Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Juillet 2020
Le fondamentalisme LGBT a finalement trouvé une résistance déterminée à ses menées impérialistes. Le gouvernement croisé de Pologne a officiellement déclaré la guerre aux homosexuels suédois qui essaient de transmettre le SIDA à de jeunes garçons sous couvert de vente de meubles.
Ikea est poursuivi par le gouvernement polonais pour avoir prétendument violé les droits religieux d’un employé après qu’il ait été licencié pour avoir tenu d’horribles propos anti-LGBT+.
L’ancien employé d’Ikea, identifié comme Tomasz K, a été licencié l’année dernière lorsqu’il a refusé de retirer un commentaire homophobe qu’il avait publié sur le site interne de la société.
Aujourd’hui, le gouvernement polonais anti-LGBT+ poursuit l’entreprise de meubles, affirmant qu’elle a violé les droits religieux de l’employé, selon Bloomberg.
Ça fait un effet bizarre quand un gouvernement défend véritablement le peuple. En France, plus personne n’attend rien du gouvernement si ce n’est des impôts, des taxes supplémentaires et de l’incompétence à grande échelle. Je ne me rappelle pas d’une seule fois où quelqu’un m’a dit « heureusement que le gouvernement est là pour nous protéger ».
En fait, il n’y a que les étrangers provenant de pays d’Afrique ou d’Orient qui peuvent avoir l’impression que le gouvernement se plie en quatre pour eux. Et les juifs. Mais les Français de souche non. En Pologne, la population dispose d’un gouvernement polonais rationnel qui s’occupe des Polonais.
C’est vraiment une drôle de sensation.
Les procureurs du pays – qui a récemment réélu le président Andrzej Duda, farouchement homophobe – ont accusé le directeur des ressources humaines d’IKEA de restreindre les droits religieux de l’employé.
Marcin Sadus, un porte-parole du bureau des procureurs à Varsovie, a déclaré au service de presse polonais PAP que Tomasz K avait été licencié en raison de « jugements arbitraires et de préjugés » du directeur des ressources humaines d’IKEA.
Sadus a déclaré que le directeur des ressources humaines d’Ikea a fait preuve de préjugés envers le travailleur qui, en exprimant ses « opinions » sur les homosexuels, « se référait aux valeurs catholiques ».
« Les employeurs, y compris les multinationales, sont tenus de respecter la vie privée des employés, notamment en évitant les actions idéologiques non liées à leur travail », a déclaré M. Sadus.
Il a ajouté que l’entreprise doit « respecter la liberté d’expression des opinions, de la conscience et de la religion » et ne doit pas « discriminer les employés sur la base de leur vision du monde ».
Je ne vois pas d’autre interprétation possible.
C’est une atteinte gravissime aux droits élémentaires des citoyens polonais. Ces multinationales trotsko-LGBT agissent comme de chevaux de Troie de l’homo-globalisme et cherchent à semer la terreur en brisant les vies des personnes qui refusent de laisser des malades mentaux s’éjaculer mutuellement dans l’anus pour contracter volontairement le SIDA.
Une entreprise de meubles doit vendre des meubles et uniquement vendre des meubles. Pas normaliser la transmission du SIDA entre hommes déguisés en femmes.
Les « Ressources Humaines » de ces entreprises globalistes appliquent avec une rigueur soviétique la propagation de l’idéologie judéo-LGBT. C’est-à-dire la propagation du VIH. D’ailleurs, c’est ce qui s’est passé récemment avec Ubisoft. Après des blagues très drôles sur une ou deux secrétaires, les directeurs de l’entreprise ont été contraints de remettre les décisions à une nouvelle structure chargée des « ressources humaines », c’est-à-dire à des traînées vaginocrates sans enfants et des homosexuels. Les fiottes et les féministes vont donc avoir le contrôle complet du recrutement et de l’encadrement des employés. La première chose que vont faire ces fiottes et ces lesbiennes féministes va consister à recruter des fiottes et des lesbiennes féministes. Ce qui ne peut qu’aboutir à la destruction finale de cette marque après la prise de contrôle d’Ubisoft par la secte intersectionnelle.
Résister à l’impérialisme LGBT est donc un droit essentiel de tout citoyen libre.
Dénoncer l’homosexualité comme une maladie mentale relève du bon sens élémentaire et il est hors de question que des multinationales de la Suède somalienne répandent leurs toxines ailleurs que dans la poubelle qui leur sert de pays, i.e. la Suède.
Un porte-parole d’Ikea a confirmé que son directeur des ressources humaines a été inculpé dans cette affaire et a déclaré qu’ils leur apporteraient « un soutien total ».
Tomasz K a été licencié l’année dernière par Ikea après avoir publié une série de remarques anti-LGBT+ sur le site web interne de l’entreprise.
« L’acceptation et la promotion de l’homosexualité et d’autres déviations sont scandaleuses », a-t-il écrit, en même temps que plusieurs versets bibliques anti-gays.
Ikea a déclaré à l’époque que l’employé avait exprimé une opinion « d’une manière qui pourrait affecter les droits et la dignité des personnes LGBT+ ».
Voici comment je vois la solution à ce problème : le gouvernement polonais devrait infliger une amende de 100 ou 200 millions d’euros à Ikea sous la forme d’une taxe exceptionnelle qui serait reversée à des structures de sensibilisation aux dangers du sexe anal entre hommes. La direction de cette entreprise devrait ensuite, face caméra, s’excuser d’avoir cherché à répandre des déviances sanitaires dangereuses dans le pays. Par exemple en se couvrant la tête de cendres et en s’enfermant pendant six mois dans un monastère pour y faire pénitence.
En cas de refus, toute la bande devrait être jetée en prison et les avoirs de l’entreprise saisis dans tout le pays.
Croyez bien qu’une réaction de cette ampleur ramènerait ces sales fiottes suédoises à de meilleures dispositions en Europe de l’Est.
D’une manière générale, c’est notre absence d’agressivité envers ces sous-hommes qui les rend si arrogants. Sur cette question précise, je dois reconnaître la sagesse de l’Etat Islamique.