La rédaction
Démocratie Participative
07 janvier 2023
Excellente nouvelle, l’école, avec ses 80% de femmes profs, est si nulle que l’efficacité de d’embrigadement s’effondre.
BFMTV :
Un sondage OpinionWay paru ce dimanche 7 janvier montre que les jeunes âgés de 16 à 24 ans connaissent mal l’histoire de France et de l’Europe. La Shoah est notamment un épisode historique mal connu et mal compris.
Après les maths et le français, les jeunes Français ont-ils aussi des difficultés en histoire? Un sondage OpinionWay paru ce dimanche 7 janvier dans La Tribune Dimanche, questionne des jeunes âgés de 16 à 24 ans sur leur connaissance des grands événements historiques. Leur rapport à l’information et leur compréhension de la laïcité sont également évalués.
Les résultats révèlent d’importantes lacunes. Près de la moitié (46%) des sondés ne sait pas par exemple que la Révolution française a eu lieu en 1789, quand près d’un jeune sur sept (69%) est incapable de situer quand les femmes ont obtenu le droit de vote en France (1944).
Et bien, c’est plutôt positif.
La révolution française est une catastrophe absolue.
Même chose pour les questions historiques qui concernent l’histoire européenne. Un jeune sur six (60%) ne sait pas dater la chute du mur de Berlin en 1989 et 63% ignorent qu’Hitler est parvenu au pouvoir en Allemagne en 1933.
Parmi les questions posées aux sondés, la Shoah occupe une large place.
On se demande bien pourquoi.
Si plus d’un jeune sur six (63%) affirme savoir de quoi il s’agit, près d’un sur cinq (17%) dit connaître le terme sans en savoir beaucoup plus et quasiment un sondé sur cinq encore (18%) dit n’en avoir jamais entendu parler.
Si une très large majorité (85%) dit savoir ce qu’étaient les chambres à gaz, utilisées par l’Allemagne nazie pour exterminer les juifs pendant la Seconde guerre mondiale, et que 61% disent connaître le statut des juifs en 1940, seulement 39% savent ce qu’est la rafle du Vél’ d’Hiv, plus grande arrestation massive de juifs réalisée en France pendant la Seconde guerre mondiale.
Il y a encore un travail pédagogique important à faire à propos de cette histoire invraisemblable de chambres à gaz.
Imaginez que les gens croient vraiment qu’Adolf Hitler a mis 6 millions de juifs dans cette pièce fermée par une porte en bois pour les tuer avec un produit antipoux.
C’est fascinant, quand on y pense.
Sur le régime de Vichy, un certain flou semble régner. 43% des jeunes disent que l’État français a joué un rôle actif dans l’extermination des juifs, quand quasiment la même proportion (41%) assure à l’inverse qu’il n’a agi qu’en exécutant des ordres venus des nazis.
Ah oui, ça c’est l’autre truc des juifs.
Bien entendu, il n’y a jamais eu « d’extermination » systématique des juifs. Ces gens étaient arrêtés préventivement durant les hostilités car le Führer, dans sa sagesse infinie, savaient depuis 1918 qu’ils formaient en Europe une cinquième colonne au service de la juiverie financière de New York et la juiverie bolchevique de Moscou.
Laisser ces juifs libres de déambuler, c’était les laisser former des cellules d’espionnage et de terrorisme. D’ailleurs, nombre de juifs s’y sont livrés. J’ajoute qu’aujourd’hui nous avons le même problème, non seulement avec les juifs, mais aussi les musulmans. Tout ça pour dire qu’emprisonner ces juifs afin de les faire travailler pour l’effort de guerre était frappé au coin du bon sens.
Mais les juifs tiennent à se victimiser éternellement pour extorquer privilèges et impunité. Sur ce, pour justement extorquer tout ce qui peut l’être des Français, ils insistent pour dire que les Français sont tout autant coupables de les avoir empêché de tuer des goyim que les Allemands.
C’est toute l’histoire de la culpabilité éternelle proclamée par Chirac. C’est la première chose qu’il a faite une fois élue en 1995.
D’où l’indignation de ces hébreux face à ces 41% de jeunes qui considèrent que Vichy appliquait la politique décidée par les Allemands.
Si la tendance se poursuit, ils refuseront de servir les juifs une fois pleinement adultes.
Interrogés également sur la laïcité et la place de la religion dans la société, jusqu’à 45% des sondés avancent que les juifs sont davantage protégés par les autorités que les musulmans et 41% estiment que la laïcité sert avant tout à discriminer les musulmans en France.
C’est fini pour les juifs.
Un jeune sur deux soutient cependant le droit à la critique des musulmans (à 52%), des catholiques (52% aussi) et des juifs (50%) au nom de la liberté d’expression.
« Est-ce qu’il est possible d’enseigner l’antisémitisme à des jeunes qui ne savent pas ce qu’est la Shoah, qui ne comprennent pas la spécificité de ce fait historique? », déplore la politologue Chloé Morin qui a commandé cette étude.
Déjà ce « fait » n’en est pas un.
Ensuite, il n’aurait rien de « spécifique ».
La prétention raciale puante des juifs à se croire au centre de l’univers les rend infects à tout le monde.
De façon plus générale, le sondage s’interroge sur le rapport à l’information des 16-24 ans et révèle le grand écart qui les sépare de leurs aînés. Quand ces derniers s’appuyaient sur les médias papier, télévisés ou radio, près de la moitié (45%) des jeunes choisissent les réseaux sociaux en premier pour s’informer.
Avec quelles conséquences sur leurs connaissances? D’après le sondage, trois jeunes sur dix qui passent au moins 8 heures par jour sur leur smartphone disent avoir des doutes sur la réalité de ce génocide, quand sur l’ensemble des jeunes interrogés 80% affirment ne pas douter.
Ça avance !
Parmi les jeunes qui ne lisent aucun livre dans le mois, près d’un tiers (32%) ignore ce qu’est la Shoah. À l’inverse, 14% seulement des jeunes qui disent lire au moins 3 livres par mois assurent ne pas savoir ce qu’est la Shoah.
Forcément, les grandes maisons d’éditions sont tenues par les juifs. Peu surprenant que dès que l’on approche d’une Fnac, on tombe sur un de ces livres de Science-Fiction.
En tout, on comprend pourquoi les boomers de Bruxelles veulent interdire Twitter.
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