Captain Harlock
Démocratie Participative
28 juin 2018
Comme vous vous en rappelez probablement, les juifs avaient déclaré une guerre totale à la Pologne après l’histoire du Polocauste.
Le Polocauste renvoie à la promulgation d’une loi interdisant à quiconque d’affirmer que les Polonais aient pu jouer un rôle quelconque au sujet de ce concept étrange d’holocauste. Promulgation que la juiverie mondiale avait considéré comme une apostasie en bonne et due forme en plus d’une atteinte à leur monopole, étant entendu que le dernier goy de cette terre a vocation à se prosterner à ses pieds pour l’éternité en réparation des 18 millions de juifs transformés en abat-jours.
Y compris les Polonais.
Peu de temps après, les pornographes juifs étaient allés jusqu’à accuser les Polonais d’être les véritables architectes de l’holocauste.
Nous avions, à Démocratie Participative, annoncé que les Polonais rentreraient rapidement dans le rang en raison du caractère antiraciste et antifasciste du nationalisme polonais :
Les juifs s’accommodent parfaitement d’un antisémitisme déclaratif sur fond de catholicisme ombrageux tant que, sur les sujets stratégiques, ces antisémites d’apparat obéissent au doigt et à l’oeil. La Pologne n’a jamais fait mine de vouloir s’affranchir de la juiverie car elle sait parfaitement que, sans elle, elle devrait s’aligner sur l’Allemagne ou sur la Russie, au choix.
Le chauvinisme polonais prétend se suffire à lui-même quand, en termes pratiques, il ne peut rien faire sans les juifs et l’arsenal américain. Il se satisfait d’ailleurs parfaitement de l’arrivée massive de nègres US dont on sait, partout, que la seule et unique chose qu’ils font dans leurs bases, c’est d’engrosser les Blanches du secteur.
On nous avait répondu que nous sous-estimions le nationalisme polonais.
Trois mois plus tard, le rabbin a classé l’affaire.
À la demande du gouvernement, les députés de la Diète ont approuvé mercredi la suppression des peines de prison prévues dans le texte qui avait été violemment dénoncée par Israël et critiquée par les États-Unis.
Le texte, censé défendre l’image des Polonais du temps de la Seconde guerre mondiale, avait suscité l’ire d’Israël et des États-Unis. Varsovie a préféré reculer sous la pression internationale. À la demande du gouvernement, les députés polonais ont amendé mercredi la loi controversée sur l’Holocauste qui était entrée pourtant en vigueur en mars. Est ainsi supprimé le passage de cette loi sanctionnant par des amendes et jusqu’à trois ans de prison ceux qui attribueraient «la responsabilité ou la coresponsabilité de la nation ou de l’État polonais pour les crimes commis par le IIIe Reich allemand». La modification a été adoptée par 388 voix, 24 contre et 5 abstentions. Celle-ci devrait être examinée dans la journée par le Sénat.
Devant les députés, le premier ministre, Mateusz Morawiecki, a reconnu devant les députés que si l’objectif de la loi était de «lutter pour la vérité», ses passages sur les sanctions pénales avaient «paradoxalement» fait naître «tant de controverses qu’ils sont devenus contre-productifs». Et d’ajouter: en cas de publications calomniant la Pologne avec des expressions telles que «la SS polonaise, la Gestapo polonaise ou les camps de concentration polonais», la possibilité reste ouverte de porter plainte au civil, faisant peser sur un éditeur «aux États-Unis ou quelque part en Allemagne (…) la menace de devoir payer cent millions d’euros ou cent millions de dollars».
Voi-là. Les nationalistes polonais sont soucieux de ne pas être amalgamés aux nationaux-socialistes mais ont, par inadvertance, déplu aux juifs en cherchant à dupliquer leur business. En conséquence, face à la (((pression internationale))), les Polonais ont capitulé.
Rassurez-vous cependant, discuter du nombre de milliers de tonnes de savon de graisse juive produite dans sa cave par Adolf Hitler vous vaudra toujours des années de prison en Allemagne ou en France, sans que, curieusement, ne s’exerce de « pression internationale ».
Ce type de nationalisme-là, que certains promeuvent en France, n’est qu’un golem aux mains de la pourriture hébraïque.