Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Janvier 2020
Les terroristes du Parti Communiste ont été mis à l’amende.
L’inauguration devait avoir lieu samedi prochain. La fresque réalisée par José Correa sur les murs de l’Espace Aragon qui abrite le siège du PCF et une maison associative, place du 8 mai 45 a été vandalisée.
La fresque devait être inaugurée samedi 25 janvier en fin de matinée. Réalisée par l’artiste José Correa, elle représentait le visage et un passage d’une poésie d’Aragon tiré du poème « un jour, un jour » qui fut chanté en son temps par Jean Ferrat.
PVI : Jean Ferrat, de son vrai nom (((Tenenbaum))), était un bolchevique juif qui chantait la révolution sanglante en Russie menée par ses frères de race.
Si d’aventure vous n’êtes informés, voilà de quoi compenser cette lacune.
La suite est encore plus obscène.
Sur la fresque une croix celtique et la phrase « plutôt mort que rouge » (utilisée par Goebbels à la fin de la Seconde Guerre mondiale pour combattre l’Armée rouge) ne laissent guère de doute sur les intentions anti-communistes des vandales.
Si vous avez des « intentions anti-communistes », vous êtes des vandales.
Touchée, la section départementale du Parti Communiste a réagi aujourd’hui en parlant d’un acte d’une violence rare, une « profanation de la culture » qui « nous rappelle les heures sombres de l’occupation où des autodafés étaient pratiqués sur la place publique ». L’extrême-droite est clairement visée, car la section départementale estime qu’il s’agit « d’une attaque contre […] le Parti Communiste Français, qui fête cette année son Centenaire. »
Ha !
La « profanation de la culture ». Pas moins.
De quelle culture parlent ces terroristes rouges ?
Ces violeurs de nonnes n’ont décidément honte de rien, sauf de leur soif de sang qui les rend toujours extrêmement pudiques.
L’inauguration doit tout de même être maintenue samedi, place du 8 mai 1945, lors des traditionnels vœux de la Fédération de la Dordogne du Parti Communiste Français. Une plainte a été déposée, et une enquête suivra.
Forcément, cette république juive brûle de défendre le prophète de sa race : Marx.
Plutôt qu’un long discours sur les crimes des brigands rouges du Parti Communiste, ce documentaire où témoignent des survivants français du Goulag dira tout ce qu’il faut retenir de la vermine communiste et de la nécessité impérieuse d’écraser la bête marxiste.