Captain Harlock
Démocratie Participative
17 janvier 2022
Une très belle histoire de pute à métèque envoyée ad patres par sa moitié de couleur.
Le corps de la jeune femme a été retrouvé au crépuscule, dans un petit immeuble à Chacé, près de Saumur (Maine-et-Loire). Eléonore Places fêtait le réveillon de la Saint-Sylvestre avec son compagnon et le frère de celui-ci. La nuit s’est terminée dans un déchaînement de violence, selon les éléments communiqués par la procureure de la République de Saumur. Le concubin d’Eléonore, très alcoolisé, a d’abord frappé son frère au visage. Puis il a sorti sa compagne de l’appartement et lui a asséné une dizaine de coups de couteau, au niveau du thorax, sur le palier. Interpellé le 1er janvier en fin de matinée, dans un jardin, à une centaine de mètres des lieux du crime, il a reconnu les faits. Il a été mis en examen le 3 janvier pour « meurtre aggravé par concubin et violences aggravées », puis écroué.
A l’issue de sa formation, en 2019, elle est affectée au 2e régiment de dragons, basé à Fontevraud (Maine-et-Loire). D’après Vincent, un ancien collègue, Eléonore n’y était pas heureuse. « Elle avait du mal à s’intégrer au groupe, elle n’était pas trop dans le bain. Elle s’était fait une fausse idée de l’armée« , estime-t-il auprès de franceinfo. Selon lui, l’impulsivité et la maladresse de la jeune femme sont mal perçues. « Moi, ça me faisait rire. Je l’aimais bien. On discutait pendant les gardes, c’était une vraie pipelette. » Vincent la voit pour la dernière fois en septembre 2021, avant qu’il quitte le régiment. « Elle m’avait parlé de son compagnon, mais je ne savais pas qui c’était. »
Une connasse castratrice entre à l’armée pour mener les mecs à la baguette et se fait rapidement haïr de toute la caserne, sauf d’un random beta.
Cette Française normale fait alors ce que toute Française normale fait en pareil cas : se faire sauter par un basané.
Et là, quelque chose de totalement inattendu se produit.
L’homme qui partage la vie d’Eléonore Places est aussi militaire. Vaiava Chryssler Hiro, un Tahitien de 22 ans, est engagé au sein du 2e régiment d’infanterie de marine, basé au Mans. « Il est revenu très marqué, très changé, d’une mission au Mali », assure à France Bleu Mayenne son avocat. Olivier Rolland précise à franceinfo qu’il était rentré début 2021. Le couple se forme peu après. Eléonore le présente le 6 juin à son amie Charlotte.
Quatre mois plus tard, Eléonore lui envoie une photo de son visage tuméfié, avec plusieurs points de suture sur le nez. Elle affirme que son compagnon a porté les coups. La militaire porte plainte et l’homme est déféré devant le parquet du Mans en octobre 2021. Il est placé sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec elle. « Il l’a frappée sur le bas côté d’une rocade, devant des témoins. Des inconnus, en panne, ont appelé la police. On est dans le degré ++ de la violence conjugale », souligne à franceinfo l’avocate Isabelle Steyer, qui a eu accès aux procès-verbaux. Elle représente les parents d’Eléonore Places, qui se sont constitués partie civile et ne souhaitent pas témoigner. Pour ces faits, Vaiava Chryssler Hiro sera jugé devant le tribunal correctionnel du Mans en octobre, soit un an après.
Ce n’est pas le premier épisode de violence dans le couple, qui n’avait pas de domicile commun. « Il y a un précédent dans la Sarthe, en juillet, devant la mère d’Eléonore », précise à franceinfo Eric Bouillard, procureur de la République d’Angers. La mère de la jeune femme contacte alors les forces de l’ordre, mais sa fille « ne veut pas donner d’éléments ». Quelques jours plus tard, nouvelle agression dans le Morbihan. Cette fois, Eléonore Places porte plainte.
« Il y a eu un échange de coups, puis il l’a frappée violemment et l’a tenue par le cou », ajoute Eric Bouillard. A l’époque, le jeune homme est placé en garde à vue, puis convoqué jeudi 27 janvier devant le tribunal judiciaire de Lorient. Dans Ouest-France (article abonnés), le procureur évoque également une tentative d’enlèvement et de séquestration dans un hôtel de Saumur, le 4 août 2021, sans que les faits ne soient clairement établis.
Lorsque Charlotte apprend qu’Eléonore a été frappée, en octobre 2021, elle lui recommande « de partir, de se protéger ». « On était là pour elle, on voulait l’aider à l’oublier. Elle le détestait, le qualifiait de tous les noms d’oiseaux du monde. En même temps, c’était une grande sentimentale, une amoureuse de l’amour. Pour la première fois de sa vie, elle se projetait. Son plus gros bonheur aurait été de trouver l’homme de sa vie, de construire une maison, de vivre avec son chien », raconte son amie.
Malgré les coups, Eléonore renoue avec son compagnon quelques semaines plus tard. Il se rend dans une fête à Saumur, même s’il a l’interdiction d’entrer en contact avec elle. « Ils reprennent leur relation« , explique le procureur d’Angers. Fin décembre, Vaiava Chryssler Hiro, en état d’ébriété, a un accident avec la voiture d’Eléonore. Cette dernière est donc interrogée par les forces de l’ordre « quelques heures avant le réveillon du Nouvel An. Elle confirme le choix d’une vie commune chez le frère de son compagnon, dont la violation du contrôle judiciaire est constatée à cette occasion », spécifie Eric Bouillard. L’interdiction d’entrer en contact « fait rire les agresseurs. Ça n’a pas de sens, surtout si on a des amis ou des proches en commun », regrette l’avocate des parents d’Eléonore Places.
Thèse féministe : on ne comprend pas !
Vérité : la garce blanche adorait se faire cogner par un basané à 75 de QI ultra violent avant d’en parler partout pour attirer l’attention.
Outre cette mesure, un « téléphone grave danger », permettant à la victime de joindre un service de télé-assistance, à l’aide d’une touche dédiée, avait été proposé à Eléonore Places en octobre, rappelle le procureur d’Angers. « Tout en disant qu’elle craignait ces scènes de violence, elle ne voulait pas du dispositif, qui ne peut être attribué qu’avec l’accord de la victime », ajoute Eric Bouillard. « Les victimes naviguent entre questionnement et déni, entre ‘c’est pas possible, il ne peut pas faire ça’, et ‘j’ai peur qu’il me tue' », expose Isabelle Steyer.
Haute magistrate à l’origine du bracelet anti-rapprochement, un autre dispositif destiné à protéger les victimes de violences conjugales, Gwenola Joly-Coz reconnaît la difficulté de convaincre une femme « qui ne comprend pas qu’elle est en danger ». « Néanmoins, il ne faut pas s’en étonner : c’est un cycle d’emprise, un mécanisme connu et répertorié, souligne-t-elle auprès de franceinfo. C’est nécessaire pour une action cohérente, car le problème est systémique. »
« Il faut encore travailler sur le suivi des victimes, rappeler sans cesse le risque qu’il y a à se rapprocher de son agresseur. »
Il faut sans cesse rappeler aux putes à métèques qui aiment se faire exploser par leurs métèques d’arrêter de fréquenter les métèques qui les explosent.
C’est « systémique ».
« La méthode, c’est de multiplier les démarches pour convaincre les victimes. Là, il y a eu passage à l’acte dans l’intervalle », renchérit le procureur d’Angers, qui estime que « la justice ne peut pas empêcher les crimes de se produire. »
« Eléonore a porté plainte, c’était courageux de sa part. C’est aberrant que l’Etat ne coupe pas le circuit« , juge pour sa part Isabelle Steyer. « Ce n’est pas à la victime de s’auto-évaluer, c’est au professionnel de le faire. Comme lorsqu’on va chez le médecin, on ne connaît pas la maladie« , insiste l’avocate. Les proches d’Eléonore, comme Charlotte, s’interrogent encore sur l’issue fatale du Nouvel An. « Quand j’ai lu qu’elle avait dit : ‘Je me sens capable de me défendre seule’, je pense que c’est vrai. C’est son caractère, sa façon de parler », reconnaît-elle. « Mais ça ne voulait pas dire qu’elle allait le faire ! Comment ont-ils pu lâcher l’affaire ? Elle ne faisait pas le poids face à cet homme. »
Moralité
C’est de la faute de l’Etat (de la faute des hommes en langue féminine) si une pute à métèque veut absolument se faire sauter par une bête sauvage du Pacifique qui la défonce régulièrement.
Quand ça foire, les femmes fortes et indépendantes ne sont pas responsables de leurs actes.
Face elles gagnent, pile vous perdez.
*Merci à Danrit