Captain Harlock
Démocratie Participative
08 juin 2021
Le site de la Base de Données Européennes des Rapports d’Effets Indésirables Susceptibles d’Être Liés à l’Utilisation de Médicaments – un site officiel de l’UE – publie les chiffres relatifs aux effets secondaires générés par les vaccins anti-Covid19.
Ces chiffres sont absolument terrifiants. Entre les seuls vaccins Pfizer et Astrazeneca, on dénombre plus d’un demi million de personnes affectées d’effets secondaires.
Les chiffres n’intègrent pas encore la vaccination des enfants et adolescents qui vient à peine de commencer. Pour le vaccin Pfizer on dénombre 212,000 cas de personnes souffrant d’effets secondaires dont 75% environ sont des femmes.
Les cas graves se comptent par dizaines de milliers dans toute l’Union Européenne pour chaque vaccin.
Parmi les effets graves : troubles cardiaques, désordre du système sanguin, problème de vue, de respiration, système nerveux et génital atteints, etc..
L’Astrazeneca engendre également des effets secondaires massifs.
Idem pour Moderna.
Un nombre non précisé mais certainement considérable de personnes âgées sont à l’évidence mortes de cette vaccination. Au vu du nombre de cas, des octogénaires affectés par de graves troubles cardiaques, respiratoires ou sanguins sont décédés peu après l’injection.
Il est manifeste à ce stade que les médias opèrent une dissimulation à grande échelle de ce qui se passe.
Et ce n’est qu’un début. Comme l’a expliqué le Prix Nobel Luc Montagnier, le vaccin Pfizer pourrait altérer l’ADN sur des générations entières.
En fait, si vous vous laissez injecter ce truc dans les veines, vos enfants et petits-enfants risqueront peut-être plus gros que vous-même.
Sauf que contrairement à vous, ils n’auront pas eu le choix de dire non au juif Bourla.
Imaginez risquer sa vie et sa santé ainsi que celle de ses enfants pour pouvoir aller regarder le chanteur juif d’Indochine.
En même temps, les goyim qui acceptent de se comporter comme du bétail docile ne mérite rien d’autre que le sort habituel du bétail : l’abattoir.
Ce n’est pas moi qui pleurerais sur les sous-hommes qui se précipitent sur les vaccins empoisonnés que leur distribuent les juifs Bourla, Buzyn, Lévy, Hirsch, Salomon, Fischer ou Sebbag.
C’est l’occasion de relire un classique de la littérature française.
Préférez-vous être un loup ou chien domestique à la botte des juifs ?
Si les juifs vous laissent vivre, bien entendu.