Leutnant
Démocratie Participative
19 avril 2019
Un céfran a été étranglé par deux clandos algériens.
Les policiers ont interpellé lundi à Paris deux hommes suspectés d’avoir un vol avec violence vendredi soir à Avon. La victime, en état de mort cérébrale depuis, est décédée des suites de ses blessures. Ce mercredi, ils ont été mis en examen et écroués.
Deux hommes, soupçonnés d’avoir mortellement agressé un septuagénaire à Avon vendredi soir, ont été interpellés lundi soir Porte de Montreuil à Paris (XXe). « Un opérateur vidéo les a repérés vers 19 h 45 et un dispositif a pu être mis en place rapidement », détaille un proche du dossier. Les deux sans-papiers, âgés d’environ 27 ans, ont été placés en garde à vue. Ce mercredi, ils ont été mis en examen pour vol avec violence ayant entraîné le décès de la victime » et écroués.
Les deux suspects, identifiés grâce à des images de vidéosurveillance, auraient violemment attaqué l’homme de 70 ans alors qu’il rejoignait son véhicule en gare d’Avon. Il est 23 h 05 lorsqu’ils lui sautent dessus, le frappent au visage à plusieurs reprises puis l’étranglent. Ils prennent ensuite la fuite avec son ordinateur et son téléphone portable.
Les deux hommes vont devoir s’expliquer sur leurs faits et gestes auprès des enquêteurs de la sûreté régionale des transports en charge du dossier. Aucun des objets volés n’aurait été retrouvé parmi les affaires de deux suspects.
La victime, un interprète vivant à Vulaines-sur-Seine, est décédée ce mardi après-midi. Selon les premiers éléments de l’enquête, sa profession n’a aucun lien avec cette agression. L’enquête, dirigée par le parquet de Fontainebleau, a été confiée au parquet de Melun.
« C’est dramatique. Vous allez dans un parking et vous décédez quelques jours plus tard », n’en revient pas le maire de Vulaines-sur-Seine, Patrick Chadaillat (sans étiquette), profondément choqué.
Avon, ce mardi. L’homme décédé mardi après-midi a été agressé alors qu’il rejoignait sa voiture garée dans le parking de la gare d’Avon-Fontainebleau.
L’acte de ces deux migrants algériens est tout de même moins grave qu’un cri de singe allégué en Ligue 1.
L’auteur présumé des cris racistes envers Prince Gouano n’a pas été mis en examen https://t.co/SumQHhMsrn pic.twitter.com/FMRny6l5Bm
— L’ÉQUIPE (@lequipe) 14 avril 2019
Insultes racistes contre Prince Gouano : enquête ouverte, un homme en garde à vue https://t.co/jKohCoGbzI pic.twitter.com/6eICV3Bd40
— LCI (@LCI) 13 avril 2019
#Racisme #homophobie
« C’est très bien que Prince Gouano ait réagi (…) Il faut que les règlements soient appliqués (…) On est parti pour travailler ensemble avec Noël Le Graët »
➡️ @RoxaMaracineanu ministre des Sports#BourdinDirect
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Lutte contre le racisme : six jours après les cris racistes d’un supporter dijonnais contre Prince Gouano, la @_LICRA_ a rencontré les jeunes de l’@AmiensSC https://t.co/jxbbDum8rH
— France 3 Picardie (@F3Picardie) 19 avril 2019
La vie d’un Français, en 2019 en France, vaut littéralement moins que la frustration d’un nègre froissé par un bruit.