Polanski : les féministes antisémites exigent le gazage de l’apologète du viol de shiksas Finkielkraut

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 novembre 2019

 

Les juifs ont intérêt à être extrêmement prudents désormais.

La révolte des shiksas est lancée.

De Haas n’est pas tout à fait de ma crèmerie mais peu importe, l’intersectionnalité de droite doit jouer à fond.

Et elle joue à fond.

Tout est bon dès lors qu’il s’agit de faire tomber Judas de son piédestal.

Le kahal est en alerte.

Il va sans dire que la droite juive prend la défense du réchappé de la LICRA.

Ils serviront les juifs aussi servilement que possible, jusqu’au bout, simplement parce qu’ils souillent leur caleçon à la seule vue d’une barbe d’imam.

Le youpin Finkielkraut a légitimité, avec l’art du mensonge que l’on connaît aux juifs, le viol anal par Polanski d’une Blanche de 13 ans après l’avoir camé au préalable. Le seul argument que ce vieil hébreu a avancé était qu’il était juif, « rescapé de l’holocauste ».

Ce droit de cuissage hébraïque professé par Finkielkraut passe comme une lettre à la poste chez ces cas désespérés de la réaction.

Jamais la gauche et les islamistes réunis ne nous feront autant de mal que la droite Torah-cassoulet, cette facilitatrice de l’empoisonnement juif.

Ce n’est que du bruit hébraïque, interminable, pour nous sémitiser irréversiblement. Partant, de nous paralyser dans la prostration antiraciste pour le compte de la survie du juif.

Ils pleurent comme des levantins, à égalité, sincèrement soumis à leur dieu vivant : le séfarade aux dents jaunies avec son caftan maculé de pellicules.