Sigmar Polaris
Démocratie Participative
24 janvier 2024
Le juif Albert Bourla prépare quelque chose.
« Le cancer reste l’une des principales causes de décès et une personne sur trois aux États-Unis va recevoir un diagnostic de cancer dans sa vie », a relevé Albert Bourla, patron de Pfizer, cité dans un communiqué.
Grâce à Seagen, « nous allons tout mettre en œuvre contre le cancer avec l’objectif de réaliser des percées qui vont améliorer de manière importante la vie des personnes souffrant d’un cancer », a-t-il affirmé.
Pfizer a annoncé le 13 mars le rachat de la biotech pour 43 milliards de dollars, financés par endettement et par sa trésorerie. Il avait indiqué mardi qu’il devrait être effectif jeudi, grâce à l’expiration des délais liés aux mesures antitrust et à l’obtention des feux verts réglementaires.
Seagen a développé des thérapies ciblées, dans le but de viser les cellules cancéreuses avec davantage de précision, diminuant ainsi les effets secondaires, une technologie prometteuse.
En associant la technologie de Seagen et « la taille et la force des capacités de Pfizer, nous sommes positionnés pour changer le paradigme de traitement du cancer », a estimé M. Bourla, soulignant que l’oncologie serait « un moteur important de croissance pour Pfizer » et contribuerait « à la réalisation de nos objectifs financiers à court et à moyen terme ».
À l’issue de la fusion, le portefeuille oncologie du groupe compte 25 traitements approuvés pour plus de quarante indications et le nombre de produits en développement a doublé pour atteindre une soixantaine de programmes.
Pour éteindre des inquiétudes de l’autorité de la concurrence, la Federal Trade Commission (FTC), Pfizer a « choisi de faire don irrévocablement des droits générés par les ventes du Bavencio (avelumab, anticancéreux) aux États-Unis à l’Association américaine de recherche contre le cancer ».
Il a dévoilé mercredi ses prévisions financières pour 2024 intégrant Seagen, qui ont déçu les marchés, car inférieures à leurs attentes. Son action, qui a perdu jusqu’à plus de 10 % mercredi, a ouvert la séance jeudi en petite hausse de 0,98 %.
43 milliards de dollars est une somme colossale pour une acquisition de ce genre.
Il faut avoir la certitude d’une augmentation considérable des cancers à moyen, voire à court terme pour investir autant de capitaux dans une technologie.
Cela tombe bien. Les turbo-cancers post-vaccination ont tué et continuent de tuer.
Action #lesmasquesblancs à Lyon aujourd’hui. Infos décès et effets secondaires post vax.
Activez le son et ecoutez ce témoignage !! ⬇️🔊#TémoignageLMB #vaccins pic.twitter.com/p7XxkZ1ZWY— Les Masques Blancs Lyon (@BlancsMasques) January 20, 2024
Quoi de mieux pour générer d’énormes profits que de fusionner ce qui cause des cancers de masse avec ce qui est censé le traiter ?
Vous avez le poison et l’antidote dont la fabrication sera indissociable.
C’est dans ces moments-là que l’on est heureux de ne pas s’être fait injecter cette chimie juive dans les veines.
Contre la censure
Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.
Ou utilisez un VPN.