que sa condamnation constitue une persécution politique pour l’activité de son centre qui expose l’extrémisme d’extrême droite.
Les communistes aiment beaucoup surveiller les gens, historiquement. La Pologne en sait quelque chose.
Ce pays est à 99% un pays blanc sinon plus. Dans ces conditions, pourquoi quelqu’un voudrait monter une organisation pour « surveiller » des « comportements racistes et xénophobes » dans une ville de l’extrême est du pays où vivent seulement des Blancs ?
La réponse nous est donnée un peu plus loin dans l’article.
M. Gawel, qui a également cité dans sa demande d’asile des menaces émanant de groupes d’extrême droite qui, selon lui, ont des contacts avec le parti au pouvoir, le Parti du droit et de la justice (PiS), est le premier Polonais à se voir accorder l’asile politique à l’Ouest depuis l’adhésion de la Pologne à l’UE en 2004 – et en fait, depuis la fin du régime communiste et de la guerre froide 15 ans plus tôt.
Le PiS, parti nationaliste et populiste, a pris le pouvoir en 2015 et a été accusé de démanteler les institutions démocratiques du pays et de promouvoir l’extrémisme de droite.
« Lentement, lentement, la Pologne se transforme en un pays fondamentaliste et catholique », a affirmé M. Gawel. « Le pire, c’est que les populistes polonais… ont remarqué que c’est un énorme avantage d’effrayer les gens et de consolider leurs électeurs autour de la peur…. Tous les deux ou trois ans, le PiS change un peu le récit et pousse ses adeptes à craindre les homosexuels, les réfugiés ou les musulmans« .
Il ne s’agissait pas de surveiller les « comportements racistes ou xénophobes » mais bien de briser la résistance de l’opinion à l’immigration du tiers-monde, tout particulièrement celle originaire des pays musulmans.
Il faut dire que la population polonaise a de légitimes raisons de refuser catégoriquement l’accueil de tels immigrés musulmans.
Mais qui payait ce Gawel pour démoraliser la population et la forcer à accepter l’invasion islamique ?
Hélas, rien de très novateur.
Le juif.
Le gouvernement polonais a noté que les accusations de fraude ont été portées contre lui sous une administration précédente, plus centriste, en 2013. Et un groupe à but non lucratif en Pologne, financé par le financier George Soros, a accusé M. Gawel de mal gérer les fonds qu’il a alloués à son organisation, le Centre de surveillance des comportements racistes et xénophobes. Ces accusations ont été utilisées dans le procès qui lui a été intenté.
M. Gawel a déclaré que le gouvernement polonais l’avait pris pour cible en raison de son travail de documentation d’un nombre croissant de crimes haineux dans le pays, et qu’il avait ordonné à des militants d’extrême droite de lui infliger des dommages physiques. « La décision de m’accorder l’asile m’a sauvé la vie », a-t-il déclaré dans une interview.
La commission d’appel norvégienne qui a examiné et approuvé la demande d’asile de M. Gawel a conclu que l’objectif de l’affaire était de réduire ses activités et qu’il pourrait être en danger s’il retournait en Pologne.
Ironiquement, ce Gawel a été condamné pour frauder parce qu’il détournait l’argent que le financier juif George Soros lui allouait pour briser la résistance à l’immigration islamique.
Mais vous ne pouvez pas juiver le juif. Du coup, il a fini au tribunal avant de s’enfuir devant sa très probable condamnation.
Elle a conclu que M. Gawel risquait « d’être persécuté politiquement par des fonctionnaires du gouvernement, sous le couvert et l’apparence d’une affaire pénale dont le but a été de limiter sa liberté de parole et d’activité en l’emprisonnant, et peut-être aussi en le discréditant ». La conclusion, qui n’a pas été rendue publique par la Norvège, a été lue au New York Times par Lukasz Niedzielski, l’avocat de M. Gawel.
Gunnar Ekelove-Slydal, secrétaire général par intérim du Comité norvégien d’Helsinki, une organisation de défense des droits de l’homme basée à Oslo, a déclaré que la décision de la Norvège était un signe clair des préoccupations croissantes en Europe concernant le recul de la démocratie en Pologne.
« La confiance des Etats européens envers le système judiciaire polonais est en train de s’effondrer », a-t-il déclaré.
Mais le vice-ministre polonais des affaires étrangères, Pawel Jablonski, a déclaré dans une interview que la condamnation de M. Gawel était basée sur des accusations criminelles. « Il a été condamné par deux tribunaux », a déclaré le ministre. « Nous soupçonnons qu’ils ont pu être manipulés par ses paroles », a-t-il ajouté, en faisant référence aux services d’immigration norvégiens.
Sur la question de l’antiracisme juif, je n’accorderais pas une trop grande confiance à un pays comme la Norvège dont les filles du monarque régnant se font sauter par des nègres.
Ni d’ailleurs à leur personnel politique lorsque l’on sait que des ministres norvégiens importent des migrants musulmans pour leur éjaculer dans l’anus dans leurs résidences secondaires. Il faut dire que les dirigeants norvégiens sont particulièrement sensibles au sort des musulmans puisqu’ils repeuplent leur pays avec, le prénom le plus porté chez les nouveaux-nés à Oslo étant Mohammed.
Le bilan migratoire de ce pays n’est guère fameux. Les musulmans fraîchement arrivés l’expliquent aux traînées de gauche qui tiennent le gouvernement norvégien d’une main de fer : la Norvège sera bientôt régie par les lois de l’islam. Donc, plus question de serrer la main à des féministes blanches.
A ce rythme, la Norvège pourrait rejoindre la Ligue Islamique d’ici quelques années.
En tout cas, on comprend toute l’angoisse des marxistes norvégiens face au refus des Polonais de se laisser dominer par leurs frères musulmans. Ils devront faire avec, j’imagine.