Captain Harlock
Démocratie Participative
09 novembre 2018
Le problème avec le souvenir de la Guerre de 14-18 c’est qu’elle appartient aux Blancs.
Et ça, en 2018, ce n’est plus possible.
Tout appartenir aux autres. Tout. Jusqu’aux os de vos arrières-grand-pères.
Et que foutez-vous encore là ?
Compter les prénoms présents sur les monuments aux morts de la Grande guerre permet de dresser un portrait inattendu des morts pour la France.
A l’heure de célébrer les disparus de la Grande guerre, nous nous sommes plongés dans la base de données Mémorial Genweb pour mieux connaître ces soldats tombés pour la France à raison de 700 par jours en moyenne pendant le conflit. Parmi les informations disponibles, une rapide étude des prénoms permet ainsi de raconter l’histoire d’une façon inattendue.
On ne s’étonnera évidemment pas de trouver les prénoms classiques du début du XXe siècle : Jean, Pierre, Louis, Joseph et François forment les cinq prénoms les plus frappés.
Non mon Louison. T’es trop désespérément pas de ce monde. Ta bidoche, elle pèse plus lourd sur l’étale. T’es bien plombé pour la République, c’est déjà beau, un privilège primeur.
Alors maintenant, quand Farid Ben Schlomo veut vous enculer, bien évidemment, il commence par un auriculaire dans l’anus, à titre préparatoire.
Un petit centimètre, pour humidifier. Voir.
Mais le reste de ce terrible palmarès réserve d’autres surprises.
Des prénoms oubliés, d’abord. À la 87e position figurent les 844 Claudius morts pour la France. Entre 1900 et 1914, chaque année, ce prénom était donné à plus de 300 garçons. Le dernier Claudius recensé par l’Institut national de la Statistique (INSEE) est né en 1989.
« Claudius, c’est étonnant non, comme surprise ? Mais attendez, nous avons plein de surprises dans la musette. »
Des surprises par milliers.
Des prénoms moins « traditionnels », ensuite. Si l’on regroupe les variantes Mohamed, Mohammed, Ben Mohamed et Ben Mohammed, ce ne sont pas moins de 1717 soldats qui sont tombés au combat pour la France. Largement suffisant pour intégrer la liste des 50 prénoms qui ont versé le plus lourd tribut au conflit. 1204 d’entre eux étaient nés sur le territoire algérien, 467 au Maroc et 18 en Tunisie.
Impressionnant.
Les Gaulois n’ayant pas tendance à donner le nom d’un enculeur de chèvre à leurs gosses faute d’imagination, voilà la démultiplication des melons après celle des pains.
« Alors, ducon, regarde tous ces Mohammed plus français que toi, enculé vicieux, fini sac rance de pisse qui louche, comme ça, sans en avoir l’air, à la vue d’un tapis ! T’es bien faisandé du dedans, bien ordure, patriotique sac de merde hypocrite à pas aimer nos héros, hein, saloperie ? Regardez, madame, cette petite foutue chiure qui tousse, propriétaire exploiteur de la mémoire ! Pour un peu qu’il salirait la mémoire de nos soldats à nous, les soldats démocrates, les poilus de notre fière France passée guérie du virus blanc… »
Comme ça qui cause, à la presse, pour bien vous rencarder.
Vous voilà bien misés. Bien avertis. Gaffe.
14-18 c’est pas à vous, vous n’avez aucun titre. Vos aïeux sont morts pour les juifs, la république, la bourse et les bicots, les derniers replis de Mongolie Extérieure, le vote des femmes, les péages autoroutiers, tout, absolument tout, sauf pour vous, vos culs, vos tripes, charognes illégitimes, viande d’Auvergne louche.
C’est terminé, effacés de l’histoire et c’est bien comme ça. Et puis vos gueules, on peut plus les voir. Ca se discute pas.
Foutus tordus que vous êtes, vous seriez bien encore assez fumiers pour rebiffer, relever le menton. C’est dire si vous êtes torves, pervers vraiment.
En se limitant aux soldats s’étant fait recenser avec le prénom Ben Mohamed, le décompte monte déjà à 667, soit davantage que les Martin (649) ou les Mathieu (572).
En outre, les monuments aux morts pour la France sont aussi gravés de 354 Giuseppe, 280 Antonio et 260 Giovanni.
Absolument Giovanni, Giuseppe, Abdelkrim, Toutankhamon, ce qu’on voudra.
Mais pas un centimètre pour cette pourriture gauloise, ignoble, demandeuse, qui se place des droits imaginaires. Foutez le camp, c’est pas pour vous. On veut pas de vous. Dehors la franscaille. Ici, c’est tout à nous, pour les vrais Français, aux nègres oisifs quart d’arménien.
C’est autre chose que vos faces.
Tirez-vous, laissez place aux poètes, aux flambants Phéniciens zizi coupé, aux chinetoques étincelants, à tout.
Vous nous avez assez fait chier.
Les tranchées, Verdun, la France, à qui de droit. Fermez vos gueules.