Planquée derrière son pseudo « Severine Pierron », la youpine dégueulasse Judith Birenbaum appelle à liquider l’image de la « Parisienne Blanche » avant d’être démasquée comme empoisonneuse juive

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
05 avril 2019

Le nez du crime

Séverine Pierron veut poser la « bonne question ».

La question de la liquidation des Blancs en France et, ici, à Paris.

Hélas, quand les gens lui font observer que son prisme antiblanc, maquillé en « multiculturalisme », est passablement agressif, Séverine Pierron a déjà la réponse : « Je peux parler des Blancs, je suis Blanche ! »

Mais les gens observateurs ne manquent pas sur Twitter.

Démasquée, la youpine ne peut plus que se faire menaçante :

C’est ici qu’il faut rappeler le théorème du Docteur Josef Goebbels.

Les juifs se dissimulent, sous le masque d’une fausse assimilation, au sein des sociétés blanches pour les détruire de l’intérieur au nom de leur atavisme sémitique.

Le juif, croyant ou non, sépharade ou ashkénaze, croit à la victoire finale de sa race contre les nations. Il préfère agir par la ruse, c’est-à-dire le mensonge, afin d’éviter l’affrontement direct.

Le juif, lorsqu’il sabote un état et travaille à la mort d’un peuple, a besoin du secret pour sa propre sécurité.

Démasqué et exposé au grand jour, il est paralysé et ne peut plus se livrer à ses activités génocidaires contre le monde blanc.

La youpine Birenbaum, travaillant pour le journal juif Slate, propriété de Benjamin Rothschild et de Jacques Attali, est désormais connue comme empoisonneuse mandatée par le peuple élu.

Mais il y a pire : la gueule et le corps de goule de cette horrible créature sortie des égouts des ghettos d’Europe centrale. La laideur hébraïque n’est pas seulement spirituelle, elle est aussi physique, biologique.

Seins en gants de toilette, nez grotesquement palestinien, cage thoracique masculine, bas-ventre gonflé, l’ensemble monté sur des quilles de corbeau.

Une sorte de Sebban.

L’arrogance de la juive est proportionnelle à sa laideur.

Cette arabe délavée a aussi un autre marqueur psycho-racial juif : le regard de prostituée héritée de plusieurs millénaires de tapin incestueux dans la promiscuité des familles régies par le rabbinisme.

Cette créature est la laideur juive faite chair, tant au physique qu’au moral.

Et c’est ici que la chose devient révélatrice : cette youtra dégueulasse est critique de mode ! Elle fixe, à son échelle, le laid du beau. Plutôt, le sabote pour ne pas avoir à subir, un jour, les conséquences du rétablissement de la santé raciale blanche.

Répétons ensemble :

HAÏR LES JUIFS EST UN DEVOIR MORAL

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